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pessimisme

La lecture du jounal avilit celui qu'elle n'abrutit pas

Auteur: Gomez Davila Nicolas

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[ médias ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

petit écran

La télévision rend intelligent les gens qui n'ont pas accès à la culture et abrutit ceux qui se croient cultivés.

Auteur: Eco Umberto

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[ infobésité ] [ décoratif aliénant ] [ dépaysant libérateur ]

 

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alcool

L'excès du vin dégrade l'homme, aliène au moins sa raison pour un temps, et l'abrutit à la longue. Mais enfin le goût du vin n'est pas un crime; il en fait rarement commettre; il rend l'homme stupide et non pas méchant.

Auteur: Rousseau Jean-Jacques

Info:

[ abrutissant ]

 

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abrutissement

Plus le quotidien nous abrutit, plus notre regard s'émousse. Tout se passe comme si notre perception, usée par les préoccupations, glisse sur les êtres et les choses sans en rien retenir, qu'elle se contente d'effleurer la réalité sans en rien déchiffrer. Ce qu'on appelle la réalité n'existe pas: c'est un paravent. Précisément, le monde est un trompe-l'oeil et le trompe-l'oeil un monde. On erre dans cet entre-deux.

Auteur: Le Gouëfflec Arnaud

Info: Les Discrets, Editions Ginkgo, 2007, page 100

[ désintérêt ] [ absence ]

 

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consumérisme

La religion est dangereuse. Elle entrave les progrès de l'humanité comme un cancer. C'est l'opium dégueulasse du peuple, ça l'abrutit avec des conneries magiques et ça flatte nos ego.
Deux milliards de personnes meurent de faim pendant que l'Amérique fait main basse sur les ressources mondiales pour satisfaire sa surconsommation obscène. On se gave d'essence, de fast food et de divertissement tout en ignorant le vrai coût de nos modes de vie.

Auteur: Murphy Sean

Info: Punk rock Jésus

[ usa ]

 

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labeur

Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté. OEuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail, tirer de la joie d'un effort qui ne mène qu'à des accomplissements sans valeur, estimer qu'on ne peut se réaliser autrement que par le labeur incessant - voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel. Le centre d'intérêt de l'individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade objectivité ; l'homme se désintéresse alors de son propre destin, de son évolution intérieure, pour s'attacher à n'importe quoi : l'oeuvre véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration, est devenue un moyen d'extériorisation qui lui fait quitter l'intime de son être. Il est significatif que le travail en soit venu à désigner une activité purement extérieure : aussi l'homme ne s'y réalise-t-il pas - il réalise.

Auteur: Cioran Emil Michel

Info: Sur les cimes du désespoir, OEuvres, Quarto Gallimard 1995, p.88-89

[ abrutissement ]

 

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servitude volontaire

La machine c'est l'infection même. La défaite suprême ! Quel flanc ! Quel bidon ! La machine la mieux stylée n'a jamais délivré personne. Elle abrutit l'Homme plus cruellement et c'est tout ! J'ai été médecin chez Ford, je sais ce que je raconte. Tous les Fords se ressemblent, soviétiques ou non !... Se reposer sur la machine, c'est seulement une excuse de plus pour continuer les vacheries. C'est éluder la vraie question, la seule, l'intime, la suprême, celle qu'est tout au fond de tout bonhomme, dans sa viande même, dans son cassis et pas ailleurs !... Le véritable inconnu de toutes les sociétés possibles et impossibles... Personne de ça n'en parle jamais, c'est pas "politique" !.... C'est le tabou colossal !... La question "ultime" défendue ! Pourtant qu'il soit debout, à quatre pattes, couché, à l'envers, l'Homme n'a jamais eu, en l'air et sur terre, qu'un seul tyran : lui-même !... Il en aura jamais eu d'autres... C'est peut-être dommage d'ailleurs... Ça l'aurait peut-être dressé, rendu finalement social.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Mea culpa

[ inclination inconsciente ] [ paresse moteur ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson