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drague

kentin dit: bon ta réfléchi mnt?... tu fai tjrs la tète?
kentin dit: répon sinon jte blok et kom sa cé fini
Cécile dit: Je suis partagée entre plusieurs choix qui s'offrent à moi. Soit je répond, et tu crois que j'ai l'intention de t'adresser de nouveau la parole alors que ce serait juste pour te dire que c'est le contraire. Soit, je ne répond pas, et là, crédule que tu es, tu crois que:
1- Je ne suis pas devant mon pc --> Grossière erreur, je suis une geek, je ne quitte le pc que pour aller pisser et éventuellement pour dormir.
2- Je fais effectivement la tête, comme tu le dis si bien, de manière très mature. --> Or, tu vas de ce fait me flooder et te répandre en excuses minables et vaines.
3- Que je suis trop timide pour te répondre et que j'ai envie de te revoir un jour. --> FAUX! Si je pouvais donner des noms aux mobs, ils s'appelleraient tous Quentin, pour avoir le plaisir de te tuer des centaines et des centaines de fois.
Cécile dit: Au vu de toutes ces options et de ce qu'elles engendrent, et sachant pertinemment que tu n'as compris aucune de ces phrases, on va faire clair: Je ne t'aime pas et tu n'es qu'un pauvre con.
Cécile dit: Bonne journée. :)

Auteur: Internet

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[ râteau ] [ dialogue-web ]

 

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Femmes-hommes

[iarl]: c'est une citation que j'avais trouvée sur bash.org
[iarl]: je te la traduis
[iarl]: "Une femme a un ami masculin proche. Ce qui signifie qu'il est probablement intéressé par elle, ce qui expliquerait pourquoi il lui tourne tellement autour. Elle le voit strictement comme un ami. Ca commence toujours par "tu es un mec formidable, mais je ne t'aime pas de cette manière". En gros, c'est un peu comme si un type se rendant à un entretien d'embauche s'entendait dire par l'entreprise : "vous avez un excellent CV et toutes les qualifications requises, mais nous ne vous embaucherons pas. Cependant, nous utiliserons votre CV comme point de comparaison avec tous les autres postulants. Mais nous allons certainement embaucher quelqu'un d'autre de nettement moins qualifié et probablement alcoolique. et si ça ne marche pas avec lui, nous prendrons un autre, mais toujours pas vous. En fait, nous ne vous embaucherons jamais. Mais nous vous appellerons de temps en temps pour nous plaindre auprès de vous de la personne que nous avons embauchée"
[iarl]: J'ai trouvé ça extraordinairement profond et vrai
Yaksha: Oh que oui
Yaksha: Et quand elle appelle, il n'y a plus qu'à répondre "Bonjour, vous êtes bien chez moi, je suis présent mais je n'ai aucune envie d'entendre votre complainte. Néanmoins si vous le désirez, vous pouvez toujours le faire et vous attendre à ce que je vous envoie péter pour une raison qui vous échappera".

Auteur: Internet

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[ incompréhension ] [ dialogue-web ]

 

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rencontre

Une discothèque. La nuit. Nina danse avec Éli Hooker, un jeune homme.

NINA. – Tu es si léger.

ÉLI. – J'aime danser. J'aime aussi prendre un bon livre de temps en temps.

(Entre Zigui. Il va s'asseoir à l'écart, commence à manger des cacahouètes tout en les observant.)

ÉLI. – Qu'est-ce que tu fais dans la vie ?

NINA. – Rien de particulier. Je lis moi aussi. Et je sculpte.

ÉLI. – Tu auscultes ? Et qu'est-ce que tu auscultes ?

NINA. – Je sculpte. Je fais de la poterie.

ÉLI. – Ah.

NINA. – Je prends mon temps, je ne cours pas. Pourquoi me précipiter comme tout le monde ? À quoi bon cette fuite en avant, à quoi bon ? À quoi bon, je te le demande ?

ÉLI. – Tu as raison.

NINA. – Et toi, qu'est-ce que tu fais dans la vie ?

ÉLI. – Je lis un peu, j'écris un peu.

NINA. – Des poèmes ?

ÉLI. – Pour moi, la nuit.

NINA. – Et le matin ?

ÉLI. – Je suis médecin.

NINA. – Tu dis "médecin" avec un tel dédain. Tu n'es vraiment pas comme les autres, toi.

ÉLI. – Parce que c'est quoi un médecin ? Un mythe, rien de plus.

NINA. – Tu es vraiment différent.

Auteur: Hanokh Levin

Info: Théâtre choisi, tome 4 : Comédies grinçantes. Sur les valises, p 133

[ dialogue ] [ étonnement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

maniaque

<SBR> Victoire!
<Shion-ht> ?
<SBR> J'ai remporté seul un dur combat contre une multinationale, tu devrais être fière de moi!
<Shion-ht> je sais pas pourquoi mais venant de toi, je sens déjà la connerie arriver...
<SBR> Roooh, tout de suite. Bon, j'explique. Y'a quelques temps, j'ai vu une émission sur des gens qui abusaient du service consommateur pour se faire rembourser leurs achats (même s'ils n'avaient trouvé aucun défaut au produit)
<SBR> Un jour, aux toilettes, j'arrivais à la fin du rouleau et là, c'est le drame, il ne restait plus que 3feuilles, hors j'utilise SYSTÉMATIQUEMENT un nombre PAIR de morceaux et sur le paquet, il est écrit "400feuilles".
<SBR> J'ai donc déroulé entièrement chaque rouleau restant et j'ai compté les feuilles une par une et sur les 4rouleaux restant, 2 possédaient un nombre de feuilles inférieur à 400!
<SBR> Je dois avouer que je me suis senti outré, comment une société aussi renommée pouvait oser me voler de la sorte?! J'ai donc écrit une lettre au service consommateur à laquelle j'ai joint les 2 outrageux rouleaux en les somment de recompter le nombre de feuilles.
<SBR> Ce matin, j'ai reçu un colis contenant un paquet de 24rouleaux ainsi qu'une lettre d'excuses de leur part! "Malgré tous les efforts que nous fournissons pour respecter nos engagements, il peut exceptionnellement arriver qu'un défaut se glisse dans l'un de nos produits, nous tenons sincèrement à nous en excuser blablabla"
<SBR> Tu ne peux point imaginer la fierté qui m'a envahi lors de la réception du colis :D
<SBR> Je vais encadrer la lettre et la mettre dans ma vitrine à trophées

Auteur: Internet

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[ économie ] [ dialogue-web ]

 

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question

Le voyage astral véritable, souvent le moins tape-à-l’oeil, est celui que l'écrivain sincère, désintéressé et indépendant va chercher au fond de lui afin de reformuler un réel complexe et acceptable, acceptable parce qu'il rend cohérente une singularité personnelle quasi indicible qui parvient, vaille que vaille, à s'intriquer avec celle du lecteur. C'est une communication télépathique compréhensive, ouverte et élargie parce que rien ne vient interrompre le dialogue de deux solitudes respectives.

Communication limitée aussi puisqu'émetteur et récepteur usent de conventions subjectives, restreintes pas leurs éducations, les époques, lieux, habitudes, etc... et, par-dessus tout, par les sens de leur espèce propre et le langage qui en a émergé. Il semble alors que tout gourou - ou autre voyageur sidéral et sidérant -, s'il veut parvenir à transmettre des trucs d'autres dimensions atemporelles, niveaux vibratoires ou que sais-je, devra se doubler d'un écrivain de tout premier ordre puisque capable d'embarquer son lecteur dans un voyage compréhensible, convainquant et dépaysant... qu'il parvient à conjuguer avec sa singularité à lui.

Ainsi de manière générale les bons écrivains de SF me paraissent cent coudées devant tous les voyants, clairvoyants, réincarnés avertis et autres spécialistes des sorties extra-corporelles que j'ai pu lire ou écouter. Il sera peut-être utile que quelqu'un un jour sache aborder l'idée que voyages intérieurs et extérieurs sont identiques, mais de points de vue décalés, et que vouloir les faire coïncider est simplement ridicule. L'exemple qui me vient à l'esprit est celui de ce rêve, très clair, où un camarade, disparu récemment, vient me dire au revoir. Certains diront que c'est mon inconscient qui travaille, d'autres parleront de télépathie. Faut-il séparer les deux ?

Auteur: Mg

Info: 8 avril 2020

[ songe ] [ réalité ] [ dialogue ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

justifications

<third_planet> La nuit dernière mon copain avait du shit et voulait me faire fumer mais on ne savait pas où aller parce que les parents étaient à la maison.
<third-planet> Donc on a roulé dans le secteur pour trouver une place de parc et fumer dans la voiture.
<third-planet> On s'est retrouvé sur une place de parc devant un Wendys..
<Mr-Butlertron> Logique presque...
<third-planet> Je sais, c'était une idée ridicule. On était juste désespérés et on a pris ce qui venait ..
<third-planet> On se gare à l'arrière du parking sous un arbre, il fait sombre et on se sent en sécurité. On allume le joint et voilà un flic qui arrive en véhicule. On reste donc les deux bien tranquilles en espérant qu'il pense que la voiture est vide et juste garée ici. Le flic fait le tour du parking puis vient se garer derrière nous. Nous deux on flippe. Alors Bobby, mon pote, prend toute la came et la fout dans la boite à gants. Mais la voiture pue le shit et on se dit que c'est foutu.
<third-planet> Bobby dit que nous devons distraire le flics de l'odeur du shit. Alors dans un grand flash, il enlève son shirt, baisse mes pantalons et mets sa main dans mon slip. Avant que je puisse réaliser ce qu'il se passe le flic tape à la fenêtre. Puis il voit la situation et devient écarlate.
<third-planet> Je descends la vitre de ma fenêtre et le flic dit, d'une voix peu assurée, son visage rouge brillant, "you guys be good now" et il s'en va rapidement vers sa voiture qui part immédiatement.
<third-planet> Il n'a pas même remarqué l'odeur du shit.
<third-planet> On est rentré à la maison dans le plus inconfortable des silences qu'on ait jamais partagé..

Auteur: Internet

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[ comédie ] [ homosexualité ] [ dialogue-web ]

 

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prostitution

< Matty > Hmm
< Matty > J'm'emmerdais un peu c't'aprem
< Matty > Je me suis mis à faire un exercice comparatif entre achat-location (leasing) et location (renting)
< ug > Ah bon
< Matty > En étudiant le cas de Paul McCartney
< Matty > selon les médias il a du payer 49 millions de dollars à Heather Mills après 5 ans de marriage ?
< Matty > supposons qu'il l'ait baisée chaque nuit pendant ces 5 ans (ce qui, soyons honnêtes, ne s'est probablement pas produit) cela nous donne un cout de $26.849 par rapport.
< Matty > Heather n'est donc pas vraiment la meilleure des affaire
< ug > donc il est plutôt très con :)
< Matty > maintenant notons que la call girl Kristen - qui a eu cette histoire avec le procureur de New-York Elliot Spitzer - est elle un super canon... avec un corps incroyable... cette gonzesse demande 4000 dollars de l'heure. Pour n'importe quelle demande.
< Matty > Si Paul McCartney avait employé Kristen pendant 5 ans, il aurait payé un total de $7.3 millions de dollars pour une heure de sexe chaque nuit durant ces 5 années (donc une économie de $41.7 millions).
< Matty > Avantages et valeur ajoutée sont donc : une poupée super chaude âgée de 22 ans, sans aucun caprice, sans flatteries déplacées, jamais un mal de tête, répondant à toutes les requêtes, avec la capacité de mettre SES DEUX jambes autour de toi (!!!), tout ceci sans aucune plainte et sans jamais râler. Et le meilleur c'est que cette nana dégage quand tu as fini et reviens quand tu lui demandes. Tout ça pour un septième du coût de l'autre conne, sans parler des honoraires légaux et autres taxes.
< Matty > Parfois la location s'avère bien supérieure.

Auteur: Internet

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[ commerce ] [ mariage ] [ divorce ] [ dialogue-web ]

 

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monologue intérieur

On n'est pas obligés d'y aller, dit-elle, si tu n'en as pas envie. John Mercer se regarda dans le miroir, sans répondre. Il vit sa femme avancer les mains pour lui nouer sa cravate. Elle s'occupait de lui, comme toujours. Il leva un peu le menton, pour qu'elle puisse faire le noeud. Elle commença par le laisser flottant, avant de le serrer doucement.
- Les gens comprendraient.
Si seulement c'était vrai ! Ils auraient peut-être l'air indulgents, mais, au fond d'eux-mêmes, ils ne pourraient s'empêcher de penser qu'il s'était dérobé à son devoir. Il imaginait déjà ce que l'on raconterait à la cafétéria. On évoquerait son absence, on dirait qu'il devait être sous le choc, puis peu à peu on lâcherait que, en dépit de ce qu'il devait ressentir, il aurait dû assister à l'enterrement. Serrer les dents et assumer ses responsabilités. C'était la moindre des choses. Et ils auraient raison. Il serait impardonnable de ne pas y aller. Seulement, il ne savait pas du tout comment il allait faire pour tenir le coup.
Eileen glissa la pointe de sa cravate entre les boutons de sa chemise. Elle la lissa bien.
- On n'est pas obligés d'y aller, John.
- Tu ne comprends pas.
À la lumière du matin, l'air de la chambre semblait bleu acier. Dans le miroir, il avait la peau blanche et flasque, le visage presque éteint. Quant à son corps, bon, elle devait encore tendre un peu les bras pour en faire le tour, mais il n'avait pas l'impression d'être aussi robuste que dans le temps. Les choses qu'il portait semblaient plus lourdes. Il se fatiguait trop vite. Là, bras ballants, il dégageait une impression de vide et de tristesse. Il avait vieilli. Depuis peu.
- Je comprends que tu ne sois pas dans ton assiette, lui dit-elle.
- Ça va aller.

Auteur: Mosby Steve

Info: Un Sur Deux

[ couple ] [ dialogue ]

 

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vengeance

Lucie : Non, je pense que le truc le plus recherché (et méchant)que j'ai jamais fait, c'était cet été.
Lucie : J'ai été serveuse pendant un mois. Franchement, même si la plupart des personnes que j'ai servi étaient correctes, on rencontre de temps en temps de beaux enfoirés.
Antoine : Tu m'étonnes... Qu'est ce qui c'était passé?
Lucie : Un mec débarque avec une dizaine de personnes, ils sont restés 2 heures, et il était juste insupportable.
Antoine : Genre?
Lucie : Genre il m'agrippait quand il voulait demander quelque chose, il se plaignait continuellement, il a du renvoyer la moitié des plats en cuisine... Il y avait une autre serveuse qui était pratiquement en larmes à la fin de son repas.
Lucie : Le truc, c'est que les gens peuvent se comporter comme des bouffons si ils sont prêts à en assumer les conséquences. Parce qu'un jour, ils vont tomber sur une psychopathe comme moi qui leur fera payer.
Antoine : Qu'est ce que t'as fait ??
Lucie : Il a payé par carte (et a laissé 2,5 euros de pourboire sur une addition de plus de 200, mais passons) et avait un nom assez inhabituel.
Lucie : Je le note quelque part, et quelques jours plus tard je cherche sur FB. Bingo, il est sur une des photos, je connais son prénom.
Lucie : Je vais chercher un numéro de téléphone dans les pages blanches. L'appel s'est déroulé à peu près comme ça :
Lucie : "Allo?" (voix de femme)
Lucie : "Hmmmmm euuuuh... je pourrais parler à ***?"
Lucie : "Il n'est pas là. Qui est à l'appareil?"
Lucie : "C'est Tiffany, qui êtes-vous?"
Lucie : "Sa femme."
Lucie : "SA FEMME???? HA LE CONNARD!!!!!" *Raccroche*
Antoine : ...
Antoine : Tu es vraiment flippante, tu sais? Brillante... Mais terrifiante.

Auteur: Internet

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[ dialogue-web ]

 

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alcool

Ils choquèrent leurs coupes et ils burent.
- Allez, maintenant, buvons ensemble, le vieux ! dit Katérina, s'adressant au patron. Buvons, si ton coeur est doux pour moi ! buvons à notre bonheur vécu, remercions pour les ans qu'on a vécus, remercions de tout notre coeur pour le bonheur et l'amour ! Alors, dis-moi de verser, s'il est ardent pour moi, ton coeur !
- Il est raide, ton petit vin, ma belle colombe, toi-même t'y trempes juste les lèvres ! dit le vieillard, riant et présentant une nouvelle fois sa coupe.
- Moi, je prendrai une gorgée, et, toi, bois-le cul sec !... On vit, mon bon vieux, on traîne derrière soi une lourde penserie ; et c'est le coeur qui geint de cette penserie lourde ! La penserie, elle vient du malheur, la penserie, elle appelle le malheur, mais dans le bonheur, la penserie s'efface ! Bois, le vieux ! Noie ta penserie !
- Plein de malheurs, faut croire, qu'ont bouillonné en toi, si c'est contre eux que tu te dresses ! Tu voudrais tout finir d'un coup, faut croire, ma blanche petite colombe. Je bois avec toi, Katia ! Et toi, monsieur, t'en as un, de malheur, si tu permets que je demande ?
- Ce que j'ai, je le garde pour moi, chuchota Ordynov sans quitter Katérina des yeux.
- Tu entends, mon bon vieux ? Moi-même je ne me connaissais pas, pendant longtemps, je n'avais pas de souvenirs, et puis le temps est venu, j'ai tout su, je me souviens ; tout, j'ai tout revécu, ce qui est passé, avec mon âme avide.
- Oui, c'est amer, quand on n'a pour vivre que le passé, dit le vieillard songeur. Ce qui est passé, c'est comme du vin qu'on a bu ! Qu'est-ce que c'est, le bonheur, dans le passé ? Un caftan usé, on le jette...

Auteur: Dostoïevski Fédor Mikhaïlovitch

Info: In "La logeuse", éd. Babel, p. 107-108 - trad. A. Markowicz

[ beuverie ] [ action de grâce ] [ perte ] [ dialogue ] [ confidence ]

 

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