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tact

Un diplomate est un gars qui se rappelle toujours l'anniversaire de sa femme mais jamais de son âge.

Auteur: Frost Robert

Info:

 

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aplomb

L'éducation est la capacité d'écouter presque n'importe quoi sans perdre votre humeur ou votre propre confiance en vous.

Auteur: Frost Robert

Info:

[ politesse ] [ assurance ]

 

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prière

Seigneur, si Tu me pardonnes
Les petits tours que je te joue,
Je Te pardonnerai, moi,
Le grand tour que Tu m'as joué.

Auteur: Frost Robert

Info: Dans la clairière, 1962

[ interpeller ] [ Dieu ]

 

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fonctionnaire

Le cerveau est un merveilleux organe. Il démarre au moment où vous vous levez et ne s'arrête qu'au moment où vous arrivez au bureau.

Auteur: Frost Robert

Info:

[ humour ]

 

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poème

Ces bois sont charmants, sombres et profonds.
Mais il me reste des promesses à tenir
Et des lieux à parcourir avant de dormir
Et des lieux à parcourir avant de dormir

Auteur: Frost Robert

Info: The Road Not Taken and Other Poems

[ existence ]

 

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océan

Les gens le long des plages

Se tournent et regardent tous du même côté ;

Ils tournent le dos à la terre

Et regardent la mer toute la journée.



Ils ne peuvent pas regarder bien loin,

Ils ne peuvent pas regarder bien profond ;

Mais ceci n'a jamais fait obstacle

À leur contemplation.


Auteur: Frost Robert

Info:

[ fascinant ] [ poème ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

apprentissage

Une de mes voisines, au village,
Aime raconter qu'un matin de printemps,
Quand elle était jeune fille à la ferme,
Elle se conduisit comme une enfant.

Un jour elle demanda à son père
De lui donner un bout de jardin
Pour qu'elle sème, cultive et récolte elle-même,
Et elle l'obtint.

Prospectant alentour, il se souvint
D'une parcelle à l'abandon,
Entourée par le mur d'un ancien atelier,
Et il dit : "Bon."

Puis il dit : "Voilà qui devrait te faire,
Pour toi toute seule, une belle ferme,
Et te donnera l'occasion de rendre
Tes bras un peu plus fermes."

Il n'y avait pas assez de terrain
Pour passer la charrue, dit son père.
Aussi dut-elle tout faire à la main,
Mais elle ne s'en souciait guère.

Elle portait le fumier dans une brouette,
Le long d'une petite route,
Mais toujours elle partait, laissant
Ce chargement qui dégoûte,

Et se cachait de quiconque passait.
Puis elle demanda des semis.
Elle dit qu'elle pense qu'elle a planté
De chaque espèce, sauf l'ortie.

Un rang pour les pommes de terre,
Un pour les radis, les salades, les fraisiers,
Les tomates, les haricots, les citrouilles, le maïs,
Et même les arbres fruitiers.

Et, oui, elle a longtemps suspecté
Avoir aussi planté le pommier à cidre
Qu'on voit actuellement -
En tous cas, c'est possible.

Sa récolte fut un miscellanée,
Quand arriva la fin :
Un petit peu de tout,
Et beaucoup de rien.

Alors, quand elle voit, au village,
Comment vont les affaires,
Quand tout semble aller pour le mieux,
Elle dit : "Comme quand j'étais fermière,

Je sais bien !"
Oh, jamais pour donner un conseil -
Et elle ne commet jamais l'erreur, aux mêmes personnes,
De dire deux fois pareil.

Auteur: Frost Robert

Info: Ma traduction (assez libre) du poème "A girl's garden", in "The collected poems", éd. Vintage, p. 110-111

[ projet ] [ jardinage ] [ leçon ] [ poème ] [ parabole ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

oser

Deux routes divergeaient dans un bois jaune,
Et je regrettai de ne pouvoir prendre les deux
Et, unique voyageur, je suis resté longtemps
Et ai regardé aussi loin que possible
Là où ils se fondent dans les sous-bois ;

Puis j'ai pris l'autre, tout aussi bien,
Peut-être la meilleure alternative,
Parce qu'herbeux il voulait être pris ;
Bien que comme passages de cet endroit
Je les percevais comme similaires,

Donc ce matin-là, ils se présentaient égaux
Dans leurs feuilles sombres, aucune trace de pas.
Oh, j'ai gardé le premier pour un autre jour !
Maintenant sachant qu'une voie mène à une autre,
Je doutais pouvoir y revenir un jour.

Je devrai le dire avec un soupir
Quelque part, à des âges et des âges d'ici :
Deux routes divergeaient dans un bois, et je...
J'ai pris le moins fréquenté,
Et ça a fait toute la différence.

*******

Two roads diverged in a yellow wood,
And sorry I could not travel both
And be one traveler, long I stood
And looked down one as far as I could
To where it bent in the undergrowth;

Then took the other, as just as fair,
And having perhaps the better claim,
Because it was grassy and wanted wear;
Though as for that the passing there
Had worn them really about the same,

And both that morning equally lay
In leaves no step had trodden black.
Oh, I kept the first for another day!
Yet knowing how way leads on to way,
I doubted if I should ever come back.

I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.

Auteur: Frost Robert

Info: Selected Poems. The Road Not Taken. Trad Mg

[ risquer ] [ choisir ] [ hasard ]

 
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