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faussaire

[à propos des canaux de tchat IRC]
Q: Et qui se cache sous ses pseudos ?
R: Une prodigieuse diversité humaine. Des gens de tous âges. Qui travaillent dans tous les domaines : des scientifiques aux chanteurs, en passant par les écrivains, les cow-boys, les acteurs et les sportifs d'élite... On peut parler à n'importe qui sur Internet !
Q: Vraiment ?
R: Non. On parle presque toujours à des losers de treize ans, affolés par leurs hormones. Mais ils font semblant d'être des écrivains, des cow-boys, des scientifiques, des chanteurs, etc.

Auteur: Barry Dave

Info: Chroniques déjantées d'Internet... et autres cyberdélires

[ anonyme ] [ dissimulation ] [ dialogue-web ]

 

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neurotransmetteur

- Vous dites que l’acétylcholine est une " molécule extrêmement ancienne ". Pouvez-vous développer ce point ?

Certains des êtres vivants les plus simples, dont les bactéries, les unicellulaires, les algues et les plantes primitives, produisent de l’acétylcholine. Et chez les êtres complexes tels que nous, l’acétylcholine est impliquée dans de nombreuses activités cellulaires fondamentales, y compris la mise en place de la production d’autres hormones. L’acétylcholine fait partie du système de signalisation cellulaire de base du monde vivant. Nous, les humains, avons des récepteurs pour cette substance dans tout notre corps.

Auteur: Narby Jeremy

Info:

 

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Ajouté à la BD par miguel

intellectualisme

L'idéologie du structuralisme a dévasté l'enseignement. Elle considère que la langue est déjà là, avant même notre naissance, hors de l'histoire ! La théorie du genre procède également du structuralisme négateur d'histoire et de réalité : pas de corps, pas de sexe, pas de biologie, pas d'hormones, pas de testostérone, mais de la langue et de l'archive. Nous ne serions que des constructions culturelles. C'est de cette idéologie datée mais active comme un déchet nucléaire dont il faudrait se débarrasser ; ensuite, on pourrait poser la question du grec et du latin.

Auteur: Onfray Michel

Info: Conversations françaises, Sous la direction de Vincent Trémolet de Villers, éd. Les éditions du Cerf, 2016 ISBN 978-2-204-10929-1, p. 22

[ hors-sol ] [ déconnecté ]

 

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entertainment

Le pop art, c’est ce qui se consomme, s’avale et s’expulse sans autre but que d’aiguillonner la reviviscence des plaisirs des pulsions primaires. Un mixte des stades oral et anal. C’est un regard zoomant en gros plan sur le sein nourricier, le consommable, l’incorporable et l’introjectable. Le pop art, c’est le rêve américain aux hormones, aseptisé et castré, refoulant la face sombre et fragmentée des conflits de classes qui menacent l’ordre marchand. Un art apparemment ouvert sur le monde, mais en réalité sur le seul monde de la marchandise libérale, celui qui ne s’intéresse qu’à lui-même.

Auteur: Troyas Alain

Info: Dans "Du narcissisme de l'art contemporain"

[ kleenex ] [ débilitant ] [ consumérisme ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

transition sexuelle

Les hormones, c’est magique. Je prends deux milligrammes d’œstrogène par jour, soit exactement ce qu’une femme en dérèglement hormonal prendrait. Ce sont les mêmes hormones que pour une femme ménopausée ou une jeune femme dont le niveau d’œstrogène a besoin d’être rééquilibré. Ce ne sont pas des hormones spéciales trans. Une femme prend la pilule, ensuite elle est ménopausée et elle a un complément d’œstrogène. Donc, toute sa vie, elle prend une petite pilule. Moi, c’est pareil, il n’y a pas de différence. Et ça maintient mon niveau d’œstrogène. C’est fluide. C’est ce qu’il me fallait. Donc tout est parfait.

Auteur: Rau Inès

Info: Entretien avec Lauren Bastide pour "La Poudre", 31.10.2019

[ médication ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

corps-esprit

Chacune de nos cellules est une entité vivante, et la principale chose qui les influence est notre sang. Si j'ouvre les yeux au matin avec ma belle partenaire devant moi, cette perception provoque une libération d'ocytocine, de dopamine, d'hormones de croissance - tout cela favorisant la croissance et la santé de mes cellules. Mais si je vois un tigre avec des dents comme des sabres, je vais libérer des hormones de stress qui transforment les cellules en mode protection. Les gens doivent se rendre compte que leurs pensées sont plus importantes que leurs gènes, parce que l'environnement, qui est influencé par nos pensées, contrôle les gènes.

Auteur: Lipton Bruce H.

Info: Source : www.huffingtonpost.com

[ biophysique ] [ épigénétique ] [ interaction ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écriture

Il pense qu'il doit inventer son propre artisanat adapté aux romans qu'il veut écrire :[...]
Il faut penser à l'histoire comme à un être vivant : le squelette d'abord qui est l'intrigue et qui fait tenir le récit debout. Ensuite se greffent les organes qui sont les grandes scènes qui font circuler le sang, l'air et les hormones dans l'intrigue. Puis viennent les muscles : les petites scènes qui transmettent la tension de l'histoire. Ensuite, quand le squelette est équilibré, que les organes fonctionnent, que les musclent donnent la force, on peut poser sur l'ensemble la peau, comme une toile qui enveloppe le tout pour qu'on ne voie pas ce qui vit dessous.

Auteur: Werber Bernard

Info: Le rire du cyclope

[ recette ]

 
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tensions

Si l'on creuse un peu du côté étymologique, on apprend que stress vient du latin stringere qui signifie "rendre raide", "reserrer", "presser".

Cette racine latine est reprise assez tôt par la langue anglaise où elle est assimilée au mot "distress", qui signifie détresse mais aussi étroitesse. Cest par ce biais qu'une extension de la signification du mot "stress" s’est faite, en référence à certaines difficultés de la vie, à l’adversité et à ses conséquences. Le terme stress désigne ainsi à la fois l'agent responsable du problème, la réaction à cet agent et l'état dans lequel se trouve celui qui réagit.

À chaque fois que nous subissons une réaction de stress, nous libérons des hormones telles que, entre autres, l'adrénaline, la noradrénaline, le cortisol, l'aldostérone, les endorphines, l’ocytocine.

Auteur: Caugant Alan

Info: Nouveaux yeux

[ inconfort ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

collectivisme

Après avoir vaincu la Faim (ce qui algébriquement, nous assure la totalité des biens physiques), l'État Unique mena une campagne contre l'autre souverain du monde, contre l'Amour. Cet élément fut enfin vaincu, c'est-à-dire qu'il fut organisé, mathématisé, et, il y a environ neuf cents ans, notre "Lex Sexualis" fut proclamée : "N'importe quel numéro a le droit d'utiliser n'importe quel autre numéro à des fins sexuelles."

Le reste n'est qu'une question de technique. Chacun est soigneusement examiné dans les laboratoires du Bureau Sexuel. On détermine avec précision le nombre des hormones de votre sang et on établit pour vous un tableau de jours sexuels. Vous faites ensuite une demande, dans laquelle vous déclarez vouloir utiliser tel numéro, ou tels numéros. On vous délivre un petit carnet rose à souche et c'est tout.

Note 5.

Auteur: Zamiatine Evgueni

Info: Nous autres

[ futur-ancien ] [ planning familial ] [ rationalisation ] [ contrôle d'Etat ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

sciences

Le traitement hormonal de la ménopause (THM), en apportant des hormones aux femmes à une période où elles sont normalement sans hormones, a fourni à la médecine une opportunité formidable de confirmer le lien entre hormones et risque de cancer du sein;
Comme les hormones naturelles ovariennes, les hormones artificielles données aux femmes ménopausées augmentent la prolifération cellulaire. D'ailleurs, ces traitements provoquent souvent des règles.
L'histoire du THM remonte aux années 1960, avec la sortie du livre Feminine Forever de Robert Wilson. L'auteur, un gynécologue américain d'origine britannique, soutenait que la ménopause était en quelque sorte une maladie comme une autre, qu'elle était liée au manque d'hormones et que, par conséquent, elle pouvait être guérie par les hormones. L'idée était judicieuse, mais le docteur Robert Wilson avait simplement oublié l'effet cancérogène des hormones, connu pourtant depuis longtemps !

Auteur: Vignal Philippe

Info: L'enfer au féminin

[ femmes ]

 

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