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femmes-hommes

Sujettes aux maux les plus atroces et les plus fréquents, nous devons les dissimuler, les soigner dans le secret, en souriant presque, pour ne pas ennuyer les hommes, qui ne sont pas très aptes à éprouver une longue pitié efficace et dévouée.

Auteur: Jouvin Bernadette

Info: Pour être heureuse, 1907

[ pensée-de-femme ] [ souffrance ]

 

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excréments

La merde de l'homme se forme dans le duodénum.
Qu'il ait une diarrhée, il est languissant et doux;
La force lui manque pour être méchant...
Qu'il soit constipé, alors les soufres et les sels
De sa merde rentrant dans son chyle, fournissent
À son cerveau des idées atroces.

Auteur: Voltaire

Info:

[ angoisse ]

 

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éducation

A quoi bon expliciter. Par exemple un enfant qui a fait des conneries. On lui explique qu'ils les a faites par manque d'amour de ses parents. Si c'est vrai vous l'humiliez, ou pire vous faites comme si vous le connaissiez, le mettez à jour, l'enserrez dans vos mailles atroces.

Auteur: Mg

Info: 5 juillet 2014

[ pédagogie ] [ langage ] [ inutile ] [ rapports humains ]

 

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univers

Le sens de la terre, mais c'est le sens de la marche du soleil, le sens d'une harmonie préétablie et d'une divine volonté, le sens de la vie inconsciente de cette vieille planète qui nous porte allègrement et pour qui nos atroces tumultes ne sont que de légères irritations de peau.

Auteur: Morand Paul

Info: Chroniques 1931-1954 (2001, 651 p., Grasset, p.593)

 

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verges

(...) la poétesse Ronnie Roberts trouvait les pénis si atroces et laids que, dans son poème "Portrait of a Former Penis Bigot" (Portrait d'une ancienne dévote du pénis), elle révéla qu'elle avait l'habitude de dessiner au feutre des visages souriants sur ceux de ses amants - de quoi modifier, peut-être, le regard que l'on posera désormais sur les smileys.

Auteur: Hickman Tom

Info: Le bidule de Dieu, p. 18

[ phallus ]

 

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femmes-par-hommes

Son corps était jeune, doux, tendre charmant, les seins comme de petits oiseaux en vol, son cul comme une fleur... Il se sentait gourmand à regarder, les yeux fixés sur un banquet, affamé du regard. Mais en la détaillant il la mettait hors de portée, la transformait en une chose qu'il ne voyait plus, ses yeux reflétaient ses péchés, son passé pourri, ses idéaux gâchés, sa passion empoisonnée par la honte? Il se laissa tomber en silence. Dans la cave, au lieu des remords atroces qu'il attendait à éprouver, il ressentit une joie émouvante.

Auteur: Malamud Bernard

Info: Le commis

[ espérance ]

 

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colonialisme

L'extermination des Pequots voilà ce qui mena à la première célébration du Thanksgiving américain. Le lendemain du Mystic massacre, le gouverneur William Bradford décréta "une journée d'actions de grâce dans toutes nos églises pour célébrer notre victoire sur les Pequots". Comme il l'écrira plus tard dans Of Plymouth Plantation, son journal, "c'était un spectacle affreux que de les voir rôtir sur le gril en même temps que des torrents de sang venaient en éteindre les feux, et le tout dégageait une puanteur et des effluves atroces. Mais la victoire semblait un sacrifice bien doux."
C'est cela, et non la fête de 1621, qui constitua la première proclamation de Thanksgiving en Amérique.

Auteur: Whitmer Benjamin

Info: In Revue America, N°4 : De la violence en Amérique par Stephen King de François Busnel

[ barbarie ]

 
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souffrance

- […] je ne sous-entends pas du tout que vous ayez choisi votre maladie, à moins, bien sûr, que vous tiriez un quelconque profit de vos migraines. Est-ce le cas ? […] Nietzsche finit par répondre : "Est-ce que je tire profit, d’une manière ou d’une autre, de ce supplice ? Cela fait longtemps que je me pose cette question. Peut-être, oui, que j’en tire un profit. […] Vous laissez entendre que les crises sont liées à l’angoisse ; mais parfois c’est le contraire : les crises atténuent mon angoisse. Mon travail, qui m’oblige à affronter la face obscure de l’existence, est harassant, et les migraines, si atroces soient-elles, constituent une sorte de secousse salutaire qui me permet de tenir bon."

Auteur: Yalom Irvin D.

Info: Et Nietzsche a pleuré

[ appartenance ] [ dualité ] [ bénéfices secondaires ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

camp de concentration

Joseph raconte l'histoire de David. Il avait trois ans quand l'OSE (oeuvre de Secours aux Enfants juifs) l'a fait sortir du camp de Gurs où les conditions de vie étaient atroces. En 1942, les déportations ont commencé et les parents ont remis aux enfants des objets de valeur ou des souvenirs. Le père de David lui a donné sa montre. Il a pris David sur ses genoux, il a pris le pouce de David entre ses doigts et, ensemble, doucement, ils ont remonté le mécanisme de la montre. Son papa a ensuite placé la montre dans la main de David et a refermé ses doigts dessus. Depuis, chaque soir, David la remonte comme son père lui a appris à le faire.

Auteur: Bober Robert

Info: Entretien avec Emmanuelle Huisman-Perrin, La consolation mots pour maux, Revue Autrement, Collection Morales, n°22, avril 1997, p. 45

[ enfance ] [ douleur ] [ souvenir ] [ papa ] [ rituel ] [ émotion ]

 

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persécutions

Grand-mère revint de chez les voisins en racontant qu'un jeune garçon de 14 ans, qui avait réussi à s'enfuir en rampant du ravin, s'était réfugié dans la cour des maraîchers et racontait des choses atroces : là-bas, on déshabillait tout le monde, on alignait les gens au bord du ravin et on tirait dans la nuque du premier de façon à en tuer plusieurs avec une seule balle. On entassait les tués, on les recouvrait d'une couche de terre, et on recommençait l'opération. Mais beaucoup de fusillés étaient encore en vie, si bien que la terre bougeait et certains sortaient en rampant. Alors on les frappait sur la tête et on les poussait à nouveau dans le ravin. Mais lui, on ne l'avait pas vu, il était sorti en rampant et était accouru.

Auteur: Kuznetsov Anatoli

Info: Babi Yar

[ camps de concentration ] [ antisémitisme ]

 

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