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Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
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citation s'appliquant à ce logiciel

L'esprit est enfermé dans la matière (où, comment ? à un niveau vibratoire donné ? Que veut dire le terme vibratoire, par rapport aux atomes par exemple, qu'en est-il des autres niveaux ? mais stop). 

Lorsque la conscience d'un individu se forme (secondéité construite via des mots "quasi-esprits" ?) elle le fait par la succession et le mélange continus d'imprégnations/itérations, cadencées par les  aléas de son existence, expériences concrètes qui semblent présider à des choix que l'esprit imprime/mémorise au-delà de la volonté de la personne. 

Ce qui en résulte (singularité individuelle, parlêtre ?) ne cesse de se coltiner la réalité, mais avec des facultés d'imprégnations qui, avec l'âge, semblent aller en se réduisant. Cet être pensant se voit  lui-même comme une continuité, ego singulier persistant, point unique qui s'affine.  

A l'image des phrases qui précédent la pensée humaine est plutôt linéaire, puisque directement liée avec des formes d'écritures-lectures qui ne sont que l'acceptation de mots/phrases/idées alignés. Lire consistant à se laisser conduire (et y croire ?) le long de mots/paragraphes/textes plus ou moins longs. Alignements qui résonnent en nous. Pensées rectilignes, quasi télépathiques, puisque non polluées par les apparences/mimiques des intervenants. Processus où le lecteur représente une forme de "cassure de linéarité", dans la mesure où il se retrouve confronté à des formulations/mondes qui le heurtent plus ou moins. 

Tel est peut-être le fragile des pensées induites par la lecture. Habitudes d'horizontalité dans la présentation des choses, des actions et de leurs continuités. 

Tout est beaucoup plus enchevêtré que cela. La pensée, si on veut bien s'essayer à voir notre Terre "Gaïa" comme un cerveau matrice qui coordonne l'extraordinaire émergence vitale à sa surface, ressemble à autre chose. Nous sommes partie d'un tout, pas une race/espèce "au-dessus" du reste, destinée à conquérir l'univers pour lui expliquer le sens des choses.

Il est donc probable que cette réflexion-mémoire externalisée des humains, (même si, avec le temps et de continues investigations, elle s'est délinéarisée sous forme de complexes corpus universitaires) est entravée par sa trop grande linéarité. 

Au-delà d'un enfermement anthropocentrique qui ressemble beaucoup à une impasse et qu'il faut maintenant tenter de réduire, FLP - via ses fonctionnalités diverses - propose des voies pour accompagner les "modification d'habitudes de linéarité" amenées par Internet et le numérique. 

Par exemple avec le "nuage de corrélats" - fonction qui ira en s'améliorant - FLP ouvre en direction d'une certaine verticalité syntaxique, non-séquentielle. Un peu comme  l'"heptapod B" de Ted Chiang.

Auteur: Mg

Info: 2 février 2022

[ questions ]

 

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étiquetage

Le référencement, c'est à dire le fait de créditer l'auteur d'une phrase/idée, présente, si on se met dans l'optique FLP, plus d'inconvénients que d'avantages. Déjà parce nous sommes dans un monde sémantique à fond anthropocentrique - voire androcentrique - dont il va falloir rapidement se distancier puisque ces deux instanciations fondatrices ont suffisamment montré leurs limites au vu de la situation globale des humains en 2022.

En réalité une quête de pureté onomasiologique devrait pouvoir s'en abstraire, si on veut bien réaliser qu'une immense partie des référencements furent motivés et articulés sur des bases douteuses, dues probablement - si on veut être optimiste - à une espèce humaine extrêmement jeune en terme de développement, espèce principalement soumise à son avidité et à des pulsions primitives, défauts trop souvent concentrés et démultipliés par des dirigeants désireux de maintenir/consolider leurs pouvoirs. Grand manque de conscience et de sagesse donc. 

Pour argumenter un peu plus en détails en ce sens on citera, entre autres, les diverses "vérités des vainqueurs", "damnatio memoriae"... et autres inerties de "savoirs établis" bien en peine de reconnaitre la fugacité de leurs vérités... Sans parler des arguments d'autorité qui vous assèneront que tel extrait de Shakespeare ou Einstein est plus vrai/pertinent que la parole d'un individu lambda ayant vraiment expérimenté une situation. 

Pour faire très court, on dira que pouvoir et linguistique forment dès le départ un curieux ménage puisque les mots furent et sont encore bel et bien orientés et décidés "d'en haut" via les règlements nationaux, dogmes politico/religieux, etc. 

Imprégnation sémantique devenue plus géopolitique actuellement à voir combien les médias, loisirs, systèmes comptables, universités et hautes écoles... sont noyautés par la pensée US post ww2.

Bien sûr la culture d'en-bas, celle de la masse, réseaux sociaux et des démographies... génère d'autres biais, pensons aux deux "biens" que sont l'Etat Providence et la culture de l'émotion, avec tous les excès qu'ils portent en  eux.

FLP penche cependant vers cette seconde catégorie... n'est que par envie de compensation historique. Pour notre système le sens des mots et des phrases devraient donc plutôt être discutés, mis en question et continuellement définis... "par tous", surtout via la fonction "chaines" qu'on pourra éventuellement apparenter à une forme de lemmatisation dans l'avenir.

Et puis il y a l'accélération des choses, l'informatique y aura bien aidé... Mais aussi les bienfaits des inerties, paliers historiques, stases dans l'évolution... Les bénéfices de ces arrêts... de la prise du temps de réflexion, du temps long... de la pondérations des équilibres. Timing des actions synchronisées... Diachronies discontinues... Uchronies créatrices.... Toutes idées au regard desquelles le langage apparait comme bien dérisoire. Mais stop.

Il faudrait donc avoir bien des trucs en tête lorsqu'on s'amuse à insérer un extrait sur FLP.... Se situer quelque part en-deça de soi-même dans l'idéal... et ne s'appuyer que sur le SENS de "l'agencement des mots". En faisant aussi bien gaffe à être le plus précis et pointilleux pour ce qui concerne le paramétrage des auteurs et des infos concernant le texte inséré. 

Alors, la classification enchevêtrée du système FLP et la souple puissance de son moteur de recherche, alliées aux outils étymologiques et lexicologiques d'Internet, ainsi qu'aux interventions des participants et de la modération, devraient permettre d'ordonner, contextualiser, intriquer, verticaliser... telle pensée ou extrait... le moins mal possible... Et faire avancer ce grand jeu pré-mémétique de la pensée humaine.

Auteur: Mg

Info: 15 juin 2022

[ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ indexation ]

 

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prospective

Le langage est dangereux dans la mesure où il permet de tout justifier, de tout expliquer... de se perdre, de fuir... D'enfumer les personnes moins au fait d'armes rhétoriques qui, suite à l'arrivée de La Bombe, sont devenues plus agissantes et importantes que le métal qui coupe et transperce ou le fusil qui tue à distance. 

Vue sous cet angle l'opinion est comme une femme, une fois son esprit capté, ou mieux, son âme formatée, le gros du travail est fait. Pour autant qu'on assure un minimum d'affection et de confort ensuite. (Non, stop, pitié...   arrêtez de cogner les filles, on peut inverser  ou mélanger les genres ici)

Nous sommes dans la continuelle bascule de notre évolution collective, à un point où expression abstraite et théorie ont pris le pas sur une pratique brutale ensuite mise en mots. 

Tout le monde sait la fragilité de l'édifice, il suffit d'imaginer une ville comme Paris sans approvisionnement pendant une semaine... Si ce système craque de manière générale ce sera l'enfer.

A l'heure d'une société de communication globale ce n'est pas pour rien que les "éléments de langages" sont devenus primordiaux. Réitérés ad infinitum (voir pour le Co-vid) ils montrent une fois encore l'importance décisive de l'information et de la création du consensus. Les politiques, Google, FB et  autres gouvernements/réseaux sociaux sont évidemment controlés par des gens au courant de celà. Il suffit d'une logique de base (le CO-vid ça tue) accompagnée d'une majorité d'éléments sémantiques qui vont dans ce sens, et le tour est joué. 

Nous autres mammifères glabres en équilibre sur deux membres sommes à un stade si peu avancé de développement qu'une simple logique duale, pulsionnelle binaire - celle qui sous-tend tous nos raisonnements et langages - est très aisée à orienter. 

Reste qu'il faudrait quand même parvenir à établir, peu ou prout, et au jour le jour si possible (en contact avec le réel donc), un minimum de cohérence au sein de cette triade : a) codage de la réalité par le langage, b) les pratiques/impacts d'humains qui sont organisés par lui. C) l'interaction avec le reste de la réalité qui en résulte - c'est à dire l'impact sur le reste de la vie sur terre pour être pragmatique. 

Je ne crois pas que l'humain soit au centre. 

Sauf pour lui-même, successivement conforté qu'il fut par des constructions sémantiques collectives établies par lui seul. Il s'est éloigné - en tant qu'espèce - d'une appartenance/collaboration globale avec les infinis développements de la vie - pour l'instant terrestre. (Lisez Kropotkine)

Certes on voit un sursaut actuellement, l'avenir s'assombrit, noirceur souvent confortée par des vieux (certains ne voient pas même qu'ils confondent/mélangent leur crépuscule singulier avec cet avenir inquiétant). Il y a donc place pour l'optimisme. 

Mais ce n'est pas assez, de beaucoup.

L'anthropocentrisme a mené où nous sommes, appuyé sur des fondements sémantiques, évidemment collectifs, sous-tendus par une hiérarchisation insensée. 

Comment imaginer un changement, une déviation de ceci ? 

Peut-être en refondant une grammaire de base où le "je", toujours humain, ou dominant (secondéité), puisse être mieux attribué et réparti dans ce qui fonde le codage du réel de notre civilisation humaine (tiercité anthropocentrique). Notre mémoire/réflexion - collective parce qu'externalisable comme ce court texte, est biaisée. 

Dans un univers où tout est information et interactions il y a clairement, sur ce point précis, un déficit structurel, un déséquilibre interne au sein de la monade humaine qui, s'il n'est pas corrigé, l'empêchera de s'intégrer correctement au reste du cosmos. 

Il faut reconsidérer cette manière de développer un réel consensuel, le nôtre, sur une base linguistique qui semble montrer ses limites. 

Ce réel humano-centré "accepté et construit ensemble" ne pourra être modifié qu'avec une remise en question profonde, je dirais même mieux : radicale.

Auteur: Mg

Info: 13 août 2020

[ science-fiction ] [ anticipation ] [ nouveau paradigme ] [ mémétique ]

 

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FLP par soi-même

Nous-Je, humains bipèdes de la 3e planète, sommes issus d'une tribu qui a développé des signes puis des langages - améliorés ensuite via diverses fixations sur supports - débuts d'une mémorisation externe, avec ensuite des processus de traductions - au final un corpus extra-communautaire qui se prolonge dans le temps. Corpus qui n'est qu'un simple codage consensuel des représentations de notre réel humain, une réalité consensuelle anthropocentrique.

Vient la machine FLP.

En plus des règles incontournables d'insertions, d'une nécessaire compréhension du sens, alliée aux désambiguations sémantiques et étymologiques que permet le web, la méthodologie de FLP s'appuie sur quelques idées-fondations. Et un apriori audacieux. 

Les deux premières idées émanent de notre principal mentor, CS Peirce :

a) Un mot est quasi-esprit 

b) La triade priméité, secondéité, tiercité est incontournable. Elle permettra une approche pragmatique en cas de rencontre xénolinguistique (sous-entendu un langage alien, éventuellement auto-décrit et fixé sur support externe lui aussi.)

c) Notre apriori aventuré : la dualité du fonctionnement humain (principe du tiers exclus et autres développements boléens) atteint ses limites et conséquemment le fonctionnement tétravalent de l'atome du carbone (majeure ossature du développement de la vie telle que nous la connaissons) mérite une certaine attention quant aux possibilités logiques (sur base 4), et la souplesse des combinaisons qu'il propose. Une simple mise en parallèle des développements biologiques et leurs inouïes complexités taxonomiques entrelacées - par comparaison avec le langage et les idées humaines mélangées - nous donne idée de la pauvreté et de la simplicité de nos mots, idiomes et concepts... au regard, par exemple, des développements de l'arbre du vivant. Sans parler des incessantes avancées de l'épigénétique quantique - et autre trouvailles biophysiques, qui tendent à montrer que la frontière matériel-immatériel n'est pas "marquée", duale... formatés que nous sommes par des habitudes de catégorisations/classifications.

d) Les points précédents n'empêchent pas - et conduisent peut-être - vers une remise en question du rationalisme triomphant au regard de toutes les impuissances que ce dernier montre face à beaucoup de phénomènes classés dans les rubriques paranormales, parapsychique, voire pour dingo-lunatiques. Citons en vrac les placeb et nocebo, les prémonitions, Ufos, voyages astraux, l'inconscient, la télépahie, migration des âmes...  et autres phénomènes insaisissables que la science en pantoufle, bien installée dans des constructions longuement développées, a bien évidemment de la peine à aborder sereinement, c'est à dire sans se remettre profondément en question. 

e) Considérant que d'une certaine manière "tout est dans tout" et que l'unique approche communautaire humaine pour tenter de "mieux comprendre" son monde et qui nous sommes, se situe dans le langage. Considérant aussi que les divers idiomes des hommes - ici ramenés au français - apparaissent comme les meilleurs outils pour formuler et coder nos représentations de singes dépoilés (à l'instar des maths ou de la musique qui ne peuvent parler du langage) FLP, par les vertus de la technologie, se propose de sortir des taxinomies habituelles pour, à partir du mot simple et, dans un premiers temps, des combinaisons à deux ou trois items (mais on peut ici aller beaucoup plus loin),  proposer ce que nous nommons un "dictionnaire analogique intriqué".

Viennent alors les lectures exploratoires réflexives, personnelles, subjectives, dans ce nouveau biotope. Et puis une éventuelle participation, via l'insertion d'extraits, les discussions et propositions/modifications de tags-étiquettes... 

Enfin, avec un peu de pratique, s'offrent les possibilités de liaisons et de création de chaines pour les participants curieux, sujets quêteurs, joueurs... Qui, avec ces deux actions, pourront explorer certaines marottes personnelles, et commenceront non seulement à développer leurs propres Fils de pensées mais aussi, en précisant leur idée-intuition de départ, la contextualiseront mieux dans le corpus des mots et du langage en général. 

FLP est une forêt, avec une topologie multidimensionnelle. Beaucoup de ses sentiers s'y avéreront ardus, souvent trop longs, propices aux égarements, mais permettront parfois d'atteindre parfois certaine hauteurs bien agréables... Sans parler des chances de s'y retrouver coincé, arrêté par un cul-de-sac.

Auteur: Mg

Info: 4 août 2022

[ auto-arborescence ]

 

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théorie du tout

Notre réalité est pure information. Information géométrique. L'information étant le sens, sous forme de symbolisme. 

D'où la question, quel type d'information pour exprimer un langage géométrique ?

Information implique signification. Mais que veut dire signification ?

C'est une comparaison, c'est à dire la perception de quelque chose relativement à quelque chose d'autre. Ainsi, pour pouvoir exister une chose doit être perçue, ou mesurée, par quelque forme de conscience. 

Einstein a montré que passé et futur existent simultanément dans un objet géométrique ; de fait tous les temps existent conjointement (les mathématiques le montrent de plein de manières). Donc : passé et futur s'influençant sans cesse, tout est toujours dans l'instant présent. Alors, si chaque moment influence et co-crée chaque autre moment dans quelque sens que ce soit, la réalité ne peut qu'être un massif  réseau neuronal qui sillonne l'espace et le temps.

Réseau doté d'une spécificité étonnante. Il serait son propre créateur.

Parallèlement, comme l'a démontré la mécanique quantique, le futur n'est pas prédéterminé. Conséquemment existe le libre-arbitre.

Comment marche le libre-arbitre ? La physique quantique montre que la réalité n'existe que lorsqu'elle est observée. Wheeler déclara en son temps que la réalité est constitué d'informations, elles-mêmes créées par l'observation. Frank Wilczec ajouta ensuite que la physique quantique reste obscure et sujette à débat. Et qu'elle le restera tant qu'on aura pas défini, au sein du formalisme quantique, un observateur, entité moderne dont les conditions et/ou contours correspondent à une caricature reconnaissable de la conscience consciente. C'est à dire une entité, pas nécessairement terrestre, capable d'observer et mesurer.

Mais comment pourrait être cette entité ? Je suis, nous sommes... tous conscient, mais qu'est-.ce que cela veut dire ?

On sait juste que la conscience est liée de manière proche à  la science physique mais personne ne sait dire ce qu'elle hors de l'idée qu'elle joue un rôle central dans l'existence du réel.

Est-elle juste l'émergence d'une boucle de rétroaction de causalité ? Heisenberg développa en son temps les maths matricielles, arrivant à la conclusion que la réalité est pixelliseé en nano unités tridimensionnelles insécables, de la taille la plus petite dans l'échelle de Planck. Chacune (nommée tétrahedron, c'est à dire un polyèdre composé de quatre faces triangulaires) fonctionnant comme nos pixels sur les écrans TV.

Hélas ce qui précède n'apporte aucune preuve que cet espace, le notre, soit un tel ensemble uniforme, homogène, fluide, etc.  Malgré tout, mathématiquement, tout converge vers la consolidation de cette idée d'une pixellisation de la réalité.

Du coup quel code géométrique sera-t'il à même de modéliser cette réalité pixellisée ?

Les recherches au CERN ou ailleurs  sur la physique des particules conduisent toutes vers ce que les physiciens nomment "transformation de symétrie de jauge", chacune menant vers une notion de forme, géomètrique donc.

Mais ici apparait une forme, et pas n'importe laquelle. Il s'agit d'un modèle géométrique à 8 dimensions, plus précisément un crystal 8 D (Rappelons que crystal signifie motif périodique), modèle qu'on pourra se représenter tel un "treillis à 8  dimensions" (E8 lattice), structure 8 D qui présente 240 noeuds, ou points tournants (vertex-vertices), que nous nommons gosset polytope.

Lorsque ce gosset polytope est projeté en 4 dimensions il se métamorphose en deux formes identiques de tailles différentes, dont le ratio est précisément 0,618, c'est à dire celui du nombre d'or, constante fondamentale de la nature qui apparait à toutes les échelles de l'univers connu (par exemple il détermine le moment précis ou un trou noir passe de positif à négatif en étant partie de l'équation qui précise la limite inférieure de son entropie). Il se rapporte aussi à la gravité de la boucle quantique.

Ainsi ce ratio de Fibonnaci unifie les limites inférieures et supérieures (cosmiques - quantique) de la préhension du réel par les scientifiques, physiciens pour grande partie.

Et, si on revient aux maths matricielles qui fonctionnent à partir d'eigen values (Valeur propre, vecteur propre et espace propre) indiquées comme triviales (1,2 ou 0) ou non triviales (pour les nombres plus complexes.) on arrive à la partie intéressante : les deux plus grandes probabilités d'eigenvalues non triviales qui apparaissent dans une matrice binaire sont :

-  le golden ratio  et

-1 sur (over) le nombre d'or.

Tel est le lien très profond qui unit mécanique quantique et cosmologie. Ce ratio, qui est apparu dans un grand nombre d'observations, a cependant toujours été appréhendé par les scientifiques comme un truc d'amateurs. Et maintenant on constate, une fois de plus, que ce nombre d'or apparait vraiment partout.

Pour terminer résumons ici les sept indices que nous donne la nature pour contruire cette théorie du tout (emergence theory)

information

indéterminisme

boucle de causalité

conscience

pixellisation

cristal E 8  (à 8 dimensions)

nombre d'or

Auteur: Anonyme

Info: Youtube - Quantum Gravity Research, What Is Reality? Official Film. https://www.youtube.com/watch?v=w0ztlIAYTCU

[ sciences ] [ septénaire ] [ miroir anthropocentrique ] [ monde humain consensuel ] [ atemporalité ] [ programme de langlands ]

 

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citation s'appliquant à ce logiciel

Attention ce texte implique plusieurs pensées croisées.

Comme chacun sait, nous sommes formatés par notre éducation, l'environnement et ainsi de suite. Un peu comme les phrases, chapitres... livres...  peuvent être les niveaux d'échelles qui structurent les mots et la pensée de nos langages et de la littérature.

Comment en sortir ? Ensemble peut-être.

En termes de "réflexion personnelle commune" il semble que l'humain est, de manière générale, limité au niveau de la phrase ou de la formule. Tout simplement parce que la survie le demande. Dans l'action animale le cause-effet de la situation se passe vite, trop vite pour que l'individu isolé puisse développer sa réflexion.

Maintenant les hommes, touchons du bois, sont semble-t'il passés au-delà de l'individu et de sa survie immédiate. Ils ont pris le temps de réfléchir, ils développent ; voilà les philosophes et... le langage. Et, grâce à Internet, il est devenu possible de le faire de manière collective. Même si d'aucuns avancent que le langage, forcément anthropocentrique, nous éloigne de fait de la nature matrice source, ce que nous pensons aussi.

Qu'est-ce alors qu'une intelligence ensemble ? Carl Friedrich von Weizsäcker donne un début de réponse.

"La raison pratique sert la perception de ses propres intérêts, La raison théorique profonde celle de l'intérêt général."

Au départ de cette compilation FLP nous nous intéressions aux formules courtes (disons 5 mots en moyenne). Ensuite sont venus des extraits plus longs plus "littéraires", un peu comme l'a écrit Claudio Magris :

"L'Histoire dit les événements, la sociologie décrit les processus, la statistique fournit les chiffres, mais c'est la littérature qui les fait toucher du doigt, là où ils prennent corps et sang dans l'existence des hommes."

C'est ainsi que le langage écrit, témoignage par les mots de la réalité humaine, est maintenant mis en "réflexivité collective" via les "likes" et autres remarques que proposent d'innombrables web spots. Avec ce site nous tentons donc d'aller un peu plus loin puisque nous faisons en sorte qu'il se nourrisse de citations (étiquetées) par les surfeurs, ajouts modérés avant leur publication.

Aussi, développement supplémentaire, les participants inscrits peuvent lier certaines citations, ce qui permet souvent de comparer différentes formulations de la même idée (équation ?) et de ses varations.

Plus avant FLP offre la possibilité de développer des "chaines", ("Oh les beaux enfants") et même des chaines collectives. Voilà comment les choses avancent depuis plusieurs années.

Résultat évident à ce stade de cette expérience collective : "Plus une pensée courte est populaire, plus elle tient de l'axiome. Plus elle est longue, plus elle témoigne de la singularité de son auteur." 

Récapitulons :

Les formules/extraits sont tagués sur deux niveaux :

1) tag-chapitre, "catégorie" supposé être le plus généraliste, ce qui est déjà délicat à définir ! Il y a déjà ici une piste que nous allons développer pour le tag chapitre "catégorie" : établir sa pertinence via une auto-modération des participants. Nous y reviendrons.

2) tag simple, qui précise et oriente.

Ici aussi tout un chacun peut demander à modifier un étiquetage dont la pertinence pourra être discutée via une modération pyramidale.

3) les auteurs sont intégrés à la base de donnée avec 6 paramètres séparés (qui rendent "plus intelligente" la BD" et permettent de préciser une recherche)

A ce stade des "Fils de la pensée" on incitera le participant a déjà s'amuser à faire des recherches en combinant tags, auteurs, longueurs, périodes historiques, etc., ce qui est déjà énorme et complexe, mais surtout lui donnera une idée de comment "répond" le système.

Il faut aussi savoir qu'il y eut rapidement besoin d'améliorer l'indexage, ce qui amena à créer des tags/concepts moins imprécis : fond-forme, causes-effets, homme-machine, femmes-hommes, théorie-pratique, etc. Et aussi ensuite d'utiliser des mots/tags qui n'existent pas en français, nommés et recensés ici comme "intraduisibles".

Malgré tout, même précisé, un mot-tag reste porteur de plusieurs sens (terme-carrefour, métonymie) et peut signifier tout et son contraire en fonction du contexte et de l'agencement des phrases.

Apparraissent alors ce que nous nommons "méta-tags", une troisième catégorie, un peu à l'image du terme "Livre" dans la hiérarchie d'une bibliothèque, apparitions répétées de certaines combinaisons de tags. Combinaisons qui délimitent mieux une réflexion dont le champ est précisé, s'affinant, quand tout va bien, au sens philosophique du terme, avec les collaborations des participants.

Ainsi s'est établie une liste de doublons ou de triplettes de tags-mots-concepts, pistes qui se sont dessinées par répétition des passages (sont-ils des équations ) . En voici quelques exemples.

mort - omniprésence

conclure - illusion

amour - temps

mauvaise nouvelle - efficacité

survie - éthique

musique - langage

réconfort - ordre

enfance - imagination

protéger - affaiblir

être humain - quête

lecture - miroir

non-voyant - témoignage

femmes-par-femmes - amour etc., etc...

Exemples de triplettes :

complexité - vie - bouillonnement

humain - animal - particulier

réveil - naitre - réintégration

mentir - fuite - beaux-arts

motivation - transgression - jeunesse etc., etc...

On pourra bien évidemment complexifier à loisir tout ce qui précède mais il vaut mieux faire ici une pause. Il semble que c'est d'abord en se mettant d'accord via une modération (des participants actuellement, pyramidale bientôt ?) sur la moins mauvaise pertinence des mots-tags-chapitres d'une formule-citation, que nous établirons une base commune, un peu plus solide et moins aléatoire, pour avancer.

Pour l'instant ce sont les chaines et, dans une moindre mesure, les citations liées, qui clarifient un peu plus un mot-idée-concept - ou une phrase.

Ensuite, une fois ce groupe de réflexion collective mis en place, pourra peut-être venir le temps d'établir des "méta-tags" selon des critères à définir. Mais là nous sommes dans de la musique d'avenir. Concluons par trois questions dont les réponses, possibles sujets-chaines au sein même d'un telle tentative de réflexion collective, nous semblent importantes.

- Peut-on mélanger et structurer nos pensées et nos échelles de pensées "ensemble" sans faire ressortir de froides et imbéciles statistiques d'une société de consommation productiviste ?

- Comment éviter que la technologie ne conduise l'homme à se spécialiser dans l'humain, mais au contraire à l'aider à développer sa sagesse-tolérance et son ouverture aux autres espèces vivantes pour qu'il tente de trouver une plus juste place dans la réalité ?

- Avec la disparition du travail, comment conserver une motivation forte chez les individus si la problématique de survie immédiate disparaît ?

Auteur: Mg

Info: 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2021, 2022

[ quête ] [ classification ] [ structuration ] [ taxinomie ] [ ranger ] [ taxonomie ] [ langage consensus vs singularités biologiques ] [ objectivités vs subjectivités ]

 

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