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prospective

Il parait que l'histoire a montré que c'est dans la rivalité que l'homme progresse, que c'est comme ça que le langage est né, que la culture est apparue, que l'on en est venu à partager des joies et des peines. Bref l'homme améliore des trucs.
Autre info : Homo est le seul primate ayant des dents évoluant à l'inverse du cerveau. Autrement dit plus il prolifère via le produit de son intelligence, plus sa survie "dans la jungle primitive - pour faire court" est mise en question. Vient à l'esprit :
a) un retour en arrière (au sens évolutif) est-il possible, imaginable ? ...
b) faut-il en déduire, peut-être naïvement, que notre avenir ne peut s'imaginer, au vu de ces mouvements contraires, qu'enchassé dans une attitude toujours plus distanciée et non violente, au sens d'un meilleur contrôle de nos pensées pulsionnelles violentes - issues d'une peur naturelle et nécessaire, qu'on peut identifier aux reliques de certains résaux neuronaux dendritiques de notre cerveau ?
Auquel cas l'idée du végétarien ou du vegan prend une dimension presque prophétique.
En espérant qu'une météorite mal placée ne vienne pas interrompre le processus.

Auteur: Mg

Info: 17 sept. 2019

[ être humain ] [ questions ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

écologie

La nature à l'état sauvage est bien ce qui empêche les services fédéraux chargés de la faune de défendre les grizzlys. Il n'y a rien à gagner dans de telles régions, rien à gérer. Pourtant l'intolérance des hommes en fait de véritables champs de bataille où les grizzlys ne cessent de perdre et de mourir. Ces derniers auraient pu s'adapter à notre présence, mais nous ne leur en avons pas donné la possibilité. Notre culture ne nous permet pas de vivre aux côtés d'une autre espèce intelligente et prédatrice. Les ours ont besoin de la nature sauvage.
Ce serait également une bonne chose pour les humains car, comme le disait Thoreau : "Dans la nature sauvage réside la préservation du monde." Concrètement, cela signifie : défoncer les routes et faire disparaître les parcs de stationnement, détruire les bâtiments et non à tout forme de capitalisme ou de socialisme quelle qu'elle soit. Les grizzlys ont besoin de régions sauvages vastes et libres, sans survols ni aménagements touristiques, sentiers de randonnée, gestion humaine ou "développement" d'aucune sorte. La nature sauvage doit exister pour elle-même, et pour les grizzlys.

Auteur: Peacock Doug

Info: Mes années grizzly

[ être humain ] [ animal ] [ environnement ]

 

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homme-amimal

L'homme gît, il tousse, il transpire, il gémit, il a chaud, il est brûlant, il sent la maladie. Il ne sort pas ses orteils pour qu'on les mordille, il ne lance pas de souris, il ne fait rentrer de lumière, il ne nous donne pas la cuillère à lécher. L'homme est malade et d'assis, il est passé à coucher. C'est d'un ennui profond. Ses seules attentions sont pour une petite plaquette alvéolée, de papier métal, dont il extrait avec un crissement typique des cachets qu'il avale en grimaçant. La plaquette est légère, elle fait un petit bruit quand elle tombe et elle glisse sur le sol bien mieux qu'une de leurs fausse souris. Vous l'envoyer sous le lit, sous une armoire, sous un meuble lourd. Puis vous prenez place sur un siège, aux premières loges, l'air innocent et assoupi. Que le spectacle commence. [..] Au prix de crucifiantes souffrances, il va explorer tous les dessous alentours, avec une règle, un manche à balai, le front dégoulinant, ramenant poussière. Il vous jettera alors un pitoyable regard noir avant de retourner se blottir sous les plumes. Pourtant, il ne vous déteste pas.

Auteur: Neubourg Monique

Info: Comment domestiquer son maître quand on est chat

[ être humain ]

 

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conscience

La matière, saisie par elle [la pensée humaine] comme mana – ce que nous appelons énergie radiante – ne voile pas les essences. Le cosmos est dès lors un cosmos de la pensée pure, de la matière pure et de la liberté, au sein duquel l’idée rejoint immédiatement l’existence, et où tout vouloir instantanément se réalise. A ce niveau, l’homme, comme l’indiquent toutes les traditions reculées, est un surhomme, un "dieu" et l’univers où il se meut mérite pleinement la qualification de dynamique (dynamis = force, puissance). Au niveau mental inférieur, la pensée, ne bénéficiant plus du même potentiel et de la même acuité mentale, n’a plus la force de percer l’écran des sensations ; elle est arrêtée par l’obstacle ; ce qu’elle synthétise et objective, ce sont, par suite, non plus les objets eux-mêmes dans leur essence, mais les impressions de surface qu’ils procurent à l’animalité pour faciliter son comportement. Cette objectivation abusive d’états psychologiques tout subjectifs engendre l’univers phénoménal ou univers de la Maya, qui est un univers du mécanisme, où règnent en souverains le temps et l’espace. A ce niveau, l’être humain cesse d’être un surhomme ou un "dieu". Il devient un homme.

Auteur: Gordon Pierre

Info:

[ immédiate ] [ séparation ] [ sujet-objet ] [ être humain ] [ animal particulier ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

corps-esprit

On sait que l'ordinaire surestimation des fonctions intellectuelles est telle que les hommes, qui redoutent pour la plupart et dans leur folie d'être considérés comme impuissants en matière sexuelle, redoutent au moins autant d'être tenus pour des imbéciles : comme si c'était perdre tout honneur et se voir presque rayé de la carte de l'existence que d'avouer un défaut d'intelligence. Descartes illustre très bien, quoique apparemment sans y voir de malice, cette revendication universelle d'intelligence, aussi opiniâtre qu'absurde, dans la tout première phrase du Discours de la méthode : "Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute chose, n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils n'ont." Je soupçonne fort, pour ma part, cette inflation des valeurs purement intellectuelles, manifeste dans toutes les entreprises de séparation radicale du corps et de l'esprit, d'être principalement attribuable à un fantasme mégalomane issu du souci - dont les psychiatres font aujourd'hui le centre nerveux de la névrose obsessionnelle - de couper les ponts entre la nature de l'homme et la nature de toute chose, qu'il s'agisse de l'animal ou de la matière inanimée.

Auteur: Rosset Clément

Info: Le principe de cruauté, P. 42

[ être humain ] [ peur ]

 

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évolution

Les décryptage de génomes comme ceux d'Emiliania Huxleyi ou du riz, montrent combien le plancton et les plantes sont bien plus évolués que nous. Ils se développent depuis bien plus longtemps que l'animal pour trouver des stratégies de survie. Ces organismes, avec beaucoup plus de gènes que l'humain, montrent ainsi des possibilités d'adaptation très supérieures.
Nous voyons là une fantastique intelligence de la matière, intelligence que notre propre esprit peut "apprécier" alors que nos capacités physiques de survie et d'adaptation à des conditions très contrastées restent dérisoire par rapport à ces organismes.
A la différence que nous saurons peut-être un jour trouver refuge ailleurs. Ceci grâce à notre esprit qui, s'inspirant de la matière, aura permis d'en avoir une certaine maîtrise. Et produire des spationefs, machines dématérialisantes... ou autres.
Ce qui est impressionnant ce sont les échelles de temps, si différentes dans ces processus évolutifs. Vu sous cet angle la race humaine apparaît comme une étincelle fugitive dans l'Histoire. Sommes-nous transitoires ? Un cul-de-sac, une simplification/spécialisation, destinée à être plus efficace dans un laps de temps plus court. Condamnés à nous démerder très vite ?...
Il semble ici que le temps n'a qu'une importance relative ou, dit autrement, qu'il a des valeurs changeantes en fonction des entités. Dans l'absolu l'organisme génère son temps propre.
On retrouve là d'une certaine manière la monade de Leibniz ou le Janus Holon de Koestler. Quelques-uns des horizons de nos conceptualisations.

Auteur: Mg

Info: 14 juin 2013

[ être humain ] [ spéculation ]

 

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évolution

Le recul des jungles nord-africaines à la fin de l'ère glaciaire la plus récente a laissé la place aux prairies. Alors une branche de nos ancêtres primates arboricoles abandonnèrent les frondaisons et vécurent à découvert, suivant les hordes d'ongulés, glanant ce qu'ils pouvaient lors des déplacements.
Parmi les nouveaux composants de leur régime alimentaire, les hommes se sont trouvés des champignons contenant de la psilocybine qui poussaient dans le fumier des troupeaux d'ongulés. On peut supposer que l'augmentation constatée de l'acuité visuelle sous l'influence de la psilocybine a été un instrument de la domination humaine sur leurs proies. Et, sous les effets de doses légèrement supérieures, qui comprennent une augmentation des performances sexuelles - et dans des doses encore plus élevées des hallucinations extatiques et la glossolalie - cela donna des avantages évolutionnaires aux tribus qui les utilisaient. Il y aurait donc eu de nombreux changements induits par l'introduction de cette drogue dans le régime des primates. On peut aussl théoriser que la synesthésie (flou des frontières entre les sens) causée par la psilocybine a conduit au développement du langage parlé : la capacité de former des images dans l'esprit d'une autre personne en utilisant des sons vocalisés.
Il y a environ 12 000 ans, des changements climatiques supplémentaires ont supprimé les champignons du régime alimentaire humain, ce qui a entraîné un nouvel ensemble de changements profonds dans notre espèce qui régressa dans les structures sociales des primates brutaux jusqu'alors modifiées et/ou muselées par la consommation fréquente de psilocybine.

Auteur: McKenna Terence

Info:

[ être humain ] [ spéculation ] [ drogue ]

 

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canevas

IL y a fort longtemps tous les hommes étaient des dieux.
Mais ils abusèrent tant de leur divinité que Brahma décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.
Les dieux furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent : "Enterrons la divinité de l'homme dans la terre."
Mais Brahma répondit: "Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera."
Alors ils suggérèrent : "Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans."
Mais Brahma répondit à nouveau: "Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface."
Déconcertés, les dieux proposèrent: "Il ne reste plus que le ciel, oui, cachons la divinité de l'homme sur la Lune."
Mais, Brahma répondit encore: "Non, un jour, l'homme parcourra le ciel, ira sur la Lune et la trouvera."
Les dieux conclurent: "Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour."
Alors Brahma dit: "Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme: nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher."
Ainsi, depuis ce temps-là, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, exploré la lune et le ciel à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.

Auteur: Internet

Info: vieille légende hindoue

[ être humain ] [ religion ] [ esprit ]

 

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ésotérisme

Les sept étapes de l'homme (montage spéculatif issu de plusieurs sources)
Certains écrits mystiques annoncent qu'il y a sept races d'hommes et qu'il y a une forme de pilotage du monde. Nous serions, en début de troisième millénaire, à la fin de la cinquième. Ceci n'empêchant bien sûr pas les variations, par exemples que les hommes et les singes actuels aient des ancêtres communs (nos cousins éloignés).
Dons les 7 étapes humaines seraient :

1) - 4 à - 1,5 millions d'années : Australopithèque (Homo pré erectus et erectus )
Connu grâce à Lucy en Afrique, il est semblable à l'homme. Il vit de cueillette, de chasse. Se dresse sur ses pattes de derrière mais grimpe encore aux arbres. Ne sait sans doute pas parler. Bientôt il utilise des outils "naturels" comme des gourdins pour chasser.

2) - 1 million à 400 000 ans : Homme debout (Homo erectus et/ou Homo habilis).
Par exemple: l'homme de Tautavel qui utilise des racloirs et des grattoirs et améliore ses outils. Quand l'homme apprend à utiliser le feu allumé par lui-même, sa vie se transforme. Il peut lutter contre le froid, s'éclairer, cuire sa nourriture et se protéger des bêtes sauvages. Il est aussi nomade.

3) - 100 000 ans : Homme de Neandertal. (Homo sapiens)
Cette race, disparaît assez rapidement semble-t-il, on ne sait pas très bien pourquoi. L'homme de Neandertal enterre ses morts.

4) - 35 000 ans : Homme de Cro-Magnon (Homo sapiens )
Il existera longuement parallèlement à l'homme de Neandertal alors qu'il ne pouvait pas se reproduire avec lui. Peintures rupestres et art pariétal. Souvent aussi nomade.

5) Homme moderne (Homo sapiens sapiens - contemporain de la naissance de FLP) cinquième race racine - ère du poisson
Acquisition de la liberté sexuelle et de la pensée externe
- 6 000 alignements mégalithiques (Carnac)
- 3 500 env. premier système d'écriture (Sumer)
- 2 000 âge du bronze
- 700 âge du fer

6) Homme ? sixième race racine
Glande pinéale développée. (télépathie ? )

7) Homme ??
La tradition ésotérique voudrait qu'il soit impossible pour nos sens de faire une représentation de ce descendant. Transcendant. Donc. Du coup.

Auteur: MG

Info: 2007

[ évolution ] [ septénaire ] [ être humain ]

 

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monologue

Alors, entrons dans le dialogue avec une question que je me posais depuis très longtemps : comment Dieu parle-t-il, et à qui ? Lorsque je l’ai posée, voici la réponse que j’ai reçue :
Je parle à chacun. Tout le temps. La question n’est pas : à qui je parle, mais : qui écoute ?
Intrigué, j’ai demandé à Dieu d’élaborer à ce sujet. Voici ce que Dieu a dit :
Tout d’abord, remplaçons le mot parler par communiquer. C’est un bien meilleur terme, plus riche, plus précis. Lorsque nous essayons de nous parler (Moi à toi, toi à Moi) nous sommes immédiatement contraints par l’incroyable limite des mots. Voilà pourquoi je ne communique pas seulement en paroles. En réalité, je le fais rarement. Je communique le plus souvent par le sentiment. Le sentiment est le langage de l’âme.
Si tu veux savoir ce qui est vrai pour toi en ce qui concerne une chose précise, observe comment tu te sens par rapport à celle-ci. Les sentiments sont parfois difficiles à découvrir (et souvent même plus difficiles à reconnaître). Mais ta vérité suprême se trouve tapie dans tes sentiments les plus profonds.
Il s’agit d’arriver à ces sentiments. Je te montrerai comment. A nouveau. Si tu le souhaites.
J’ai alors dit à Dieu que je le souhaitais vraiment mais, qu’ à présent, je souhaitais encore davantage recevoir une réponse entière et complète à mes questions. Voici ce que Dieu m’a dit :
Je communique aussi par la pensée. La pensée et les sentiments ne sont pas la même chose, même s’ils se produisent parfois en même temps. En communiquant par la pensée, j’utilise souvent des images. C’est pourquoi les pensées sont plus efficaces que les seules paroles, en tant qu’outils de communication.
En plus des sentiments et des pensées, j’utilise également le véhicule de l’expérience pour communiquer intensément.
Finalement, lorsque les sentiments, les pensées et l’expérience échouent, j’utilise des paroles. En vérité, les paroles sont l’outil de communication le moins efficace. C’est l’outil le plus souvent ouvert à l’interprétation, le plus souvent mal compris.
Pourquoi donc ? A cause de la nature des paroles. Les paroles ne sont que des émissions de sons : des bruits qui représentent les sentiments, les pensées et l’expérience. Ce sont des symboles. Des signes. Des insignes. Elles ne sont pas la vérité. Elles ne sont pas ce qu’elles représentent.

Auteur: Neale Donald Walsch

Info: Conversations avec Dieu

[ mobile ] [ humain ] [ être infini ] [ prière ] [ spiritualité ]

 

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