Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!.....
Lire la suite >>
Résultat(s): 123
Temps de recherche: 0.0685s
homme-femme
Tout d'abord, j'allais à la pêche. Je prenais mon poisson à l'arbalète, juste ce qu'il fallait pour deux personnes. A cette heure-là la mer sentait le goémon, les coquillages et les étoiles, elle pénétrait dans ma bouche et laissait ces odeurs dans ma mémoire. Encore sous l'eau, je sentais le goût qu'aurait mon poisson, accompagné d'un vin "sang de lièvre" et de la salade piquante que préparait Barbara. Son petit restaurant, flanqué d'un kiosque à musique, était dans les pins, juste derrière la plage.
"Barbara, tu veux bien me faire frire ce poisson ?" lui demandais-je. Elle regardait les bords de mes talons couverts de résine, mes cheveux parsemés d'aiguilles de pin, et elle humait le vent salé que je portais dans mes narines. On venait dans son restaurant quand on était las de faire la fête. Elle mettait une vraie passion à accommoder le produit de ma pêche. Elle connaissait par coeur mes vêtements et mes chaussures et la couleur de mes chemises. Tandis que je dînais, assis à une petite table dans un coin où l'on entendait le bruit de la mer, elle me regardait à travers ses cils, par-dessus le comptoir, et elle sentait dans ma bouche le goût du poisson qu'elle venait de faire cuire.
Auteur:
Pavic Milorad
Années: 1929 - 2009
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - Serbie
Info:
In "Les chevaux de Saint-Marc", éd. Belfond, p. 59-60
[
cuisine
]
[
appétit
]
[
complicité
]
[
femme-par-homme
]
nudité
Elle me présenta les agrandissements photographiques ornant les murs, puis elle s’assit sur le lit. Je la rejoignis.
— Comment trouvez-vous ma chambre ?
— Très bien.
Subitement, comme pour l’empêcher de tomber, je l’étreignis. Elle ne se défendit pas. Encouragé par cette attitude, je l’embrassai mille fois, tout en la déshabillant d’une main. J’aurais voulu, à l’instar des grands amoureux, arracher les boutonnières, déchirer son linge, mais la crainte qu’elle me fît une observation me retint.
Bientôt, elle se trouva en corset. Les buscs en étaient tordus. Un lacet liait son dos. Les seins se touchaient.
Je dégrafai ce corset en tremblant. La chemise adhéra un instant à la taille, puis tomba.
Je l’ôtai avec difficulté, car le col étroit ne passait pas aux épaules. Je ne lui laissai que les bas, parce qu’à mon avis c’est plus joli. D’ailleurs, sur les journaux, les femmes déshabillées ont toutes des bas.
Enfin, elle apparut nue. Ses cuisses débordaient au-dessus des jarretières. La colonne vertébrale bosselait la peau, aux reins. Elle était vaccinée sur les bras.
Je perdis la tête. Des frissons, semblables à ceux qui secouent les jambes des chevaux, me coururent le long du corps.
Auteur:
Bove Emmanuel Bobovnikoff Dugast Vallois
Années: 1898 - 1945
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Mes amis
[
déshabillage
]
[
femme-par-homme
]
femme-par-homme
Je regarde ce soir une photo
De Monica Vitti dans Le désert rouge
Et c’est toi
Dans le temps
Et je ne peux rien
Contre le temps
Contre toi
Contre Monica Vitti
Contre le désert rouge
Contre
Le mélange d’inquiétude et de sensualité
La posture frileuse rêveuse
Egarée presque
Contre
La bouche entrouverte
Les cheveux blonds un peu en désordre
Les bras croisés
Contre
Le pull en cachemire
A même la peau
Et surtout contre
Ce détail qui m’attendrit entre tous
Qui me rappelle Trouville en 1984
Les manches étirées jusqu’à la paume
Car il fait encore frisquet
Dans la maison que l’on vient de rouvrir
Contre
L’odeur de sel et d’encaustique
Contre la mer tout près
Contre le transat replié dans l’entrée
Tout à l’heure tu iras mieux
Tu te se seras réchauffée
On ira à la plage
Tu liras L’été finit sous les tilleuls de Kléber Haedens
Le vent achèvera de te décoiffer
On dînera aux Vapeurs sans doute
Et je ne peux rien contre
Rien vraiment rien
Contre Monica Vitti dans le désert rouge.
Auteur:
Leroy Jérôme
Années: 1964 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Sauf dans les chansons. La Table ronde, 2015. Le désert rouge
[
éloge
]
[
cinéma
]
[
actrice italienne
]
[
poème
]
racisme
(Vers 1770 l’officier David-Philippe de Treytorrens ramène avec lui de Saint-Domingue une noire à Yverdon. Cette dernière donnera naissance à un garçon, dont le statut va créer la dispute)
Quel est le statut de ce garçon? La question opposera la commune d'Yverdon à la famille Treytorrens lors d’un litige qui va durer 44 ans. L’origine du différend tient à la promesse faite par la famille Treytorrens à Pauline Buisson, morte en 1826, d’accorder la bourgeoisie à son enfant. Mais l’héritier des Treytorrens, moins riche que ses aïeuls, refuse de s’acquitter des frais. Il défend que c’est à la municipalité de régulariser l’enfant. A défaut, ce serait reconnaître que l’esclavage existe toujours sur le territoire vaudois.
En 1826, illustrant les préjugés sur la sexualité débridée des Africains, l’avocat de la commune lance à la famille Treytorrens:
"Vous avez introduit dans la commune l’Africaine Pauline Buisson, cette négresse au sang ardent, véritable matière inflammable expédiée d’un climat brûlant. Vous l’avez mise en communication avec des hommes, et aussitôt la mèche s’est allumée, l’explosion s’en est suivie et la bombe, en éclatant, a vomi un petit négrillon dont vous ne savez pas comment vous défaire; voilà le dommage que vous devez réparer!"
Le différend financier se terminera par un règlement à l’amiable en 1834. Hélas Samuel Buisson est mort deux ans plus tôt, apatride.
Auteur:
Michaud Léon
Années: 19?? -197?
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: historien, enseignant, directeur de collège
Continent – Pays: Europe - Suisse
Info:
Rapporté en 1958 dans le Journal d'Yverdon
[
suisse
]
[
préjugés
]
[
femme-par-homme
]
rendez-vous galant
Serge faillit en rester là. Il se souvint d’un article de la méthode qui, à en croire l’essayiste, était décisif : "Tout ce que vous me dites est très intéressant, l’interrompit-il, mais j’aimerais aussi connaître la vraie Nicole, celle qui se cache derrière la secrétaire sérieuse et compétente." C’était un peu osé, mais l’ennui donne le courage de tout tenter pour sortir de ses marécages. Malheureusement, la vraie Nicole était extrêmement chiante (point que le traité de séduction n’abordait pas : celui de l’intérêt intellectuel de l’objet désiré.) En réalité, la vraie Nicole croyait en la "bienveillance des gens", elle aurait aimé que l’univers soit un "monde de paix et d’amour". Sa grande passion, c’était la littérature pour la jeunesse, une "littérature du cœur, de l’intelligence, de la douceur et de la fantaisie". En se plongeant dans cette littérature, elle retrouvait "l’esprit de l’enfance", l’esprit du jeu, l’esprit des "chats qui s’amusent avec des pelotes de laine". Elle et son amie Delphine ne rataient jamais le festival de Montreuil. En revanche, elle n’avait pas de mots assez durs pour "les vieux schnoks et les tristes sires" qui snobaient l’univers des "pitchouns", tous ceux qui oubliaient "le rire des polissons" et "la joie mutine des garnements".
Serge regretta alors la première Nicole, la secrétaire sérieuse qui, au moins, participait à la prospérité de l’agence. Il mit fin à l’entretien en réclamant l’addition.
Auteur:
Patrice Jean
Années: 1966 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Dans "L'homme surnuméraire", pages 107-108
[
raté
]
[
incompatibilité
]
[
femme-par-homme
]
femme-par-homme
Nana ne bougea plus. Un bras derrière la nuque, une main prise dans l’autre, elle renversait la tête, les coudes écartés. Il voyait en raccourci ses yeux demi-clos, sa bouche entr’ouverte, son visage noyé d’un rire amoureux ; et, par derrière, son chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un poil de lionne. Ployée et le flanc tendu, elle montrait les reins solides, la gorge dure d’une guerrière, aux muscles forts sous le grain satiné de la peau. Une ligne fine, à peine ondée par l’épaule et la hanche, filait d’un de ses coudes à son pied. Muffat suivait ce profil si tendre, ces fuites de chair blonde se noyant dans des lueurs dorées, ces rondeurs où la flamme des bougies mettait des reflets de soie. Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient au sexe le voile troublant de leur ombre, il y avait de la bête. C’était la bête d’or, inconsciente comme une force, et dont l’odeur seule gâtait le monde. Muffat regardait toujours, obsédé, possédé, au point qu’ayant fermé les paupières, pour ne plus voir, l’animal reparut au fond des ténèbres, grandi, terrible, exagérant sa posture. Maintenant, il serait là, devant ses yeux, dans sa chair, à jamais.
Auteur:
Zola Emile
Années: 1840 - 1902
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Les Rougon-Macquart, tome 9 : Nana
[
personnage
]
[
fascinante
]
femme-par-homme
Vivre lentement, essayer de ne pas trop réfléchir ou ne pas trop penser, écrire malgré tout. Et puis sentir, toucher, caresser, éprouver le corps de Vanessa qui subrepticement marquait les traces de son nouvel état. Son ventre plat muta en une parfaite demi-sphère à faire pâlir toutes les planètes du système solaire. Sa peau tendue, comme prête à craquer, révélait toujours plus la perfection de son épiderme et son nombril exquis se dilatait d'aise dans ce surplus de place. La douceur duveteuse d'une pêche gorgée de vie et de soleil donnait une irrésistible envie de croquer à même sa peau.
Le corps de Vanessa s'était transformé en un beau fruit mûr, un dessert voluptueux. Un dessert dont j'étais gourmand. Gourmande, Vanessa par contre ne l'était plus vraiment, renvoyant les épisodes tel celui de la pizza aux anchois au rang de beaux souvenirs.
Elle riait parfois, pleurait souvent. La plupart du temps avec pudeur et discrétion. Je ne l'interrogeais plus. Je laissai faire, sauvegardant une distance respectueuse de ses émotions. La juste distance.
Lorsque je m'inquiétai de ces dégâts des eaux réguliers auprès du gynécologue bordelais que nous avions consulté en urgence, celui-ci, sexagénaire austère, s'amusa de ma candeur comme de celle d'un jeune puceau boutonneux.
- Mon bon monsieur, vous qui allez bientôt découvrir la joie d'être père, vous n'imaginez pas à quel point votre petite graine est à l'origine d'un véritable cataclysme hormonal. Les traces qu'elle laisse dans le corps de la bien-aimée sont de nature à faire passer les dégâts des semences Monsento pour d'aimables boutades de fin de repas... Et vous n'en êtes qu'au début de vos surprises...
Auteur:
Grima Laurent
Années: 197? -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Les trois vies de l'homme qui n'existait pas
[
enceinte
]
[
gravide
]
femme-par-homme
Tous les jours, passé midi, alors que livré à moi-même je poursuivais ma besogne, j'entendais un choeur de jeunes femmes. Je posais ma plume et tendais l'oreille. Séparée de la pension par une petite rue, il y avait une soierie. C'étaient les ouvrières qui chantaient en travaillant. Parmi toutes ces voix, il y en avait une qui se distinguait ; elle guidait l'ensemble : le chant d'un rossignol au milieu des caquètements d'une basse-cour ! Quelle voix remarquable ! pensais-je alors. Que ne pouvais-je escalader le mur entourant l'usine pour jeter un coup d'oeil à l'intérieur et voir celle à qui pouvait bien appartenir cette voix ! Il y a ici un homme, un pauvre homme, que votre voix, chaque jour, oui, chaque jour, aide à vivre ─ à quel point ? Vous ne l'imaginez pas ! Vous n'en avez pas idée. Vous ne savez pas quelle vaillance vous m'avez insufflée, et comme vous avez su me soutenir dans mon travail ! Je veux, de tout mon coeur, vous dire ma gratitude ! Voilà ce que j'aurais aimé écrire à cette femme, sur un petit papier que je lui aurais jeté par le trou que faisait la fenêtre de l'usine.
Mais si je mettais ce projet à exécution, la surprise qu'elle pourrait en éprouver risquerait de lui couper la voix ! Et de cela, il n'était pas question ! Que l'expression de ma gratitude pût, comme par un choc en retour, troubler cette voix qui faisait le bien sans le savoir ! Ce serait un crime. J'étais seul : seul avec mes scrupules, qui me torturaient.
Etais-je tombé amoureux ? Peut-être.
Auteur:
Dazai Osamu
Années: 1909 - 1948
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Asie - Japon
Info:
Cent vues du Mont Fuji. In "I can speak"
[
chanteuse
]
[
magique
]
femme-par-homme
Je te l'ai dit, Corbèra : c'était un animal mais c'était aussi, en même temps, une Immortelle, et il est dommage qu'en parlant, on ne puisse pas exprimer continuellement cette synthèse telle qu'elle l'exprimait elle-même dans son corps avec une simplicité absolue. Ce n'était pas seulement dans l'acte de chair qu'elle manifestait une gaieté et une délicatesse opposées au triste rut animal : sa parole avait une immédiateté puissante que je n'ai retrouvée que chez quelques grands poètes. On n'est pas fille de Calliope pour rien : méconnaissant toute culture, ignorant toute sagesse, dédaignant toute contrainte morale, elle faisait partie, cependant, de la source de toute culture, de toute sagesse, de toute éthique, et savait exprimer cette supériorité primordiale en des termes d'une âpre beauté : "Je suis tout parce que je ne suis qu'un courant de la vie sans aucune faille ; je suis Immortelle parce que toutes les morts confluent en moi, depuis celle du poisson d'il y a un instant jusqu'à celle de Zeus, et rassemblées en moi elles redeviennent une vie non plus individuelle et déterminée, mais panique et donc libre." Puis elle disait : "Tu es beau et jeune ; tu devrais me suivre à présent dans la mer et tu échapperais aux douleurs, à la vieillesse ; tu viendrais dans ma demeure, sous les très hautes montagnes d'eaux immobiles et sombres, où tout est quiétude silencieuse à tel point naturelle que celui qui la possède ne la ressent même pas. Je t’ai aimé, souviens-t’en, quand tu seras las, quand tu n'en pourras vraiment plus, tu n’auras qu’à te pencher sur la mer et m’appeler : je serai toujours là parce que je suis partout, et ta soif de sommeil sera réalisée."
Auteur:
Lampedusa Giuseppe Tomasi di
Années: 1896 - 1957
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: prince, militaire et écrivain
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Le Professeur et la Sirène
[
déesse
]
[
omnipotente
]
[
supérieure
]
femme-par-homme
Le 8 mai j’avais quitté l’usine effiloché comme d’habitude
couvert de poussière dans les rues coudoyant des messieurs en pelisses
parmi de belles femmes fatigué et effiloché
et un humide dégoût emplissait ma bouche
cette belle dame m’avait perçu du haut de sa voiture
j’étais un gars pas mal – le crachat ça ne se voit pas
elle avait des cheveux ondulés et une voiture
ma présence là noyée de poussière éveillait en elle un suave frisson sous ses bas
et jusqu’à la porte de son appartement luxueux la voiture légère a roulé
où travailles-tu me demanda-t-elle pendant qu’elle enlevait son manteau
depuis quelques jours à l’usine de gaz
tu es un gars bien bâti et assez beau tu pourrais mieux gagner
depuis six mois et jusqu’à hier je ne mangeais qu’une fois tous les deux jours
notre discussion pouvait se prolonger à l’infini
mes paroles à moi sentaient le pain le gaz
elle gazouillait comme un piano ouvert des paroles de romances à la mode
et pourtant la manière virile dont ma chair s’arrondissait sur les os
faisait que nous nous entendions à merveille
l’heure est avancée, couchons-nous
le lit sentait moelleusement le chaud et le propre
la dame savait mieux faire l’amour que discourir
et moi j’aimais ses cheveux parce que j’avais besoin de les tirer.
Le matin elle me dit au revoir mon cher
(il était 5 heures et à 6 l’usine ouvrait)
nous nous reverrons ce soir à 8 nous dînerons ensemble
auprès de mes paroles sentant le pain le gaz
je conservais une bouche pleine de crachats
elle la vit elle s’en effraya
cette belle dame avec laquelle toute nuit je me suis promené dans l’amour et l’automobile – elle disparut
à sa place fumait une vieille ridée, ses lunettes sur son nez qui lisait assidûment les Saintes Écritures.
Auteur:
Luca Ghérasim
Années: 1913 - 1994
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: poète et théoricien du surréalisme
Continent – Pays: Europe - France - Roumanie
Info:
La Sainte communion. Publié dans "Meridian" N° 11,1927, puis traduit du roumain par Micaela Slăvescu et cité dans "La Réhabilitation du rêve", p. 510-511
[
rencontre
]
[
différences sociales
]