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Une multitude de cols blancs stressés, de rentiers avides, quelques manipulateurs goguenards, deux moteurs - peur et cupidité - et nous voilà avec cette grosse pute frileuse et hypersensible qui anticipe sur le fait qu'il y aura quelque chose à anticiper.

Auteur: MG

Info: 1997

[ marchés financiers ]

 

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Un journal ne peut écrire : - N'achetez pas les produits de la Maison Carré, ils ne valent rien, ce serait de la diffamation. Mais certains journaux écrivent : - N'achetez pas les actions de la Maison Carré, elles ne valent rien... parce que ça, c'est de l'information financière.

Auteur: Detoeuf Auguste

Info: , Propos de O.L. Barenton, confiseur, p.35, Éd. du Tambourinaire, 1962

[ publicité ]

 

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Elle tourna son regard vers la fenêtre. Vers l'hôpital. Là où des infirmières et des aides-soignantes triment pendant de longues heures pour un salaire de misère, tandis que les traders de Stokholm n'ont qu'à appuyer sur les touches de leur clavier pour s'en mettre plein les poches en faisant les paris stupides qui ont plongé le pays entier dans la crise économique.

Auteur: Kallentoft Mons

Info: Printemps

[ finance ] [ injustice ] [ inégalité ]

 

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Regardez le diagramme montrant le rapport de or/argent en Allemagne durant Weimar.
Vers la fin il y eut une rapide montée de ~15:1 à ~150:1, elle s'est produite en quelques mois. Cela correspond au moment où les gens ont commencé à quitter le pays. L'or est meilleur porteur de richesse que l'argent. Un tel événement peut être une bonne indication sur ce qui est en train de se passer. Gardez un oeil sur ce ratio quand l'argent atteindra les 500$ l'once.

Auteur: Internet

Info:

[ finances ] [ conservation ] [ guerre ]

 

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À quoi servent les analystes financiers ? À rationaliser l'aléa, à rassurer, à donner à tout ce chaos une apparence de logique. L'économie, science de l'incertitude, devrait enseigner à ses étudiants la parole oraculaire : l'art de ne dire ni oui ni non, de ne rien préciser, de ne rien démentir, de noyer chaque proposition dans un flou salvateur. Quel aveu dans ce mot d'Alan Greenspan à des journalistes : - Si vous avez compris ce que je viens de dire, c'est que je me suis mal exprimé !

Auteur: Bruckner Pascal

Info: Misère de la prospérité, p.32, Livre de Poche, n°30025

[ langue de bois ] [ économie ]

 

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Ce qui me rappelle une histoire qui s'est passée un vendredi d'octobre 1987. Ce matin-là, tous les médias avaient annoncé que le plus grand krach boursier des six dernières décennies venait de commencer. Petit à petit, des milliers de gens venus de tous les coins de New-York confluèrent sur Wall Street. Sans trop comprendre, les policiers observaient cette masse immobile levant le nez au ciel. Jusqu'à ce que l'affaire s'éclaircisse. Tous attendaient que les premiers brokers désespérés se jettent par les fenêtres. Les images de 1929 étaient dans toutes les mémoires, et nul ne voulait rater l'événement en direct. La dépression des uns fait la joie morbide des autres. Certes, une crise financière n'aurait pas amélioré le sort des petites gens, du moins ne voulaient-ils pas rater le spectacle consolateur des maudits yuppies s'écrasant sur le bitume. La foule attendit longtemps sans que rien ne se passe. Et peu à peu, une rumeur circula: il n'allait rien se passer. Personne n'allait se défenestrer. Car depuis que la climatisation existe, il n'est plus possible d'ouvrir aucune fenêtre à Wall Street. Le petit peuple déçu rentra chez lui. Probablement pensèrent-ils: Foutre, même les joies les plus simples de l'existence sont gâchées par la technique moderne.

Auteur: Paoli Guillaume

Info: cofondateur des Chômeurs heureux, Ne vous laissez pas aller!, conférence à la Volksbühne à Berlin dans le cadre du cycle, capitalisme et dépression, mars 2001

 

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Le spectre d'un krach
Avant l'ouverture du marché, les indications sur les plateformes alternatives sont les plus sombres. Entraîné la chute de Wall Street puis des marchés asiatiques, l'indice est autour de 3.216 points, soit une chute de plus de 3% par rapport à la clôture de la veille.
Quelques minutes avant l'ouverture officielle du marché, les banques entrent en action. Elles achètent massivement leurs titres d'abord, qui forment l'armature de l'indice, puis les actions qui pèsent lourds dans l'indice comme Total, Edf, ou FranceTelecom. Tous les "fondamentaux", les algorithmes boursiers sont jetés au panier. Il faut à tout prix faire monter le Cac, pour éviter la descente aux enfers.
Les banques connaissent par coeur le système. Elles savent à quelques points près où sont les niveaux des autres ordinateurs qui déclenchent les ordres automatiques d'achat. Des millions sont jetés en quelques minutes sur le marché pour forcer l'indice à monter et trouver ses fameux points des ordres automatiques et enclencher le "cercle vertueux" comme diraient les banquiers.
A l'ouverture officielle, le Cac 40 ouvre à 3220, 30 points, en baisse de 3,07%. Et la hausse s'enclenche. A 9h30, l'indice est déjà à 2.285 et ne perd que 1,5% par rapport à la veille. A 10h, il a 3.313, presque au cours de clôture de la veille (3.220 points). En une heure à peine, il s'est échangé plus d'un milliard d'euros, soit le quart des échanges d'une journée normale sur le marché parisien.
Les banques ont tenu comme en 14. En pure perte, on peut le craindre. Dès 10 heures, le marché s'est retourné. A 10 h 30, il était en baisse de 1,5%.

Auteur: Orange Martine

Info: Médiapart, 5 août 2011 à 11:52

[ magouille ]

 

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