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femmes-hommes

Lui (à une jeune femme) : - Le champagne vous rend jolie !
Elle : - Du champagne ? Je n'en ai pas bu une seule coupe !
Lui : - Oui, mais moi j'en suis à ma dixième !

Auteur: Internet

Info:

[ râteau-pour-filles ]

 

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couple

Thomas se disait : coucher avec une femme et dormir avec elle, voilà deux passions non seulement différentes mais presque contradictoires. L'amour ne se manifeste pas par le désir de faire l'amour (ce désir s'applique à une innombrable multitude de femmes) mais par le désir du sommeil partagé (ce désir-là ne concerne qu'une seule femme).

Auteur: Kundera Milan

Info: L'insoutenable légèreté de l'être

[ affection ] [ complicité ] [ véritable ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

Justification pour police routière

- Oh Monsieur l'agent, je suis perturbé car j'ai un nouveau-né en garde et je rentrais à la maison pour le nourrir et venais de réaliser que j'ai oublié au travail le lait que j'avais pompé auparavant ainsi je dois m'y précipiter pour le récupérer ou il mourra de faim. Et maintenant il doit pleurer encore plus parce que je suis en retard. (Attention, vaut mieux être une femme)

Auteur: Internet

Info: En cas de dépassement de vitesse limite

[ urgence ]

 

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judaïsme

Qu'est ce qu'être juif? ... il me semble surtout que c'est une condition; c'est-à-dire un ensemble de relations avec les autres et avec soi-même. Etre juif (comme du reste être français, ou arabe, ou femme) n'est pas un choix, c'est une contrainte plus au moins acceptée, mais qui s'impose à nous... ...être juif, ce n'est pas seulement être considéré comme tel, mais être traité d'une certaine manière, subir un certain destin.

Auteur: Memmi Albert

Info:

 

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femmes-hommes

Culturellement, le mariage monogame strict et indissoluble a été imposé par l'Occident chrétien vers l'an 1000 et il a perduré parce qu'il proposait une recette de stabilité simple : le pouvoir et l'argent revenaient à l'un (l'homme) et l'autre était empêchée de partir (la femme) par l'absence de ressources et l'interdiction du divorce.
Cet état de fait a été très récemment aboli, il y a moins de cinquante ans.
Dans les années 1970, la transition vers une société moderne, faite de sujets décidant de leur propre vie et d'une égalité des droits entre hommes et femmes a fait naître le couple moderne, beaucoup plus libre mais certainement plus difficile à stabiliser et à pérenniser.
Car, dans le même temps où l'espérance de vie augmentait considérablement, les séparations grimpaient également en flèche.
Au Moyen Age, les hommes et les femmes partageaient en moyenne treize années de vie commune, au XIXe siècle vingt-cinq. Aujourd'hui un couple formé très jeune, à l'âge de 20 ans, a devant lui près de soixante années d'espérance de vie commune !

Auteur: Brenot Philippe

Info: Un jour, mon prince... Rencontrer l'amour et le faire durer

[ historique ]

 

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humour

Autre exemple de paradoxe temporel : Zmblkr, notre héros, qui a 30 ans, décide de revenir 35 ans dans le passé.
Se retrouvant 35 ans dans le passé, il y rencontre une femme d'une très grande beauté, qui se trouve être sa propre mère. Il tombe éperdument amoureux d'elle et l'épouse. Sa mère devenant sa femme, il devient son propre fils à la fois.
De cette union naît un fils, si vous réfléchissez, vous verrez qu'étant son propre père, il est, du coup, le grand-père de son fils. De plus, son fils étant fils de sa mère (qui est sa femme) est donc aussi son frère en même temps.
D'autre part, sa belle-soeur est en même temps sa tante et sa fille et la tante, la belle-soeur et la nièce de son fils.
En outre, la mère de sa femme est en même temps sa belle-mère, sa belle soeur, sa grand'mère et la mère, la grand'mère et l'arrière-grand-mère de son fils.
Ajoutons enfin que le fils de la marraine de son oncle est cousin germain du frère par alliance au 3ème degré du facteur, étant le beau-frère de la petite nièce d'Albert Uderzo.

Auteur: Gotlib

Info: Rubrique-à-brac, tome 2

[ complexité ]

 

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transmission de pensée

Note du 25 VII 1910 

Le patient s’allonge, comme d’habitude. Mais, tout excité, il se relève aussitôt d’un bond : "Je sens une forte odeur d’allumettes au phosphore." "Qu’est-ce que c’est que ces vermisseaux que vous avez là sur le divan ? Il y en a des quantités !" "Cordonnier et gaz de volupté" [Allusion à une blague hongroise]. "Scholem alechem. Salem Aleikum."

Remarques [Association libre] :

J’ai eu, ce même jour, des rapports sexuels. L’idée m’est venue que ce n’était pas bien d’utiliser la même couche pour le gagne-pain et pour les exploits amoureux. Celle avec qui j’ai eu des rapports appelle les spermatozoïdes "vermisseaux". […] J’ai pensé, le même jour, à la possibilité qu’une personne au nez fin pourrait sentir que quelque chose s’était passé là. [Il est peu probable que des traces matérielles soient restées sur le divan. On y a veillé. Mais on ne peut exclure cette éventualité].

La veille, j’avais parlé (en compagnie de la même femme) avec un Monsieur qui avait donné son opinion sur le jargon juif ; j’avais mentionné, notamment, les mots Salem Aleikum qu’il a corrigés, lui, en Scholem alechem. […]

A la suite de ces idées, le patient apporta d’autres associations, qui concernant directement sa maladie, c’est-à-dire sa personne. 

Auteur: Ferenczi Sándor

Info: Dans "Correspondance Freud-Ferenczi 1908-1914", trad. par le groupe de traduction du Coq-Héron, composé de Suzanne Achache-Wiznitzer, Judith Dupont, Suzanne Hommel, Christine Knoll-Froissart, Pierre Sabourin, Françoise Samson, Pierre Thèves, Bernard This, Calmann-Lévy, 1992, lettre du 17 août 1910

[ analyste-analysant ] [ inconscient ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

vengeance

Lucie : Non, je pense que le truc le plus recherché (et méchant)que j'ai jamais fait, c'était cet été.
Lucie : J'ai été serveuse pendant un mois. Franchement, même si la plupart des personnes que j'ai servi étaient correctes, on rencontre de temps en temps de beaux enfoirés.
Antoine : Tu m'étonnes... Qu'est ce qui c'était passé?
Lucie : Un mec débarque avec une dizaine de personnes, ils sont restés 2 heures, et il était juste insupportable.
Antoine : Genre?
Lucie : Genre il m'agrippait quand il voulait demander quelque chose, il se plaignait continuellement, il a du renvoyer la moitié des plats en cuisine... Il y avait une autre serveuse qui était pratiquement en larmes à la fin de son repas.
Lucie : Le truc, c'est que les gens peuvent se comporter comme des bouffons si ils sont prêts à en assumer les conséquences. Parce qu'un jour, ils vont tomber sur une psychopathe comme moi qui leur fera payer.
Antoine : Qu'est ce que t'as fait ??
Lucie : Il a payé par carte (et a laissé 2,5 euros de pourboire sur une addition de plus de 200, mais passons) et avait un nom assez inhabituel.
Lucie : Je le note quelque part, et quelques jours plus tard je cherche sur FB. Bingo, il est sur une des photos, je connais son prénom.
Lucie : Je vais chercher un numéro de téléphone dans les pages blanches. L'appel s'est déroulé à peu près comme ça :
Lucie : "Allo?" (voix de femme)
Lucie : "Hmmmmm euuuuh... je pourrais parler à ***?"
Lucie : "Il n'est pas là. Qui est à l'appareil?"
Lucie : "C'est Tiffany, qui êtes-vous?"
Lucie : "Sa femme."
Lucie : "SA FEMME???? HA LE CONNARD!!!!!" *Raccroche*
Antoine : ...
Antoine : Tu es vraiment flippante, tu sais? Brillante... Mais terrifiante.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ]

 

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sexualité

La culotte peut-elle être chaude et la tête froide ?

Est-il possible qu'une femme soit physiquement excitée sans s'en apercevoir ? A la vue de films érotiques qui les font abondamment mouiller, la majorité des femmes prétendent que ces films les laissent "de glace". Mépris du corps ? Déni du désir ?

Si on demande aux femmes quels scénarios les excitent, elles ont tendance à minorer. Faudrait pas avoir l'air trop "salope". Officiellement, donc, les femmes - pour leur majorité - n'aiment pas l'idée de se retrouver au lit avec trois hommes, ni de se faire payer par un bel inconnu pour le rejoindre dans une chambre d'hôtel, ni les plans hardcore, ni la sodomie, etc.

Fatiguée d'entendre toujours le même discours, la chercheuse américaine Meredith Chivers invente un appareil à mesurer l'excitation et découvre que les femmes sont excitées... même lorsqu'elles affirment le contraire. Ces femmes mentent-elles ? "Non", répond Meredith Chivers, qui part du principe que ses cobayes sont de bonne foi lorsqu'elles passent le test. Dans ce cas, comment expliquer un tel aveuglement ? S'agit-il d'un refus inconscient de ses propres émois, conditionné par l'éducation ? Ou d'une plus grande "capacité" de faire la part des choses entre les manifestations physiologiques et l'excitation mentale ? Plusieurs hypothèses sont possibles.

EXCITÉE SANS LE SAVOIR

La première hypothèse repose sur l'idée d'une disparité fonctionnelle entre le pénis et le vagin. En d'autres termes : il est cliniquement possible que la femme soit excitée sans le savoir. Dans Le Secret des femmes*, Elisa Brune et Yves Ferroul l'expliquent ainsi : "Un clitoris peut être gorgé de sang et gonflé en érection sans que sa propriétaire en soit le moins du monde au courant. Situation impossible pour un pénis dont l'aspect crie son état sur tous les toits. Raison, sans doute, pour laquelle excitation mentale et excitation physiologique sont plus étroitement liées chez l'homme que chez la femme. Raison aussi pour laquelle la probabilité de masturbation spontanée est plus grande chez les garçons que chez les filles. Une érection visible, d'un côté, va induire un comportement de curiosité et de renforcement de l'excitation, alors qu'une érection invisible, de l'autre côté, va laisser le champ ouvert à une multitude de ressentis différents : excitation, ou gêne, ou malaise, ou incompréhension, ou saute d'humeur, ou inconscience pure et simple. Est-ce pour cela que 54 % des hommes disent penser au sexe au moins une fois par jour, contre seulement 19 % des femmes ?" "On peut donc être excitée, poursuivent-elles, sans le savoir, et ce même lorsqu'on baigne dans une ambiance sexuelle. Lorsqu'on soumet des hommes et des femmes à des stimuli pornographiques, les réponses physiologiques sont équivalentes en rapidité et en intensité (mesurée par l'augmentation du débit sanguin dans les organes génitaux qui lui-même induit la lubrification chez la femme). À cette différence près que les femmes déclarent souvent ne ressentir aucune excitation (là où les hommes sont parfaitement conscients de ce qui se passe)." Pour Elisa Brune et Yves Ferroul, il est physiologiquement possible pour une femme de rester sourde aux appels lancés depuis sa culotte. Mais cette surdité est-elle une bonne chose ? Culturellement, les femmes sont éduquées à nier leurs désirs. Si elles se bouchent les oreilles, refusant d'entendre ce que le corps leur dit, faut-il se contenter de dire "C'est comme ça ?". Ou faut-il inciter les filles à se fier plus à leurs sensations physiques qu'à la morale répressive ambiante?

DÉSOLANTE PSYCHOLOGIE ÉVOLUTIONNISTE

La question est difficile car il se peut fort que les sécrétions vaginales n'aient POUR DE VRAI rien à voir avec l'excitation mentale. "On a déjà constaté des vagins lubrifiés lors de viols, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'il y avait consentement ou plaisir, raconte Elisa Brune. La paroi vaginale répond du tac au tac lorsqu'on a besoin d'elle, quel que soit le scénario." Le problème avec cette hypothèse-là, c'est qu'elle est récupérée par des adeptes de la psychologie évolutionniste et détournée à leur profit : ils affirment que la "vasocongestion réflexe" du vagin (le fait que les femmes se mettent à mouiller dès qu'elles sont confrontées à des corps nus ou des situations sexuelles) "pourrait être le résultat d'une adaptation évolutive rendant la femelle apte au coït plus rapidement, c'est à-dire indistinctement à la moindre alerte, ce qui la protègerait des blessures en cas de sollicitation brutale." Idée rancie, sous-tendue par une idéologie scientiste qui ramène systématiquement le désir à sa seule dimension biologique.

Il est toujours désolant de constater que les résultats de recherche qui devraient nous amener à poser de vraies questions sur ce que nous sommes (ou ce que nous voulons) sont mises au profit d'un discours -rabâché ad nauseam- réduisant la sexualité à n'être qu'un instinct primal, puis qu'un programme génétique, hérité du Pléistocène. C'est le même discours que celui qui consiste à dire : la pornographie est une drogue, puisqu'elle réduit notre self-contrôle ; les hommes sont naturellement des violeurs polygames attirés par le rapport taille-hanche de 0,7 ; les femmes sont naturellement des harpies frigides, possessives et monogames... Il est désolant de constater que ce discours, désespérant car rempli de mépris envers la complexité humaine, reste la réponse à tout lorsque nous sommes confrontés à des données étranges. Pourquoi les femmes s'excitent-elles sur les bonobos qui copulent et pas les hommes ?

OUVRIR DE NOUVELLES PISTES

Dans un article datant du 21 mars 2014, le chercheur Martin Baker (1) avance : "Lorsque Meredith a fait cette curieuse découverte, elle avait bien conscience que ça ne collait pas avec la doxa. La doxa veut que les mâles humains soient excités par le fait de multiplier leurs partenaires et que les femelles humaines, au contraire, ne soient excitées que par la tendresse et l'amour. Le problème que soulève la contradiction entre ce qui les excite physiquement et ce qu'elles prétendent devrait pourtant nous encourager à ouvrir de nouvelles pistes de réflexion sur la sexualité."

Après quoi, Martin Baker propose son analyse : "Nos corps réagissent à certaines images et, ce faisant, nos corps nous encouragent à définir ce qu'est le sexe et la sexualité suivant des critères physiologiques... Nous sommes des créatures remplies de désir pour le sexe, mais également remplies d'attirance pour le désir lui-même. Quand nous grandissons, nous devenons conscient de la possibilité du sexe. Nous apprenons à identifier les réponses physiologiques de nos corps aux possibilités sexuelles. Nous apprenons également à nous définir en fonction de ces réponses : il y a des choses qui nous excitent et d'autres pas. Cela fonde notre identité (sexuelle, mais pas que). Nous apprenons à comprendre qui nous sommes en comparant ce qui nous excite avec ce qui excite les autres et à voir le monde comme un champ ouvert d'interdits ou de possibilités. Ainsi se construit notre univers fantasmatique, à la croisée du corps, du moi et des normes culturelles. Les trois sont nécessaires et il serait intéressant de réfléchir sur la sexualité entendue comme le résultat d'une interaction entre ces trois univers.

Auteur: Giard Agnès

Info: 25 janv. 2015

[ femmes-par-hommes ] [ sciences ] [ femmes-par-femme ]

 

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