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autoperception
Mon esprit ? Mais enfin... c'est mon corps, plus précisément sa part mémorielle, imaginaire, introspective et prospective... qui s'expand avec le temps... emmagasinant peu ou prou expériences et décors qui résonnèrent vraiment "aux passages!". Miroitements de vécu... ressentis... formulés parfois... éventuellement stockés par l'écrit.
Avec un moi qui s'imagine piloter l'ensemble.
Qui te parle par ces lignes.
JE : enchevêtrement d'expériences cognitives... Galimatias personnel... Hors du temps... Avec la réalité comme point d'appui en cas de bouleversement.
Effets dedans-dehors : qui vont de la grande concentration vers la rêverie, du sommeil à l'éveil actif. Ou, plus simplement : de la vie à la mort.
Auteur:
Mg
Années: 1958 - 20??
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, compilateur, sémioticien, directeur, guitariste, compositeur-chercheur, entrepreneur, astacologue, écrivain, imprimeur-éditeur-producteur, linguiste, père de famille, chansonnier, politicien très local, brocanteur, bûcheron, agent-couchettes...
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
25 janv 2023
énervement
Avez-vous remarqué le curieux accroissement de l’exaspération
Des nerfs humains ces dernières années ? Pas seulement en Europe,
Où des raisons existent, mais partout ; une corde ou un filet
Est déployé, une tension plus resserrée ;
Peu d’esprits sont aujourd’hui sains ; presque personne
Ne semble écouter le fracas, écouter...
Et le souhaiter, avec une sorte de furieuse
Sensibilité.
Ou alors est-ce que nous ressentons
Dans l’air une concentration de quelque chose qui haïsse
L’humanité ; et dans l’éclair de la tempête nous nous voyons
Nous-mêmes avec trop de pitié et les autres trop clairement ?
Bon, c’est février, dix-neuf cent trente-neuf.
Nous comptons maintenant les mois ; nous devons compter les jours.
Il semble temps de trouver quelque chose hors de nos
Propres nerfs pour trouver un appui.
Auteur:
Jeffers Robinson
Années: 1887 - 1962
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, poète
Continent – Pays: Amérique - Etats-Unis
Info:
Dans "Mara ou Tu peux en vouloir au soleil", Préface, trad. de l’anglais (États-Unis) par Cédric Barnaud, éditions Unes, 2022
[
agitation généralisée
]
[
modernité
]
[
trouble mental
]
autocritique
Demain je reprendrai à nouveau cet important poème
A propos de Ferguson [Mara], homme jaloux et trompé
Qui braille la vérité, la vérité, et ne peut en supporter la plus petite lueur. Ce poème m’ennuie, et j’espère qu’il ennuiera
Toute bonne âme qui le lira, étant en quelque sorte
Au plus proche de moi-même mais surtout à mes antipodes ;
Mais ayant ordonné à l’artillerie lourde de faire feu
Je dois pilonner jusqu’au bout.
Ce soir, ma chère,
Oublions tout ça, ceci et la guerre,
Isolons-nous juste au-delà du temps,
Toi avec ton whisky irlandais, moi avec mon vin rouge,
Tandis que les étoiles passent au-dessus de l’océan qui ne dort jamais,
Et peu après minuit j’en cueillerai certaines pour t’en faire une couronne ; nous parlerons de l’amour et de la mort,
Thèmes solides comme le roc, vieux et profonds comme la mer,
N’admettant rien de plus opportun, rien de moins réel
Tandis que les étoiles passent au-dessus de l’océan qui ne connaît pas le temps,
Et quand elles s’évanouiront nous aurons agréablement passé la nuit.
Auteur:
Jeffers Robinson
Années: 1887 - 1962
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, poète
Continent – Pays: Amérique - Etats-Unis
Info:
Dans "Mara ou Tu peux en vouloir au soleil", Préface, trad. de l’anglais (États-Unis) par Cédric Barnaud, éditions Unes, 2022
[
littérature-réalité
]
[
préoccupations essentielles
]
dodécaphonisme
Le vieux dicton latin, "Sator Arepo Tenet Opera Rotas", avec lequel Webern terminait sa conférence du 2 mars 1932, peut entre autres être traduit ainsi : "Le semeur Arepo (un nom propre) maintient l’œuvre en mouvement circulaire".*
Le carré magique au sein duquel Webern ordonnait ce dicton laisse clairement voir le principe fondamental de la technique de douze sons - l’égalité de la série fondamentale, le renversement, l’inversion et le renversement de l’inversion.
S A T O R
A R E P O
T E N E T
O P E R A
R O T A S
Auteur:
Reich Willi
Années: 1898 - 1980
Epoque – Courant religieux: Industriel
Sexe: H
Profession et précisions: musicien, théoricien, compositeur
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
Postface de "Le chemin vers la nouvelle musique" d'Anton Webern. Trad Vincent Barras. Aussi "Le semeur Arepo use des roues pour son travail"
[
palindromes
]
[
réversibilité
]
[
contrepoint
]
[
tétravalence
]
[
musique sérielle
]
sens
Il était silencieux, puis l’implora : "Écoute, Sally.
Donne-moi un autre médoc.
Il y a des rats bouillonnant dans mon ventre qui rampent et
mordent." Elle essuya son front détrempé
Avec un morceau de tissu, puis s’assit sur le lit
En tenant sa vieille main mouchetée ; la secoua, la pressant
Contre sa joue.
De tout ceci, Seigneur –
Un vieil homme cancéreux, une épouse
Jalouse répétant toute la nuit
La litanie de ses erreurs passées,
Et une jeune adultère torride
Entre ses deux hommes – de tous ces éléments
Ordinaires de la vie commune, ces deux ou trois personnes
Qui non sans raison s’interrogent,
Une découverte peut-elle sourdre, ou un faucon s’envoler ?
Car tu n’es pas humain, tu ne tiens pas compte des personnes,
Ni sujet au dégoût ni adepte du péché,
Et tous tes chemins sont beaux.
Même tes choses qui dépérissent, la vase des mers et la charogne
Resplendissent dans l’obscurité ; même cette époque dépravée
Qui fait le mal dans ses rêves,
Ivre de tromperies et de cruautés,
Phosphorescente de guerres,
S’embrase comme une torche.
Elle a son propre honneur abandonné, et ses piliers de musique
Offerts aux pures étoiles.
Auteur:
Jeffers Robinson
Années: 1887 - 1962
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, poète
Continent – Pays: Amérique - Etats-Unis
Info:
Dans "Mara ou Tu peux en vouloir au soleil", trad. de l’anglais (États-Unis) par Cédric Barnaud, éditions Unes, 2022, pages 27-28
[
mystère
]
[
beauté
]
[
horreur surpassée
]
[
lila
]
pendaison
Et il se retourna et s’en alla.
Descendant les collines il vit très clairement
Deux images dans son esprit : celle de la mort de Fawn
Avec la gorge tranchée, l’autre de lui-même qui s’était pendu,
Et il devait choisir. D’une nature honnête,
Il choisit la seconde et se pendit avec une bride en crins
Sous une poutre de la grange.
Il n’aura plus jamais à
Brailler à la recherche de la vérité, la vérité, bien qu’elle fût
venimeuse,
Ni à sentir deux mille ans d’instruction s’affaisser sous ses pieds
Comme un plancher pourri. Il ne sentira plus le vent,
Ni le goût de la pluie, ni ne verrait à nouveau la beauté suprême de l’année, cette tempête venant du sud-est
La semaine de Noël ou du Nouvel An, quand le vent s’acharne contre le toit comme un homme vertueux
Tire son épouse infidèle par les cheveux
Du lit jusqu’à la porte, et quand sous les rugissements du ciel bleu-noir l’océan
Noir enflamme tout de son écume blanche,
Et que pas un oiseau ne vole. Ferguson ne verra pas
Ces deux goélands voler au-dessus du feu d’une soirée d’avril
Sur le genou de la montagne. L’herbe fraîche et maculée de sang,
Les veaux hurlent, les hommes sont épuisés et brutaux, le whisky est bu,
Et dans le crépuscule bleuâtre deux goélands aux ailes arquées en faux
Dérivent au-dessus de la beauté rougeoyante du feu,
Raillant, et étirant leur cou : puis quelqu’un lève les yeux
Et se fend d’une étrange pensée. Ce ne sera pas Ferguson.
Auteur:
Jeffers Robinson
Années: 1887 - 1962
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, poète
Continent – Pays: Amérique - Etats-Unis
Info:
Dans "Mara ou Tu peux en vouloir au soleil", Préface, trad. de l’anglais (États-Unis) par Cédric Barnaud, éditions Unes, 2022, pages 54-55
[
suicide
]
[
mélancolie
]
chanson paillarde
Père Dupanloup dans son berceau, (2ex en écho)
Bandait déjà comme un taureau (2e x en écho)
Pour satisfaire ses caprices,
Il baisait déjà sa nourrice
(refr) Zut, merde, pine et boxon,
Père Dupanloup est un cochon.
Père Dupanloup dans la cuisine, (x2)
Battait les œufs avec sa pine. (x2)
Nom de Dieu, dit la cuisinière,
Fous-la moi donc dans le derrière.
(refrain)
Père Dupanloup monte en ballon, (x2)
Mais il avait l'système si long, (x2)
Qu'à trois cents mètres dans l'atmosphère
Ses couilles trainaient encore par terre.
(refrain)
Père Dupanloup monte en bateau, (x2)
Mais il avait l'organe si beau, (x2)
Qu'il avait bien cent mille grenouilles
A lui sucer la peau des couilles.
(refrain)
Père Dupanloup dans un wagon (x2)
Se conduisait comme un cochon. (x2)
Passant sa bite par la portière,
Il éborgna le garde-barrière.
(refrain)
Père Dupanloup à l'Institut, (x2)
Ne voulait voir que des culs nus. (x2)
Pour respecter les bonnes manières,
Il enculait tous ses confrères
(refrain)
Au passage d'la Bérésina (x2)
Le Père Dupanloup était là (x2)
Mettant sa bite sur la rivière,
Fit passer l'armée toute entière.
(refrain)
A la prise de la Smalah, (x2)
Dupanloup était encore là (x2)
On le chercha devant, derrière,
Il enculait les dromadaires.
(refrain)
Père Dupanloup dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil.
Avec sa pine en arc de cercle
Il voulait faire sauter le couvercle.
(refrain)
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
[
musique
]
[
tradition salace
]
[
art populacier
]
[
grossièreté
]
points de situations
En anglais originel, un benchmark (étalon ou repère en français) était un point de référence servant à effectuer une mesure. Un terme issu du vocabulaire professionnel des géomètres qui désignait à l'origine un repère de nivellement, un jalon.
Benchmark est ensuite entré dans la langue française en tant qu'anglicisme informatique, sous la définition de Banc d’essai permettant de mesurer les performances d'un système pour le comparer à d'autres.
Il s'agit donc d'un désir de se situer, via des test en temps réel dans un cadre de rivalité antagoniste, d'émulation compétitive, voire carrément de combat. Une " étude pragmatique de la concurrence " selon les habitudes capitalistes de marketing du 20e siècle.
L'évolution étant ce qu'elle est on comprendra aisément combien cette notion de " comment je me situe en tant qu'entité séparée des autres " intègre l'idée d'une relativité quasi absolue.
Problématique un peu plus éblouissante encore lorsqu'il fut question d'évaluer et comparer les diverses intelligences artificielles vers les années 2020, que ce soit entre elles ou avec les humains et surtout leurs savoirs.
L'humain, j'en suis un autre, semble quelque peu hanté par une volonté de conclure et c'est bien face à pareil défi, celui de proposer une "explication durable" des phénomènes, de leurs interactions et de leurs conséquences, qu'il se retrouve limité. Les points fixes sur lesquels il appuie ses savoirs ressemblent à des chimères plus il les investigue profondément.
Restent néanmoins certains fondamentaux : ma vie, la planète qui m'a vu éclore, mes descendants, etc...
Et puis, si je disparais, tout disparait... sans garantie que cette expérience ne fut qu'une illusion.
Personnellement mon modèle c'est la nature, vu sous cet angle cette notion de benchmark, enfantée par le milieu corporate américain de mon époque, ressemble à une impasse au sens où ce qu'on peut voir dans la nature ressemble plus à des interactions-collaborations qu'à des valorisations comparées, articulées sur des rapports de pouvoir et autres conventions à fond égoïste.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
Diverses sources compilées par Mg
[
intraduisible
]
[
mot-univers
]
[
pas de point fixe
]
[
balise
]
[
standard
]
[
point de référence
]
[
base
]
[
critère
]
[
spécification
]
[
canon
]
[
convention
]
[
principe directeur
]
[
norme
]
[
critère
]
couple
"Pourquoi me détestes-tu Bruce ?
Pourquoi me laisses-tu seule nuit et jour ?
Qu’est-ce que j’ai fait ? – Mmh ? dit-il. Non. Rien. Je lis ici,
Et je vais écouter les nouvelles à minuit. – Les nouvelles,
Répondit-elle,
Sales et sanglantes et qu’est-ce que ça peut faire ?
Je peux rester ici ?" Elle lui sourit et s’assit sur le lit,
Sur le matelas nu. Il dit "Euh... Écoute, Fawn.
Comme tu dis : sang, mensonges et saleté, imbécilités et pourritures,
C’est les nouvelles.
Et si l’on regarde dans nos cœurs... hein ? ... la même soupe infernale.
Tout ce qui est bon est mutilé ; toute chose mauvaise
A de larges mains, un cœur solide et des ailes de faucon. Bon,
Je ne comprends pas ça et j’ai besoin de l’étudier." Fawn le fixa,
Ressentant un mépris extraordinaire
Derrière son regard calme et son doux masque ovale,
Et dit "Que lisais-tu, mon chéri ? – Quoi ? dit-il, Un livre.
Je l’ai eu à la fac, je ne l’ai jamais lu."
Il alluma la radio et dit "Un professeur allemand
Qui pense que cette esclave sanglante et torturée appelée Histoire
A des habitudes bien réglées. Des vagues, tu vois, de longues vagues, des vagues distinctes de civilisation
Qui vont et viennent comme la mer ; et avec la même sorte de ...vie,
arts, politiques, et ainsi de suite
A la même intensité pour chaque vague, tu peux le prévoir.
En ce moment
Nous sommes au creux de la vague." Fawn l’entendit vaguement
à travers les grésillements
Et le bavardage de l’animateur radio quand l’heure changea,
Et, naturellement, n’y comprit rien ni ne s’y intéressa,
Mais elle vit son excitation.
Il y avait désormais trois courants parallèles
D’action humaine dans cette haute caverne
Au toit de bardeaux tutoyant les étoiles nébuleuses.
Auteur:
Jeffers Robinson
Années: 1887 - 1962
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, poète
Continent – Pays: Amérique - Etats-Unis
Info:
Dans "Mara ou Tu peux en vouloir au soleil", Préface, trad. de l’anglais (États-Unis) par Cédric Barnaud, éditions Unes, 2022, pages 44-45
[
incompréhension
]
[
incompatible
]
[
solitude
]
cité imaginaire
Quand on arrive à Fillide, on est heureux de voir combien de ponts différents traversent les canaux : ponts en dos d'âne, ponts couverts, ponts sur piliers, ponts sur bateaux, ponts suspendus, ponts à parapets percés ; combien de fenêtres différentes s'ouvrent sur les rues : à meneaux, mauresques, en lance, en pointe, à lunettes ou à rosaces ; combien de types de pavés recouvrent le sol : pavés, dalles, bardeaux, tuiles bleues et blanches. En tout point, la ville offre des surprises à l'œil : une touffe de cabestans dépassant des murs de la forteresse, les statues de trois reines sur une étagère, un dôme à oignons avec trois petits oignons collés sur la flèche. "Heureux celui qui a un jour Fillide sous les yeux et qui n'a jamais fini de voir les choses qu'il contient", vous exclamez, avec le regret de devoir quitter la ville après l'avoir seulement effleurée du regard.
Au lieu de cela, vous vous arrêtez à Fillide et y passez le reste de vos jours. Bientôt la ville s'efface de vos yeux, les rosaces, les statues sur les étagères, les coupoles s'effacent. Comme tous les habitants de Fillide, vous suivez des lignes en zigzag d'une rue à l'autre, vous distinguez les zones de soleil et les zones d'ombre, une porte ici, un escalier là, un banc où poser son panier, une bosse où votre pied trébuchera si vous ne faites pas attention. Tout le reste de la ville est invisible. Fillide est un espace dans lequel des chemins sont tracés entre des points suspendus dans le vide, le chemin le plus court pour atteindre la tente de ce marchand en évitant la porte de ce créancier. Tes pas courent après ce qui n'est pas à l'extérieur de tes yeux mais à l'intérieur, enfoui et effacé : si entre deux portiques l'un continue à paraître plus gai c'est parce que c'est celui où une fille aux larges manches brodées est passée il y a trente ans, ou c'est seulement parce qu'il reçoit de la lumière à une certaine heure comme ce portique dont tu ne te souviens plus où il était.
Des millions d'yeux lèvent les yeux sur les fenêtres du pont des cabestans et c'est comme s'ils défilaient sur une page blanche. De nombreuses villes comme Fillide échappent aux regards, à moins que vous ne les preniez par surprise.
Auteur:
Calvino Italo
Années: 1923 - 1985
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain, oulipien
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Villes invisibles
[
baroque
]