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gêne

Lorsque nous marchions au soleil le long de quelque ruelle isolée, et que nos corps se touchaient incidemment comme le font certainement les atomes pour générer la lumière, nous nous séparions en un clin d'œil tout en fronçant les sourcils.

Auteur: Di Lascia Maria Teresa

Info: Passagio in Ombra, p. 229

[ timidité ] [ contre nature ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mariage

Quand ma mère et mon père sortirent du tabernacle à Hausmanngate, après s'être dit oui devant le prêtre, mon père regarda à terre fronçant les sourcils et se tournant vers un de ses frères dit :"Crucifié sur terre". Et puis il rit.

Auteur: Petterson Per

Info: Dans le sillage, p. 57

[ humour ] [ prison ]

 

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post adolescente

C'était un âge presque miraculeux, et elle n'en savait rien. L'oiseau avait pris son vol, mais n'était pas encore parvenu au sommet de la montagne, il planait dans l'air, les ailes ouvertes, mais n'avait pas la force de s'élever jusque-là. On lui faisait remarquer constamment, d'un air sérieux et en fronçant les sourcils, qu'elle faisait des choses qui n'étaient plus de son âge, qui étaient ridicules, ne voyait-elle pas qu'elle avait grandi, qu'elle était une femme ?

Auteur: Maria Judite de Carvalho

Info: Ces mots que l'on retient

[ insouciante ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

restaurant

Nous avions tous les deux envie d'un bon morceau de bœuf.
- La petite entrecôte.
- Quelle cuisson ?
- Moitié bien cuite, moitié saignante.
Il cligna des yeux.
- Je vous demande pardon ?
- Vous la coupez en deux et vous en laissez cuire une plus que l'autre.
Il fronça les sourcils.
- Je ne pense pas que l'on puisse faire ça.
- Vu les prix, vous devriez amener la vache vivante à notre table et pratiquer un sacrifice rituel. Ne discutez pas.

Auteur: Hamilton Laurell Kaye

Info: Anita Blake, tome 7 : Offrande brûlée

[ dialogue ]

 

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scène de ménage

Barris s'avança en clignant des yeux. "Tu ne dors pas ? J'ai fait un rêve qui m'a réveillé. Un rêve religieux. Y avait un énorme coup de tonnerre et les cieux s'entrouvraient. Dieu apparaissait pour m'engueuler. Sa voix était furibarde. Qu'est ce qu'y racontait déjà ? - Ah, oui : "Tu m'a causé grand déplaisir mon fils." Il fronçait les sourcils. Dans le rêve, je tremblais ; je levais les yeux vers Lui et je disais : "Qu'est ce que j'ai encore fait seigneur ?" Et Il me répondait ; "Tu as oublié de reboucher le tube de dentifrice." Alors, là, j'ai compris qu'il s'agissait de mon ex-femme."

Auteur: Dick Philip K

Info: Substance Mort

[ humour ] [ songe ] [ femmes-hommes ]

 

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hésiter

Lorsque Calhoun retourna dans le magasin, Ben Fallow était à la caisse et Kate comptait les mouches qu'il avait choisies.
- J'ai pris un peu de tout, dit Fallow. On ne sait jamais à quoi les poissons pourraient mordre.
- Il y a des jours, dit Calhoun en hochant la tête, ils restent là sans bouger et ils se disent : je mordrai à rien, sauf si c'est une Matuka jaune avec trois bandes de Flashabou de chaque côté, fixée à un hameçon Limerick 4XL avec du fil blanc. D'autres fois, ils vont attendre une Black Ghost Carrie Stevens toute la journée, et s'ils s'aperçoivent que ce n'est pas une authentique, ils disent : Bon, je laisse tomber, et ils préfèrent rester sur leur faim.
Fallow fronça les sourcils comme s'il se disait qu'on était peut-être en train de se payer sa tête, mais il n'en était pas sûr.

Auteur: Tapply William G.

Info: Dark tiger

[ pêche à la ligne ]

 

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glose

Il se baissa et souleva la draperie. Le livre s'étalait à terre contre la rondeur du vase de nuit à filets orange.

- Montrez voir, dit-elle. J'ai mis une marque. Un mot que je voulais vous demander.

Elle avala une gorgée de sa tasse tenue sans souci de l'anse et ayant essuyé tout de go le bout de son doigt sur la couverture, se mit à suivre le texte avec une épingle à cheveux jusqu'à ce qu'elle rencontrât le mot.

- Mes tempes si quoi ?  demanda-t-il.

- Là, dit-elle. Qu'est-ce que ça veut dire ?

Il se pencha vers elle et lut près de l'ongle poli de son pouce.

- Métempsychose ?

- Oui. D'où sort-il celui-là ?

- Métempsychose, reprit-il, fronçant le front. C'est grec, ça vient du grec, ça signifie la transmigration des âmes.

- Quelle balançoire ! dit-elle. Sortez-moi ça en mots simples.

Il sourit, regardant de côté son air moqueur.

Auteur: Joyce James

Info: "Ulysse", éd. Gallimard, p.94-95, traduction d'Auguste Morel

[ vocabulaire ] [ intimité ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

complicité

"Trouduc." Rien que pour ça, j'attends de toi que tu enveloppes ma bite de ta vilaine bouche ce soir. Il fronçait des yeux vers moi.

Je n'arrivais pas à croire qu'il venait de dire ça dans un restaurant chic où tout le monde pouvait entendre. "Tu plaisantes ?! Chéri," il m'a lancé un regard qui suggérait que je ne comprenais pas l'évidence, je ne plaisante jamais avec les pipes.

Notre serveur était arrivé juste à temps pour entendre ces mots romantiques, ses joues roses trahissaient son embarras. "Vous êtes prêts à commander ?" Coassa-t'il : "Oui", rétorqua Braden, qui ne se souciait pas d'avoir été entendu. "Je prendrai le steak, à point." Il m'a sourit doucement. "Tu prends quoi ?" Il prit une gorgée d'eau. Il se trouvait si cool et si drôle. "Plutôt une saucisse, on dirait." Braden s'étrangla avec l'eau, toussant dans ses poings, les yeux brillants d'hilarité alors qu'il reposait son verre sur la table. "Vous allez bien, monsieur ?" Demanda anxieusement le serveur. "Je vais bien, je vais bien."

Auteur: Young Samantha

Info: On Dublin Street

[ couple ] [ humour ] [ dialogue ] [ fellation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

séparation

Père ! dis-je. Chacun suit son destin, mon petit ; les hommes n’y peuvent rien changer. Tes oncles ont étudié. Moi –mais je te l’ai déjà dit : je te l’ai dit, si tu te souviens quand tu es parti pour Conakry…moi, je n’ai pas eu la chance et moins encore la tienne…mais maintenant que cette chance est devant toi, je veux que tu la saisisses ; tu as su saisir la précédente, saisis celle-ci aussi, saisis-la bien ! Il reste dans notre pays tant de choses à faire…Oui, je veux que tu ailles en France ; je le veux aujourd’hui autant que toi-même : on aura besoin ici sous peu d’hommes comme toi…Puisses-tu ne pas nous quitter pour trop longtemps ! Nous demeurâmes un long bout de temps sous la véranda, sans mot dire et à regarder la nuit ; et puis soudain mon père dit d’une voix cassée : promets-moi qu’un jour tu reviendras ? Je reviendrai ! dis-je. Ces pays lointains…dit-il lentement. Il laissa sa phrase inachevée ; il continuait de regarder la nuit. Je le voyais, à la lueur de la lampe-tempête, regarder comme un point dans la nuit, et il fronçait les sourcils comme s’il était mécontent ou inquiet de ce qu’il y découvrait. Que regardes-tu ? dis-je. Garde-toi de jamais tromper personne, dit-il ; sois droit dans ta pensée et dans tes actes ; et Dieu demeurera avec toi. Puis il eut comme un geste de découragement et il cessa de regarder la nuit.

Auteur: Laye Camara

Info: L'enfant noir

[ voyages ] [ afrique ] [ douleur ] [ espoir ] [ dernières paroles ]

 

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