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vivre

La route vers Dieu est facile parce qu'on y avance en se déchargeant.

Auteur: Gilson Etienne

Info:

[ brûler ] [ religion ] [ foi ]

 

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orgasme

Bientôt il déchargea en criant : "Tonnerre de Brest, bordel de Dieu, putain de salope !"

Auteur: Apollinaire Guillaume

Info: Les onze mille verges

[ injure ]

 

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tueur

Lukas pleura alors qu'une seconde vague tentait vainement d'entrer. Il pleura jusqu'à ce que son chargeur soit vide, pleura lorsqu'il chercha le fermoir, poussa une recharge dans la crosse, des larmes amères lui salèrent les lèvres lorsqu'il tira la culasse en arrière et déchargea un second déluge de métal - tellement plus solide, plus rapide que la chair qu'il rencontrait.

Auteur: Howey Hugh

Info: Silo

[ remords ]

 

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anonyme

Tout le monde arrivait avec le sentiment d'aller de l'avant, d'être unis. Tout le monde puisait son courage dans le spectacle d'une autre camionnette orange se garant devant la porte d'à côté. Une famille exactement comme la nôtre déchargeant des pieds de lampe, des berceaux et des tables en formica comme les nôtres.
Ayant reçu le vide auquel nous aspirions, nous avions devant nous la tâche de mettre du sens dans le néant.

Auteur: Beers David

Info: Blue Sky Dream

[ prolétariat ]

 

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instincts

L’orage éclate dans toute sa puissance, déchargeant la foudre et la grêle, et je me sens inexprimablement bien, plein de force et d’élan, et je comprends avec une clarté souveraine que, pour comprendre la nature, il faut, comme je viens de le faire, s’être sauvé vers elle, loin des soucis, des contraintes pressantes. Que m’importait alors l’homme et sa volonté trouble ! Que m’importait l’éternel "Tu dois, tu ne dois pas !" Combien différents l’éclair, l’orage, la grêle : libres puissances, sans éthique ! qu’elles sont heureuses, qu’elles sont fortes, ces volontés pures que l’esprit n’a pas troublées ! 

Auteur: Nietzsche Friedrich

Info: Lettre à Gesdorff, 7 avril 1866

[ animalité ] [ grande santé ] [ romantisme ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

divertissement

Tinou ne retrouvait un peu d'entrain que les jours où elle accompagnait son père à la plage d'Audresselles. Et même si elle pouvait enlever ses chaussures pour enfoncer ses orteils, comme elle le faisait jadis, dans le sable humide et les débris de coquillages, elle aimait voir la barque tirée par une cordée d'hommes Avec un pincement au coeur elle attendait l'instant où l'on déchargeait les produits de la pêche. Alors, pieds nus, elle tendait son sac en plastique à celui qui distribuait les parts. Le poisson vivait encore et elle sentait contre sa jambe nue le sac secoué par les frémissements des nageoires.

Auteur: Adamek André-Marcel

Info: La grande nuit

[ enfance ]

 

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lumières

On se souvient du fameux sujet du baccalauréat invitant à commenter l'aphorisme de Goethe : "Avec Voltaire, c'est le monde ancien qui finit, et avec Rousseau, c'est un monde nouveau qui commence."
S'il est indéniable que Rousseau ouvre le chemin de la modernité en déchargeant Dieu de la responsabilité du mal et en la faisant reposer sur les épaules des hommes, privant la notion de "mal physique" de tout sens, il ne faut pas renvoyer pour autant Voltaire chez les Anciens mais le projeter au contraire chez les postmodernes, qui préfèrent regarder la contingence en face plutôt que de s'abandonner aux consolations factices des explications rationalisantes. Voilà pourquoi peut-être l'Amérique, réagissant au tsunami asiatique, fut voltairienne.

Auteur: Dupuy Jean-Pierre

Info: Petite Métaphysique des tsunamis, Seuil 2005, p.49

[ littérature ] [ renaissance ]

 

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femmes-hommes

Elle se tourna. J'avais maintenant son cul devant les yeux. Elle se pencha et prit mon vit dans la bouche. Je fis comme elle, ma langue pénétra dans son con. Je léchai le sperme féminin, qui avait le goût d'oeuf cru. Le jeu de sa langue contre mon gland devenait toujours plus fort, une de ses mains me chatouillait les couilles et le cul, tandis que l'autre me serrait le vit. Le plaisir devint si grand que je me raidis tout entier. Elle enfonça mon vit dans sa bouche autant qu'il était possible. Ses parties les plus secrètes étaient devant mes yeux. J'empoignai ses cuisses et ma langue se plongea dans son trou du cul. Je perdis les sens et déchargeai dans sa bouche.

Auteur: Apollinaire Guillaume

Info: Les Exploits d'un jeune Don Juan

[ porno ] [ littérature ]

 

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crépuscule

Vingt heures. Venu du sud, comme un insecte noir rampant sur une nappe bleue froissée, un vieux cargo fatigué se frayait un passage dans la houle des Caraïbes, vers l'entrée du port de Santiago à Cuba. La fumée de son unique cheminée s'envolait dans une brume bleutée, poussée par un vent d'est, tandis que le soleil s'enfonçait sous la ligne d'horizon, ne formant plus qu'une énorme balle orange magnifiée par l'atmosphère terrestre. C'était l'un de ces derniers cargos qui traversaient les océans à la demande, en direction de ports exotiques aux quatre coins du monde, sans suivre d'itinéraire fixe. Leurs horaires dépendaient des exigences du fret et de ses propriétaires, et ainsi les destinations changeaient à chaque port. Ils accostaient, déchargeaient leur cargaison et repartaient au loin comme des spectres dans la nuit.

Auteur: Cussler Clive

Info: Bouddha

[ mer ] [ bateau ]

 

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assassin

Je ne souffre pas de compulsion à tuer tout le temps. Je ne suis pas un animal. Je ne cours pas partout en me déchargeant d'abus subis dans mon enfance tout en trouvant des excuses pour tuer. [...] Je ne suis qu'un type normal. Un Joe moyen. Avec un hobby. Je ne suis pas un psychopathe. Je n'entends pas de voix. Je ne tue pas pour Dieu ou Satan, ou le chien du voisin. Je ne suis même pas religieux. Je tue pour moi. C'est aussi simple que ça. J'aime les femmes et j'aime leur faire des choses qu'elles ne veulent pas me laisser faire. Il doit y avoir 2 ou 3 milliards de femmes sur cette terre. En tuer une par mois, c'est pas grand-chose. C'est juste une question de perspective.

Auteur: Cleave Paul

Info: Un employé modèle

[ égoïste ] [ serial killer ]

 

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