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ténèbres

Il fait toujours noir ; la lumière ne fait que cacher l'obscurité.

Auteur: McKiernan Daniel K.

Info:

[ pessimisme ] [ nuit ] [ omniprésentes ]

 

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ténèbres

Il n'y a rien dans l'obscurité qui ne soit plus là lorsque les lumières sont allumées.

Auteur: Sterling Rod

Info:

[ inquiétude ] [ imagination ] [ peur ]

 

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ténèbres

La nuit sait tant de choses,
- mon esprit s'alourdit.
Souvent, j'ai vu les sables noirs
consumer les vertes prairies.
Dans le glacier grondent des failles
plus profondes que la mort.

Auteur: Sigurjónsson Jóhann

Info:

[ terreur ] [ poème ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

ténèbres

L'obscurité n'est qu'une apparence. La vraie toile de fond, c'est la lumière.
J'aime penser que j'invente ce faible halo, car j'ai découvert que je peux fermer les yeux dans l'obscurité la plus épaisse et imaginer la lumière, ma tête alors semble s'éclairer toute seule, de l'intérieur, je peux en secret penser la lumière, allumer une lumière en moi.

Auteur: Scarpa Tiziano

Info: Stabat Mater

[ illusion ] [ non-voyant ]

 

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ténèbres

Ce repos dans cette ignorance est une chose monstrueuse, et dont il faut faire sentir l’extravagance et la stupidité, à ceux qui y passent leur vie, en la leur représentant à eux-mêmes, pour les confondre par la vue de leur folie. Car voici comment raisonnent les hommes, quand ils choisissent de vivre dans cette ignorance de ce qu’ils sont et sans recherche d’éclaircissement. "Je ne sais", disent-ils...

Auteur: Pascal Blaise

Info: Pensées, 194-427

[ aveuglement volontaire ] [ inconscients ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

ténèbres

L'océan qui avançait. Ce ciel béant. Le monde immense. Où le retrouver. Le vertige m'a coupé le souffle. Des ombres autour de moi remuaient avec le vent. Des arbres morts. J'avais peur. Le roulement de l'océan semblait s'être amplifié avec la nuit. Le ciel s'ouvrait comme un gouffre. J'ai cru entendre le cri douloureux du plongeon traverser la nuit. Il venait de si loin... Tout m'échappait. Tout était démesuré et voulait me broyer. J'étais seule et nue.

Auteur: Poulain Catherine

Info: Le grand marin

[ solitude ] [ mer ]

 

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ténèbres

Je m’avançai hors du cercle de lumière, dans l’obscurité qui se dressait devant moi comme un mur. En un pas, j’y pénétrai. Telle devait être l’obscurité d’avant la création. Elle s’était refermée derrière moi. Je savais que j’étais invisible pour l’homme de barre. Je ne pouvais rien voir non plus. Il était seul, j’étais seul, chacun des hommes était seul où il se tenait. Et toute forme avait disparu aussi, espars, voiles, ferrures, lisses ; tout était effacé dans la terrible uniformité de cette nuit absolue. 

Auteur: Conrad Joseph Teodor Korzeniowski

Info: La Ligne d'ombre, The Shadow-Line. 1929. Trad F. Herbulot. Folio 5046

[ maritimes ] [ clair-obscur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

ténèbres

La terreur, c'est surtout de l'imprévu ; et si la nervosité des peureux s'exaspère dans l'obscurité, c'est que cette nuit aveugle est peuplée pour eux de fantômes, auxquels ils ne peuvent donner de formes. Si, de tous temps, les enfants et les servantes ont craint de se hasarder, le soir, hors des chambres éclairées et closes, c'est que l'ombre impénétrable, l'ombre silencieuse et hostile recule tout l'infini dans le mystère et toute l'épouvante dans l'inconnu... Oh ! les grands arbres bruissants des fonds de parcs d'automne humides et solitaires, les interminables corridors des vieux logis de province à demi abandonnés, les greniers hauts comme des cathédrales, où s'entassent des vieilleries, des paperasses et des malles velues, immobiles depuis des années, et qui ne voyageront jamais plus, les chambres inhabitées des maisons de campagne des grands-parents aujourd'hui morts, la chambre qu'on n'ouvrait jamais parce qu'il s'y était passé quelque chose...
Oh ! Tous ces châteaux d'épouvante effrités aujourd'hui dans nos âmes sceptiques, mais qui tenaient jadis une si formidable place dans notre enfance effarée et inquiète, de quelle atmosphère frissonnante et glacée ils s'emplissaient pour nous à la tombée de la nuit, surtout au retour de l'automne, dans ces mois brumeux et pourris d'incessantes ondées, de torrentielles pluies.

Auteur: Lorrain Jean

Info: Histoires de Masques

[ peur ] [ imagination ]

 

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