question
Spinoza parle de la vitalité comme de la vertu la plus pure, la seule vertu. Le besoin de perdurer, de s’épanouir, dit-il, est la qualité absolue, partagée par tous les êtres vivants. Que se passe-t-il, toutefois, quand la vitalité devient si puissante que la vertu de Spinoza s’inverse et que, au lieu de s’épanouir, on est conduit à se dévorer ?
Auteur:
Greenberg Michael
Années: 1952 -
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: journaliste, critique
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
Le jour où ma fille est devenue folle
[
folie
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