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dernières paroles

Oh, je ne guérirai pas... Savez vous, c'est la mort.

Auteur: Tchaïkovski Piotr Ilitch

Info: les causes de son décès sont controversées; certains ont dit que ce fut le choléra, d'autres qu'il y eut une conjuration de personnes réprouvant sa sexualité ou encore qu'il se serait suicidé à cause de son homosexualité.

[ . ]

 

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paternité

En faisant le bonheur d'un enfant, il guérirait les blessures de sa propre enfance. Tel était l'objet de sa quête.

Auteur: Strieber Whitley

Info: Billy

[ compensation ]

 

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souffrance

J'ai une douleur, je ne sais où,
née de je ne sais quoi ;
j'en guérirai je ne sais quand,
si me soigne je ne sais qui.

Auteur: Lévis Mano Guy Jean Garamond

Info: Coplas, poèmes de l'amour Andalou

[ perdu ]

 

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voyage

Lorsque j'étais très jeune et possédé du besoin d'être toujours ailleurs, les gens mûrs m'assuraient que la maturité me guérirait de cette démangeaison. Quand les ans me déclarèrent mûr, on m'assura encore que l'âge ferait son oeuvre. Puis l'on m'affirma que ma fièvre se calmerait avec le temps. Et, à présent que j'ai cinquante-huit ans, sans doute est-ce de la sénilité que viendra le remède. Jusqu'ici, rien n'y a fait.

Auteur: Steinbeck John

Info: Voyage avec Charley, Incipit.

[ appétit ] [ bougeotte ] [ mouvement ] [ répétition ]

 
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Ajouté à la BD par Bandini

déclaration d'amour

Je t'aime d'amour, d'un amour sans fin, sans nom, insensé, désespéré, perdu ! Tu es aimée, adorée, idolâtrée, jusqu'à en mourir! Et non, je ne guérirai pas. Et non, je n'essaierai pas de vivre; et j'aime mieux cela, et mourir en t'aimant vaut mieux que de vivre. Je me soucie bien de ce qu'ils diront. Ils disent que tu as un amant. Je le sais bien, j'en meurs, mais j'aime, j'aime, j'aime. Qu'ils m'empêchent d'aimer !

Auteur: Musset Alfred de

Info: A George Sand

[ enflammée ] [ envers et contre tous ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

orphelin

Je crois, comme vous, que je ne guérirai jamais tout à fait de cette blessure d'enfant. Simplement, on peut "vivre avec", sans qu'elle vous dévore. Vous avez tellement raison d'écrire qu'elle "tient compagnie". J'ai longtemps souhaité ne l'avoir jamais connue. A présent je me dis qu'elle fut positive. Elle aurait pu détruire ma vie, et il se trouve qu'elle a mis au jour en moi tant d'énergie, de compréhension, de capacité d'amour, que je lui dois sans doute de m'être découverte et enfin acceptée.

Auteur: Anonyme

Info: dans : Je vous écris d'Anny Duperey, extrait d'une lettre reçue

[ souffrance ] [ moteur ]

 

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déclaration d'amour

Baden, 1er septembre 1834
Voila huit jours que je suis parti et je ne t'ai pas encore écrit. J'attendais un moment de calme, il n'y en a plus. Je voulais t'écrire doucement, tranquillement par une belle matinée, te remercier de l'adieu que tu m'as envoyé, il est si bon, si triste, si doux : ma chère âme, tu as un coeur d'ange. Je voudrais te parler seulement de mon amour, ah ! Georges, quel amour ! Jamais homme n'a aimé comme je t'aime. Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je marche, si je respire, si je parle ; je sais que je t'aime. Ah! Si tu as eu toute ta vie une soif de bonheur inextinguible, si c'est un bonheur d'être aimé, si tu ne l'as jamais demandé au ciel, oh ! toi, ma vie, mon bien, ma bien-aimée, regarde le soleil, les fleurs, la verdure, le monde ! tu es aimée, dis-toi, cela autant que Dieu peut être aimé par ses lévites, par ses amants, par ses martyrs ! Je t'aime, Ô ma chair et mon sang ! Je meurs d'amour, d'un amour sans fin, sans nom, insensé, désespéré, perdu ! Tu es aimée, adorée, idolâtrée jusqu'à en mourir ! Et non, je ne guérirai pas. Et non, je n'essaierai pas de vivre ; et j'aime mieux cela, et mourir en t'aimant vaut mieux que de vivre. Je me soucie bien de ce qu'ils en diront. Ils disent que tu as un autre amant. Je le sais bien, j'en meurs, mais j'aime, j'aime, j'aime. Qu'ils m'empêchent d'aimer !

Auteur: Musset Alfred de

Info:

[ éloignement ]

 

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