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éthique

La liberté positive implique aussi le principe selon lequel il n’y a pas de pouvoir supérieur au Moi individuel, que l’homme est le centre et le but de sa vie, que la croissance et la réalisation de l’individualité de l’homme sont une fin qui ne peut jamais être subordonnée à des objectifs supposés avoir une plus grande dignité.

Auteur: Fromm Erich

Info: Dans "La peur de la liberté", page 249

[ définie ] [ autoconservation ] [ force vitale ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

humain idéal

Les hommes les plus spirituels, comme les plus forts, trouvent leur bonheur là où d'autres trouveraient leur destruction : dans les labyrinthe, dans la dureté contre eux-mêmes et contre les autres, dans les expériences. Leur joie est la conquête de soi : l'ascèse devient en eux nature, besoin, et instinct. Les tâches difficiles sont pour eux un privilège ; jouer avec des fardeaux qui écrasent les autres, une récréation. Le savoir, une forme d'ascèse. C'est l'homme le plus vénérable : cela n'empêche pas qu'il soit le plus gai et le plus bon.

Auteur: Nietzsche Friedrich

Info: L'Antéchrist §57

[ force vitale ] [ grande santé ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

philosophe-sur-philosophe

N’oublions surtout pas que Schopenhauer, qui a traité la sexualité en ennemie personnelle (la sexualité, et aussi son instrument, la femme, cet "instrumentum diaboli") avait besoin d’ennemis pour rester de bonne humeur ; n’oublions pas qu’il avait une prédilection pour les paroles de colère, pour les paroles hargneuses, haineuses et bilieuse ; qu’il se fâchait pour se fâcher, par passion ; qu’il serait tombé malade, devenu pessimiste (— car il ne l’était pas, quoique ce fût là son plus chaud désir) sans ses ennemis, sans Hegel, sans la femme, sans la sensualité, sans la volonté de vivre, de rester en ce monde. Il y a à parier gros que sans tout cela Schopenhauer n’y serait pas resté, il se serait enfui : mais ses ennemis le tenaient, ses ennemis lui offraient toujours de nouvelles séductions dans l’existence, sa colère était, tout comme pour les cyniques de l’Antiquité, un baume, un délassement, sa rançon et son remède contre le dégoût, son bonheur.

Auteur: Nietzsche Friedrich

Info: Généalogie de la morale

[ détestations ] [ tempérament ] [ force vitale ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson