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grégarisme technologique

Une fois descendus de leurs voitures, les touristes brandissent des appareils photo ou des téléphones portables, comme s'ils étaient incapables de voir sans eux.

Auteur: Rash Ron

Info: Un silence brutal

[ manie collective ] [ abrutissement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

réforme protestante

[…] malgré son antisémitisme de buveur de bière, le génie historique de Luther aura été de ressaisir l’origine juive du monothéisme en brandissant contre Rome que le péché originel et lui seul est ce qui unifie l’espèce humaine en Sujet.

Auteur: Belhaj Kacem Mehdi

Info: Dans "Après Badiou", page 33

[ apport intellectuel ] [ dépréciation ] [ pessimisme ] [ philosophie allemande ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-hommes

<Cruff> Mon père arrêtait pas de crier et courant dans l'appartement
<Cruff> Il avait dessiné un smile sur une courgette
<Cruff> Et la brandissait comme un sceptre...
<Asimaz28> Ah tu sais, les crises de la quarantaine c'est quelque chose...
<Cruff> Ma mère l'a enfermé dans la cave.

Auteur: Internet

Info:

[ couple ] [ famille ] [ dialogue-web ]

 

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judaïsme

Pour moi la sagesse est plus du côté Palestinien : frugalité, mauvaise situation matérielle, chaleur humaine. Quoi dire de plus ... Alors que leurs oppresseurs brandissent des écritures qui les centralisent "élus", adorateurs de montres en or à l'image de ces américains amis qui agitent une Bible dont le principal message est le mépris de l'argent.

Auteur: MG

Info: 1998

[ antisémitisme ]

 

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Islam

Ma réponse est claire : il n'existe pas de texte coranique formel qui obligerait la femme musulmane à se couvrir les cheveux.
Quant aux hadiths brandis pour dissuader et apeurer les musulmanes parce qu'ils stipulent que, si elles ne le font pas, elles seront suspendues par les cheveux dans la Géhenne (l'Enfer ), ils sont tous apocryphes et inventés de toutes pièces. (Imam Oubrou)

Auteur: Colombani Marie-Françoise

Info: La féministe et l'imam

[ voile ] [ Coran ]

 

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anecdote

... la tempête parfaite qui te conduit à la mort demande un tel concours de circonstances que la plus petite altération peut te sauver. Paul Morand raconte dans L’art de mourir qu’un jeune Hongrois s’était jeté dans le Danube et avait refusé toute tentative de secours, jusqu’à ce qu’un policier arrive, brandisse son pistolet, le vise et s’écrie : “Sortez ou je tire.” Et le jeune homme est sorti de l’eau.

Auteur: Montero Rosa

Info: Le danger de ne pas être folle

[ suicide ] [ instinct de conservation ] [ absurde ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

pornographie

Avec elle nous avons fait un petit tour,
Hermogène, Cléobule et moi-même,
Pour lui faire l'amour. Nous l'avons partagée :
Dans sa bouche, moi, je devais surnager.
Hermogène explorait ses domaines arrières,
Sinistres, spacieux et remplis de mystères,
Un rivage des morts
Où tout est secoué par des souffles sonores.
Cléobule, vrai Zeus, lui, vint dans son palais,
Brandissant dans sa main son foudre, ce brasier.
Cette contrée était à nos trois corps commune :
Nous avions déposé un drap sur cette dune...

Auteur: Nicarque

Info: La femme partagée

[ partouze ]

 

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livre

Mort à crédit est pour moi le bouquin le plus important de ce siècle. Parce qu'il contient toute la détresse de l'homme. A côté du cri de Céline, moi, je pousse des plaintes de chiot qui a envie de pisser. Lui, il l'a balancée sa clameur ! Elle est intacte, satellisée au-dessus de nous. On ne peut rien y toucher. C'est toute la misère de la vie, toute l'angoisse, toute la mort. C'est plein d'amour, c'est plein de pitié, c'est plein de colère, c'est plein d'éclairs, de mains tendues, de poings brandis, de mains tendues qui se transforment en poings. Et puis de désespoir. Parce que le désespoir, c'est la vie. Lui l'a su.

Auteur: Dard Frédéric

Info: Dans "Je le jure"

[ éloge ] [ choc littéraire ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

enfance

Pas un pissenlit en vue ici, les pelouses sont soigneusement épilées. J'ai la nostalgie d'un pissenlit, un seul, poussé au hasard, dans son insolence d'ordure, difficile à éliminer et perpétuellement jaune comme le soleil. Gai et plébéien et brillant pareillement pour tous. Nous en faisions des bagues, et des couronnes et des colliers, nous tachant les doigts de son lait amer. Ou j'en tenais un sous son menton : "Est-ce que tu aimes le beurre?" A les sentir, elle se mettait du pollen sur le nez. Ou montés en graine : je la vois, courant à travers la pelouse, brandissant un pissenlit comme une allumette japonaise, petite baguette de feu blanc, et l'air se remplit de minuscules parachutes. "Souffle, et tu pourras savoir l'heure". Toutes ces heures envolées dans la brise d'été. C'étaient les marguerites pour lire l'amour, et nous les effeuillions à l'infini.

Auteur: Atwood Margaret

Info: La Servante écarlate

[ souvenirs ]

 

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guerre

... j'étais persuadé qu'on était en train de construire un monde nouveau, ce soleil levant de tout à l'heure, ou ces lendemains chantants que nous annoncions niaisement, et voilà que la première manifestation en était le spectacle de cette pauvre fille promenée toute nue, promenée non, poussée, trainée, exhibée, avec son crâne rasé ou ses bouts de cheveux taillés n'importe comment... Il fallait trouver cela très bien, parce qu'elle avait couché avec des soldats allemands... et beaucoup trouvaient cela très bien en effet... ils ricanaient, ils rigolaient autour d'elle en brandissant leurs mitraillettes... quand j'ai compris que ces hommes allaient devenir tout-puissants, je me suis dit que nous étions fichus... Mais ces hommes, c'étaient les nôtres, des amis, des copains... il y avait là quelque chose qui ne tournait pas, qui était complètement fou... depuis il y a eu tant de choses qui n'ont pas tourné et qui ont été complètement folles... mais c'était la grande fêlure... la première honte...

Auteur: Jean Raymond

Info: Le Clou, Dialogue en sept journées

[ Gaule ] [ collaboration ]

 

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