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femmes-hommes

Il semblait s'intéresser plus à elle qu'à lui-même, ce qui, de la part d'un homme, frôlait l'excentricité.

Auteur: Heyns Michiel

Info: La dactylographe de Mr James

[ rapports humains ]

 

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après-guerre

Après la guerre, on va découvrir un syndrome de dépression qui va toucher certains résistants. Parce que jamais, ils ne s’étaient sentis aussi vivants que frôlant la mort à chaque instant.

Auteur: Berest Anne

Info: La Carte postale

[ combattants ] [ fadeur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

victoire

J'étais plein de joie d'être parvenu à atteindre le ciel, ma tête touchait le firmament, je frôlais les étoiles, j'avais l'air d'une étoile, je dansais comme les planètes, ma ville était fêtée et mes troupes jubilaient.

Auteur: Khnoumhotep II

Info:

[ joie ]

 

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synchronicité

Car les choses qui doivent se produire dans le monde sont mêlées, sans ordre précis, se frôlant les unes les autres, avec tous les événements de l'univers, jusqu'à ce qu'elles arrivent à proximité d'un point d'attraction où, enfin, elles peuvent s'accomplir.

Auteur: Di Lascia Maria Teresa

Info: In : Le courage d'être soi de Jacques Salomé

[ déclic ] [ moment venu ] [ propinquité ] [ rapports humains ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

papa

Dors sur ma poitrine un petit moment, ça te réchauffera un peu" dit mon père avec affection. Contre la poitrine de mon père, je me sentis un peu tranquillisé. Et cependant, je n'arrivais pas à m'endormir. La tête levée, je regardais le visage de mon père... Quand le vent soufflait, il frôlait mon épaule, avec une caresse comme pour endormir les petits bébés, il dit : "Ce n'est rien, les feuilles se remettent à bruire, dors bien".

Auteur: Pa Kin Li Yaotang

Info: La pagode de la longévité

[ sécurité ] [ rassurer ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

dialogue

Le langage est une peau: je frotte mon langage contre l’autre. C’est comme si j’avais des mots en guise de doigts, ou des doigts au bout de mes mots. Mon langage tremble de désir. L’émoi vient d’un double contact : d’une part, toute une activité de discours vient relever discrètement, indirectement, un signifié unique, qui est " je te désire ", et le libère, l’alimente, le ramifie, le fait exploser (le langage jouit de se toucher lui-même) ; d’autre part, j’enroule l’autre dans mes mots, je le caresse, je le frôle, j’entretiens ce frôlage, je me dépense à faire durer le commentaire duquel je soumets la relation.

Auteur: Barthes Roland

Info: Fragments d'un discours amoureux, “ L’entretien “

[ plaisir ] [ parlêtre ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

art pictural

Mille et mille nuances et reflets physionomiques hier encore insoupçonnés, mille et mille dixièmes de valeurs dans la progression des éclairages qui sculptent en la frôlant la mobilité de la forme, mille et mille espaces nouveaux qui soudain s’ouvrent, se développent lentement ou se ferment tout à coup, mille et mille lueurs qui fusent, s’éteignent, se transforment sans arrêt pour modifier, de mille et mille façons imprévues, les aspects du paysage, de l’homme, des foules, mille et mille frissons d’un monde dit inanimé qui naguère ne nous était pas perceptible, s’ajoutent à chaque seconde au tressaillement ininterrompu qui caractérise les passages entre les hommes et les choses pour les intelligences d’aujourd’hui.

Auteur: Faure Elie

Info: Introduction à la Mystique du Cinéma, op. cit., ici p. 79 et p. 80

[ septième art ] [ complexification ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

érotisme

Fabienne se laissait guider par son intuition.Cette présence était féminine. Elle sentait dans sa chair le contact délicat et maternel propre aux femmes. Elle n'avait pas besoin de voir. D'ailleurs, elle ne voyait rien. Les rideaux de la douche s’écartaient lentement et alors commençait l'extase; l’extase de l'inconnu... Il y eu un léger cliquetis; celui des oeillets autour de la barre. Ses yeux embués regardèrent. Comme sous le souffle d'une vie qui s'approche, le rideau s’écarta davantage. Son visage laissa échapper un sourire. Elle sentait, devinait mais ne voyait rien ; pas même la chute de l'eau ne trahissait les contours d'une forme . Pourtant la chose était là, la frôlant déjà avec finesse. Sans l'once d'une appréhension, Fabienne se laissa toucher. D'abord les jambes, puis le haut des cuisses...

Auteur: Flamion Jean-Charles

Info: Annabelle

[ surnaturel ] [ invisible ]

 

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vieillir

Passé quatre-vingt ans

il sentit venir comme le dernier des moments

que la terre et les lettres

pouvaient encore lui avancer.

Chaque jour l’étonnait

d’être toujours de ce monde

et d’entendre encore les corbeaux

en chœur croasser sur la plage.

Passé quatre vingt-ans

il se donnait dix ans encore

à taquiner la muse

avec ses cheveux blancs

qui quittaient doucement

son chef dégarni

et ses mains qui tremblaient de plaisir

quand il frôlait sa croupe.

Passé quatre vingt-ans

il cherchait beaucoup ses mots

pour cerner les images

qui le fuyaient daredare

et lonlaine et lonlare

les images de son enfance

qui revenaient en flots

sans qu’il puisse les saisir.

Auteur: Lesieur Jean-Pierre

Info:

[ poème ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

déclaration d'amour

Hier, aujourd’hui, demain… Nous étions les adolescents d’hier, les hommes d’aujourd’hui et les vieillards de demain.
Quand je regardais Damien dormir dans mes bras, je voyais toute ma vie. L’essence même de mon cœur qui battait. Lorsque sa peau frôlait la mienne dans une douce caresse, je devenais clairvoyant. Parce que je savais qu’il m’aimait, je pouvais voir.
Voir plus loin encore.
Damien, un jour quelqu’un m’a dit que tu serais le cœur logé dans ma poitrine et que le mien habiterait la tienne. Et jusqu’à aujourd’hui, je n(avais pas compris. Mais maintenant, je sais. Je sais que tu es mon faiseur de miracle. Tu es le rayon de soleil qui me réchauffe. Tu es l’air qui me rafraichit. Tu es l’effleurement qui m’apaise. Tu es l’eau que je bois. Tu es mon moteur. Ma source. Ma lumière.
Tu es le début. Tu es la fin. Tu es … tout.

Auteur: Haime Lily

Info: Mon plus beau rêve

[ . ]

 

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