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métaphores-comparaisons-etc

Son chemisier à faire crever un caméléon.

Auteur: Legardinier Gilles

Info: Demain j'arrête

[ couleur ] [ habit ] [ insulte ]

 

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femmes-hommes

Oh je suis désolé, je pensais que vous aviez écrit mon nom en Braille sur votre chemisier.

Auteur: Internet

Info:

[ plan-drague-mâle ] [ lourd ] [ direct ]

 

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vacheries

Bernard-Henri Lévy, ce Julien Clerc de la philosophie, qui se demande, avant de passer chez Pivot, s'il va dégrafer le premier ou le deuxième bouton de son chemisier.

Auteur: Bedos Guy

Info: Petites drôleries et autres méchancetés sans importance

[ habillement ] [ BHL ]

 

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femmes-hommes

Il pencha la tête. Elle portait un chemisier, manches retroussées, tissu à carreaux, façon western. Et ses seins...
...
- ...Non ça c'est ma poitrine, mes yeux sont plus hauts...
Elle portait aussi un jeans qui la moulait.
- Un peu plus haut, Jimbo, tu y es presque, encore un effort...

Auteur: Lenteric Bernard

Info: La Nuit des enfants rois

[ dialogue ] [ nichons ] [ hypnotisé ]

 

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habillement

Le lendemain matin, Francisca portait par inadvertance un chemisier qui n'était pas assorti à son pantalon, lequel n'était pas assorti à ses chaussures, lesquelles n'étaient pas assorties à sa ceinture, laquelle ne l'était pas à son sac, et elle se fit un maquillage coloré qui, d'une certaine manière, était assorti à tout ce qu'elle portait.

Auteur: Cañon James

Info: Dans la ville des veuves intrépides

[ dépareillé ] [ désordre ] [ multicolore ]

 

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rapports humains

Arriva la serveuse. Elle portait mini-jupe avec des talons hauts, un chemisier transparent et un soutien-gorge rembourré. Tout était trop petit pour elle : sa tenue, le monde, son esprit. Son visage était dur comme de l'acier. Quand elle souriait, ça faisait mal. Ça la blessait elle et ça me blessait moi. Elle n'arrêtait pas de sourire. Ce sourire était si faux que les poils de mes bras se sont dressés. J'ai détourné le regard.

Auteur: Bukowski Charles

Info: Pulp

[ mal à l'aise ] [ gêne ] [ fausseté ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

solfège

Presque mélancoliquement, il caressa ses petits seins nus. Elle joua un brusque glissando descendant et se pencha tellement en arrière sur un interminable et sombre si bémol que le chemisier glissa de ses épaules. Puis de façon dissonante, elle joua un si bécarre ; Wolfgang se figea jusqu’à pouvoir comprendre ce quelle faisait. Elle ne jouait le vibrato que d’une main tout en secouant l’autre bras pour en faire glisser la manche et elle répéta l’opération avec la même ravissante évidence. Cette fois, un do dièse retentit dans l’espace bleu noir. Fasciné, Wolfgang la regarda en se demandant s’il pourrait désormais penser à un do dièse sans revoir cette scène devant lui.

Auteur: Baronsky Eva

Info: Monsieur Mozart se réveille

[ écriture ] [ femmes-hommes ]

 

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rencontre

Je m'assis sur le lit. Dans cette chambre - l'après-midi d'un 22 février - Tania et moi avions fait l'amour pour la première fois. Nous l'avions fait grossièrement, inhibés par la culpabilité et l'inexpérience. Elle était vierge et moi, à l'exception de deux coïts expéditifs qui ne comptaient pas, je l'étais à peu près autant.

Nous nous étions emmêlés en nous déshabillant. Ses cheveux s'accrochèrent à la boucle de mon ceinturon, son chemisier se déchira et deux boutons de ma chemise sautèrent. Nous étions partagés entre la hâte et l'envie d'aller lentement. Nous ne savions pas comment nous placer et nous nous mîmes l'un sur l'autre comme deux tortues qui s'accouplent.

Auteur: Arriaga Guillermo

Info: Le bison de la nuit

[ maladresse ] [ sexe ] [ femme-homme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

angoisse

Elle but les dernières quelques gorgées d'eau bouillie, et se mit soudain à voir toutes ses peurs entrer, une par une, dans la maison. Solitude fut la première à se présenter - seule, bien sûre. Francisca la reconnu immédiatement, car elle parcourut avec une feinte timidité toute la maison en quête du bon endroit où se loger. Elle s'installa en fin de compte dans la poche intérieure de l'un des nouveaux manteaux de fourrure de Francisca et ne bougea plus. Culpabilité arriva peu après, pointant vers elle de logs doigts réprobateurs. Elle se glissa dans un chemisier en soie rouge et, enfonçant ses doigts à travers les longues manches, continua de harceler Francisca. Puis, main dans la main, Rejet et Abandon firent leur entrée. Ils se déplacèrent librement dans la pièce, sans faire attention à Francisca. Sous peu, ils choisirent une paire de chaussure fantaisie à talons aiguilles et disparurent chacun dans une chaussure différente. Francisca se rendit compte que ses peurs étaient venues en même temps que sa fortune. Elles avaient seulement attendu l'occasion propice, un moment de faiblesse et de désespoir complet, pour se révéler.

Auteur: Cañon James

Info: Dans la ville des veuves intrépides

[ solitude ] [ littérature ]

 

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teintes

[...] Elle retrouve sa merveilleuse boîte aux cinquante crayons de couleur, répartis sur deux rangées d'arc-en-ciel. Toutes les couleurs de l'univers y sont, l'univers entier en pourrait sortir ; un monde plus beau que le monde y dort : toutes les couleurs des ciels, des fleurs, de la terre, toutes les nuances des choses et des figures, des étoffes et des yeux. La pourpre impériale, le rouge vénitien, le rose géranium, le bronze, le vert émeraude, l'ocre brun, l'outremer et le jaune citron, le vert de jade et le jaune paille, le vermillon pâle, le bleu ciel et l'or. Il y a de quoi corriger les lumières imparfaites, les adoucir jusqu'aux limbes ou les forcer jusqu'à l'éclat ; il y a de quoi donner chair aux spectres, illuminer sa peur, transfigurer les remords. Humides sont ses joues, son menton, sa gorge fripée, et tout le haut de son crasseux chemisier. Sans ressentir le chagrin qu'épanchaient ses yeux, ont coulé d'abondantes larmes, tandis qu'elle tient dans sa serre cette longue boîte cartonnée qu'elle a ouverte, et dans quoi, la lâchant, elle laisse dormir de longues allumettes. [...]

Auteur: Delsaux Aurélien

Info: Madame Diogène, p. 97

[ coloris ] [ outils ]

 

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Ajouté à la BD par miguel