Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 10
Temps de recherche: 0.0291s

nourriture

Ce n'est pas le cheval qui tire, mais l'avoine.

Auteur: Proverbe belge

Info:

[ carburant ] [ animal ]

 

Commentaires: 0

motivation

J'écris pour voir ce qui reste à l'extérieur, qui vient s'appuyer contre la vitre du texte, le presque oublié attiré par un mot, une couleur, l'air.

Auteur: Dohollau Heather

Info: L'adret du jour, Folle Avoine, 1989

[ poésie ] [ écriture ]

 

Commentaires: 0

almanach

Sème le blé quand la lune est grande, l'avoine quand la lune est petite, les carottes au croissant, et les pommes de terre au décours de la lune.

Auteur: Proverbe français agricole

Info: Proverbes et dictons agricoles des Côtes-d'Armor 1872

[ cultivateur ]

 

Commentaires: 0

diététique

Manger du son d'avoine permet de réduire le profit que vous feriez des aliments consommés. De ce point de vue, on peut considérer le son d'avoine comme un anti-aliment. Ses fibres sortent de l'organisme plus riches que lorsqu'elles y ont pénétré. Ces calories, le son les dérobe aux aliments qu'il côtoie et les empêche de passer dans le sang.

Auteur: Dukan Pierre

Info: Mon secret minceur et santé

[ mincir ] [ céréale ] [ détox ]

 

Commentaires: 0

aube

C'était l'automne. Des deux côtés du chemin les champs dénudés s'étendaient, jaunis par le pied court des avoines et des blés fauchés qui couvraient le sol comme une barbe mal rasée. La terre embrumée semblait fumer. Des alouettes chantaient en l'air, d'autres oiseaux pépiaient dans les buissons.
Le soleil enfin se leva devant nous, tout rouge au bord de l'horizon ; et, à mesure qu'il montait, plus clair de minute en minute, la campagne paraissait s'éveiller, sourire, se secouer et ôter sa chemise de vapeurs blanches.

Auteur: Maupassant Guy de

Info: Miss Harriet

[ aurore ] [ saison ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

printemps

Ce mois a été fort sec & tempéré ; il y a même eu des jours très-frais.

Les avoines souffoient beaucoup de la sécheresse, ainsi que toutes les plantes potagères ; les pluies qui sont venues sur la fin du mois, entr'autres la grande averse du 29, ont fait beaucoup de bien aux avoines qui épioient à un demi-pied de terre, & ont mis en état de continuer les labours qu'on avoit interrompus à cause de la sécheresse.

On entendoit encore le rossignol. Le 22, on servoit encore des fraises, & les groseilles étoient rouges.

Auteur: Du Hamel du Monceau Henri-Louis

Info: in "Mémoires de l'Académie royale des sciences", mai 1762, p. 397

[ météo ] [ historique ] [ observation scientifique ] [ almanach ]

 
Commentaires: 7
Ajouté à la BD par Benslama

optimisme

Cette année annonce Nasr Eddin à sa femme, à la place de l'avoine, je fais de l'orge.

- Encore une de tes bonnes idées ! Et où iras-tu chercher la semence ?

- Il ne me faut pas plus de 10 grains pour commencer : il m'en donneront 50, avec ces 50, l'année suivante j'en aurai... 250, l'année d'après.... Nasr Eddin reste un moment à calculer dans sa tête. Soudain il démarre en coup de vent et file comme un dard chez le marchand :

- Ismail ! lui crie-t-il en entrant dans la boutique pleine de monde, il me faut au plus vite 200 sacs de jute ! Quelle récolte, mes amis, quelle récolte !!

Auteur: Nasrudin Mulla Nasreddin Nasraddin Nosiriddin

Info: In Sublimes paroles et idioties de Nasr Eddin Hodja de Jean-Louis Maunoury

[ humour ] [ précipitation ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par miguel

saisons

Quand il n’y a absolument plus de neige sur le sol et que quelques journées de soleil en ont séché la surface, il est agréable de comparer les signes encore fragiles de l’an nouveau-né qui émergent à peine, avec la beauté majestueuse de la végétation flétrie qui a résisté à l’hiver – les différents chardons et autres plantes à la tige robuste qui n’ont pas encore semé leurs graines, les roseaux et les joncs gracieux dont l’hiver est plus joyeux et plus altier leur été, comme si jusque-là leur beauté n’avait pas atteint sa maturité. – La folle avoine et les immortelles dont l’automne est à présent venu, ces greniers inépuisables de l’hiver, dont les graines nourrissent les tout premiers oiseaux.

Auteur: Thoreau Henry David

Info: Dans "Histoire de moi-même", page 205

[ cycle de la nature ] [ renouvellement ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

printemps

Ce mois a été froid & venteux, avec des pluies fortes par intervalles & du gresil ; il a gelé à glace depuis le 5 jusqu'au 9, ce qui a endommagé les vignes, sur-tout les jeunes plans ; on a continué à semer les mars (*) vers la moitié du mois ; de long-temps on n'avoit vu les ouvrages retardés comme cette année, à la fin du mois on a semé les pois & les vesces : le froid a été contraire aux seigles & aux blés, ils se sont trouvés très-fatigués, & commençoient à rougir. Les vignes qui avoient poussé pendant le mois de Mars, ont été arrêtées par le froid ; on a entendu le rossignol chanter le 12 dans la plaine.

A la Saint-Georges les cerisiers & autres arbres étoient fleuris.

Auteur: Du Hamel du Monceau Henri-Louis

Info: in "Mémoires de l'Académie royale des sciences", 1781, p. 737 - (*) mars : grains qu'on sème en mars (orge, avoine, millet, etc.)

[ observations scientifiques ] [ météo ] [ agriculture ] [ almanach ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Benslama

délire

Au son de l’orgue de Barbarie, le fiacre allait prendre son tour derrière la file de ses congénères, pour se nourrir et s’abreuver contre un arbre perfectionné, qui contenait un insecte du genre carabe, certains disent un staphylin, dont le ventre s’ornait de caroncules argentées.



Pendant que le cheval épelait son avoine en fourrant sa tête entre les pages, l’insecte se soulageait, dans son arbre, d’un liquide simple, heureusement filtré par l’aubier, et qui sautait en torsade violente, par un sexe de cuivre assez bas sur pattes, avec un bruit bleu longuement modulé, dans un seau de fer battu ou de toile, où le cheval faisait deux petits pas pour aller le boire, et l’uriner presque en même temps par un énorme clou de girofle, en regardant tristement ses souliers.



Ces soins rendus, le cocher nageait vers le traiteur, où on lui servait un pavé de santé de miroton ou de bœuf bourguignon, une entrepèse de grosse miche, un barodet, du piccolo, du fromage, un petit noir avec petit verre, deux dominos de sucre et un crapulo.

Auteur: Fargue Léon-Paul

Info: D'après Paris

[ entomologie ] [ festin ] [ poème ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel