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hommes-par-femme

Une femme doit être sans cesse sur le qui-vive ; les hommes sont si paresseux de nature !

Auteur: Mitford Nancy

Info: L'amour dans un climat froid

[ flemmards ]

 

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flemme

Joyeux Noël à tous les paresseux, les feignants, les flemmards, les bons-à rien, les oisifs, les désoeuvrés, les traine-savates, les rêvasseurs, les fatigués de naissance, les ravis, les contemplatifs, les lents, les endormis, qu'ils en profitent pour se la couler douce en attendant le Vieux Barbu, je vous embrasse et je retourne me coucher...

Auteur: Rauch André

Info: Paresse, Histoire d'un péché capital

[ voeux ]

 

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humour

Carla : J'ai encore rien foutu aujourd'hui...
Lolo : Pareil >_<
Pierre : Moi aussi... Je pense qu'on est beaucoup à rien foutre de nos journées, assez pour former une immense

armée de flemmards, et on pourra dominer le monde ! Il suffit de rassembler plein de gens et notre groupe

interdira toute forme de corvée sur terre \o/
Carla : J'aime bien le concept mais nan
Carla : la flemme

Auteur: Internet

Info:

[ paresse ] [ dialogue-web ]

 

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spécificités raciales

Oui, tout cela est commode... mais non capital. Simplification du travail quotidien, voilà tout. C'est l'œuvre des immigrés slaves et allemands ; ils ont organisé leur nouvelle patrie suivant des méthodes ultra-rapides, les premiers par paresse et les seconds par technique. Mais ils n'ont pas réussi à donner à l'Américain le sens tragique de la vie, je veux dire celui de sa brièveté. Au juste, les américains sont des flemmards ; en cela, ils sont restés anglo-saxons.

Auteur: Morand Paul

Info: l'homme pressé (1941, 350 p., Gallimard, p. 244)

[ états-unis ] [ nouveau monde ] [ civilisation ] [ échec ]

 
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oppression

Mais le pire en ce monde, ce n'est pas de vivre seul, non, Dona. On trouve partout de la compagnie. Le pire, c'est de savoir qu'on ne vaut rien, qu'on ne sert qu'à se louer, de patron en patron, comme une bête de somme. C'est pour cela qu'on se met à boire. Pourquoi être bon, être un être de confiance, prêt à tous les boulots ? Pout que le maitre vous écrase encore plus, pour qu'il vous presse encore plus comme un citron... Tout au plus, il vous donne un cruzado supplémentaire par journée... Les flemmards, on les épargne davantage?

Auteur: Queiroz Rachel de

Info: João Miguel

[ alcool ] [ esclavage ] [ désespoir ]

 

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diptères

Les hommes ne faisaient que passer. Ceux qui restaient avaient tendance à mourir. À la saison sèche, la chaleur était étouffante et la soif qu’elle engendrait exigeait d’être étanchée avec diligence. Durant les pluies, de novembre à mars, l’endroit était un véritable marécage. Les moustiques se rassemblaient en hordes, bourdonnant comme un orchestre allemand, la trompe si pointue qu’elle pouvait percer le cuir d’un éléphant : des anophèles, énergiques et sans discrimination. (...)

Dans ces parages, flemmards, lords et malotrus étaient traités avec une stricte impartialité, car le moustique est un vrai démocrate qui ne se soucie guère de savoir par quel hasard de naissance vous vous trouvez là ou si le sang qu'il siffle est rouge ou bleu.


Auteur: Namwali Serpell

Info: Mustiks : Une odyssée en Zambie

[ insectes ] [ nuisibles ] [ égalité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

paresse

Le feignant, à ce que je crois, n'est qu'un homme qui n'a point encore de poste, ou qui croit n'en pas avoir. Chose remarquable, c'est toujours parce qu'il sait ou croit qu'on ne compte point sur lui, qu'il ne se presse point. Supposez au contraire dans cet homme l'idée, vraie ou fausse, que nul ne saura le remplacer, vous le verrez aller. C'est donc trop peu dire que de dire que l'homme aime son travail. La prise du travail est bien plus sûre. Comme ces courroies et engrenages, qui vous happent par la manche, ainsi la grande machine ne demande point permission. C'est un fait remarquable, et que je crois sans exception, que l'homme qui règle lui-même son travail est celui qui travaille le plus, pourvu qu'il coopère, et que d'autres lui poussent sans cesse des pièces à finir. Aussi je crois que sous les noms de cupidité, d'avarice, ou d'ambition, on décrit souvent assez mal un sentiment vif d'un travail à continuer, d'une réputation à soutenir, enfin d'une certaine action que les autres ne feront pas aussi bien. Il est clair que l'écolier ne trouve pas de ces raisons d'agir ; pour une version mal faite rien ne manquera au monde. Voilà sans doute pourquoi c'est dans la partie la plus active, la plus remuante, la plus infatigable, qui est l'enfance, que l'on trouve le plus de flemmards.

Auteur: Alain

Info: Les idées et les âges/Les Passions et la Sagesse/la Pléiade/Gallimard 1960 &lt;p.104&gt;

 

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