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informatique

Qu'il s'agisse de l'"association induite" ou de l'"association libre", les enchaînements associatifs constatés ne couvrent pas l'éventail des combinaisons que l'on obtiendrait en associant deux mots au hasard, et on peut établir relativement aisément la typologie des cas effectivement observés. Il n'est pas certain toutefois que ces regroupements seraient valables pour d'autres familles de langues que les nôtres : il s'agit d'un aspect de la question qui reste à explorer.

Carl Jung a consacré des textes importants à la question de l'"association induite" et son matériel clinique et sa réflexion théorique peuvent être utilisés comme points de départ (Jung & Riklin 1973 [1904-1905] ). Les cas mentionnés par Freud (essentiellement dans les trois grands textes consacrés au "signifiant" : Freud ; 1901 ; 1905) ont également été utilisés. Voici maintenant l'inventaire des différents types d'associations de signifiant à signifiant que l'on peut relever.

Enchaînements associatifs matériels

Acoustiques : homophoniques : humilité/humidité, amical/amicalement, fortune/fortuné, "Bosnie/Boticelli/Signorelli". (paronomase)

syntagmatiques : pain/quotidien, larme/vallée.

Graphiques : homographie : sphinx/lynx. (paronomase)

Enchaînements associatifs sémantiques

synonymie : voleur/bandit.

inclusion : bleu/couleur, assassin/Landru. (substitut métonymique, synecdoques)

connexion simple : abeille/miel, fenêtre/verre. (substitut métonymique)

traduction : timbre/stamp.

paradigme : vélo/voiture, lac/océan. (substitut métonymique)

attribution essentielle : ciel/bleu, enfant/petit. (substitut métonymique, synecdoques)

attribution accidentelle : père/ivre, piano/horrible.


Auteur: Jorion Paul

Info: Principes des systèmes... 1989, chapitre 9

[ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ classement ] [ langage ] [ corrélats ] [ analogies ] [ association d'idées ] [ psychogénèse ]

 

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ennui

Le 11 avril 1954 fut il le jour le plus ennuyeux dans l'histoire ?
La prochaine fois que vous entendrez un ami se plaindre qu'il vient de passer le jour le plus ennuyeux de sa vie, vous pourrez lui parler de ceci.
Un scientifique de Cambridge a développé un programme informatique afin de calculer quel fut le jour le plus casse-pied depuis 1900, rapporte le "Télégraph". Verdict : le 11 avril 1954.
Pour les événements internationaux de ce jours on a : une élection générale en Belgique et la naissance d'Abdullah Atalar, un Turc. La couverture du New York Post affichait deux flics en train de suivre une conférence sur la délinquance juvénile.
Le programme de William Tunstall Pedoe, appelé True Knowledge, utilise des algorithmes qui assortissent 300 millions de faits sur des gens, des endroits et des événements. Il est conçu pour constituer une nouvelle manière de surfer l'Internet.
"L'ironie est donc que - après avoir fait le calcul - ce jour soit intéressant car il fut particulièrement ennuyeux" a dit Tunstall-Pedoe au Télégraph. "à moins que vous ne soyez vous-même Abdullah Atalar." Tunstall-Pedoe a aussi déclaré au "Toronto Star" : "Pour le jour le plus passionnant c'est beaucoup plus difficile.. après tout, on a deux guerres mondiales, des assassinats, bombes nucléaires, des gars qui débarquent sur la lune. Il est bien plus facile de calculer le jour avec le moins d'activité. Comment comparer la conquête de la lune avec Pearl Harbor ?"

Auteur: Pace Gina

Info:

[ anecdote ]

 

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distinguo sémantique

En mode s’entend régulièrement aujourd’hui dans une langue particulièrement relâchée pour indiquer la manière dont se fait telle ou telle chose. Il s’agit d’une extension du nom masculin mode tel qu’il est employé d’abord en musique : en mode majeur, en mode mineur, puis dans des domaines techniques, en mode connecté, en mode autonome, etc., mais il s’agit d’une extension fautive. Cette locution est employée aujourd’hui soit avec le sens d’"à la manière de, comme", ou pour porter un jugement sur la manière, réelle ou supposée, dont a agi la personne qu’on évoque : Elle s’est endormie en mode tortue retournée, pour "elle s’est endormie sur le dos", Il lui a répondu en mode "cause toujours", "il a répondu en manifestant que son interlocuteur ne l’intéressait pas". Il convient de rappeler qu’il s’agit là de tours qui sont à proscrire, même de la langue familière.

FLP se permet d'ajouter que l'informatique et les geeks ont beaucoup fait pour cette terminologie, avec l'incontournable mode sans échec par exemple. Ou dans les jeux où on peut se mettre en god mode, pour ne plus se laisser dominer par aucune situation, ce qui est une forme de mode tricheur. Ou sur FLP, il aura fallu se mettre en mode administrateur pour mettre cet ajout. Etc. Toutes situations qui impliquent que la situation-univers en question, pouvant être abordée de plusieurs manières ou points de vue, il en est choisi un. L'analogie musicale de départ nous semblant être ici la plus proche de cette idée.

Auteur: Internet

Info: https://www.academie-francaise.fr/, 5 octobre 2017. Extensions de sens abusives

[ imprécision linguistique ] [ état d'esprit ] [ définition ] [ homme-machine ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

numérique

Le fait qu’un metteur en scène tel que G. Lucas ait nommé sa société de production "Industrial Light and Magic" montre en effet comment la technologie vient au secours d’un psychisme occidental avide des prodiges qu’il ne trouve plus dans son existence, ternie par l’industrie et la mécanisation. Cette "matérialisation" de l’imaginaire, envisagée comme porte de sortie du monde, vise à concrétiser un désir double : celui de pouvoir "créer" l’être et, disions-nous, celui de remplacer le merveilleux manquant. La complexité croissante des "effets spéciaux", qu’ils recherchent l’horreur ou l’esthétisme, simule en fait le rite magique traditionnel des métamorphoses. Les toutes récentes théories de l’art intermédiaire, conférant à l’image une "quasi-vie", sinon une vitalité autonome, illustrent bien ce que vise ici la culture informatique. L’apparition, également récente, des images virtuelles prouve effectivement que l’un des projets les plus pernicieux qu’ait engendrés l’invention de l’ordinateur consiste en la possibilité d’"entrer", pour ainsi dire, dans l’image afin de pouvoir intervenir de façon interactive, en tant que personnage du film. Il serait donc envisageable de "pénétrer" à l’intérieur de paysages totalement synthétiques et artificiels, d’entretenir des "relations" envers des anthropoïdes tout aussi irréels. "L’existence médiatique" deviendrait par conséquent l’existence véritable. Mais cette consommation d’images fantasmatiques enfermerait l’individu dans une "existence autre que la sienne", qui lui ferait atteindre en quelque sorte le comble de l’illusion. L’ordinateur, comme machine à vision contemporaine, chercherait donc à singer un "au-delà" du monde en essayant de recomposer par l’image les structures vivantes de l’univers.

Auteur: Geay Patrick

Info: Dans "Hermès trahi", page 83

[ imitation parodique ] [ virtualisation ] [ contre-initiation ] [ réels factices ] [ dématérialisation ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

robots

La matière est machine, assurent les cybernéticiens et les transhumanistes, reprennant à l’heure du cyborg la théorie des animaux-machines de Descartes et celle de l’Homme-Machine de La Mettrie. Selon ce dernier, l’homme et l’animal sont des "assemblages de ressorts" que la Nature a fabriqués, comme Vaucanson, "le Nouveau Prométhée", a fabriqué ses automates. En matérialiste, La Mettrie insiste sur "l’analogie du règne animal et végétal, de l’homme à la plante", qui tient à une matière commune, dont seule varie l’organisation. "Être machine" et "n’être qu’un animal sont donc des choses qui ne sont pas [...] contradictoires".

L’homme fait donc partie du règne "animal-machine" diraient les mécanistes, où il se distingue comme machine supérieurement organisée. De cette matrice philosophique et anthropologique sortent, on le voit, les concepts actuels de la cybernétique ( "intelligence" artificielle), des neurotechnologies (interfaces cerveau-machine, simulation du cerveau par supercalculateur), de la biologie synthétique ("machines vivantes" créées par informatique), qui fournissent l’arsenal du cyberanthrope et préparent l’incarcération de l’homme-machine dans le monde-machine.

Nous distinguons quant à nous les animaux dotés d’autonomie reproductive, qui naissent, des machines fabriquées asservies à l’hétéronomie reproductive – à la manière de Fontenelle, contradicteur du mécanisme cartésien, et dont l’esprit échappe encore à l’ "intelligence artificielle" :

"Vous dites que les bêtes sont des machines aussi bien que des montres ? Mais mettez une machine de chien et une machine de chienne, l’une auprès de l’autre, il en pourra résulter une troisième petite machine : au lieu que deux montres seront l’une auprès de l’autre toute leur vie, sans jamais faire une troisième montre".

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Le règne machinal", éditions Service compris, 2021, pages 181-182

[ historique ] [ objection ] [ différence ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

littérature

- Pardonnez-moi, mais j'ai beaucoup de mal à adhérer à ce truc. Pour moi, un livre c'est une couverture, des pages en papier, de l'encre, une odeur. Certainement pas ça.
- Vous avez essayé de partir en voyage avec votre bibliothèque ? Moi je peux, et j'ai en plus des dictionnaires, une vidéothèque bien pourvue, de la musique pour des centaines d'heures et un accès illimité au monde. Essayez d'en faire autant avec un bouquin.
Alexandra tourna encore l'objet dans ses mains pendant quelques instants et se demanda quelle serait la réaction du policier si elle le laissait tomber par terre, juste pour comparer avec un livre papier, puis le rendit à son propriétaire.
- Je pense que mon bouquin papier n'a pas besoin d'être rechargé et ne risque pas de se refermer tout seul au milieu d'un passage palpitant, faute de pile.
- C'est bien possible, mais je suis pour le progrès et vouloir ignorer le progrès conduit à l'obscurantisme. Avec ce type de joujou, n'importe qui a accès à la plus grande bibliothèque du monde sans se déplacer. L'évolution de l'espèce humaine est dans l'ordre des choses.
- Je pense que le jour où ces machins remplaceront les livres papier, nous entrerons dans une phase de déclin. Une toute petite part de l'humanité aura accès à la connaissance et les autres n'auront même plus le choix de s'instruire avec un livre. Parce qu'à mon avis, on ne trouve pas ce gadget au milieu du désert. Par ailleurs, aux endroits où la culture et la connaissance n'arrivent pas encore, il n'y a pas d'électricité.

Auteur: Olivaux Christian

Info: Piège Numérique

[ informatique ] [ support ]

 

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technologie

Ce que l'on théorise maintenant, un peu pompeusement, comme le passage de l'âge industriel à l'âge de l'information, nous en avons tous eu la prescience, du jour où nous avons commencé à pianoter sur nos petites machines.

Chacun avec son bagage, et sa mythologie, nous avons éprouvé ce satori ("satori-bricolage" aurait pu être le titre de ce projet) selon lequel le XXe siècle, en fin de compte, n'aura pas existé : il n'aura été que l'interminable, la sanglante parenthèse entre une préhistoire à déchiffrer et une histoire à écrire.

Passage aussi décisif que celui de la pierre taillée à la pierre polie, où apparaissent trois notions qui suffisent à le distinguer de tous les autres :

- pour la première fois, il n'est plus nécessaire d'assembler pour produire (voilà pour la pierre angulaire du capitalisme, et du marxisme à sa suite : la ville, l'usine sont déjà des choses du passé).

- pour la première fois, un message peut être reproduit des millions de fois sans altération (voilà pour la circulation de l'information, horizontale par nature, traçant une croix sur la verticalité des pouvoirs).

- pour la première fois, l'homme qui disait à la machine "je peux tout, à toi de faire ce que je t'ai demandé de faire" s'entend répondre "je peux tout, à toi de me dire ce que tu peux demander".

Sur tout cela, d'autres, plus savants, auront des choses à déclarer. Ceux, dont je suis, qui pratiquent l'informatique naïve comme il y a des peintres naïfs, se contenteront de montrer des images.

Auteur: Marker Chris

Info: Extrait d'une présentation de projet pour "Time Zone" (exposé en ce moment, été 2021, au Centre Pompidou), 1989

[ futur antérieur ] [ rétrospection ] [ nouveau départ ] [ vraie question ] [ homme-machine ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

citation s'appliquant à ce logiciel

Imaginons un dispositif futur pour l'usage individuel, une sorte de dossier-bibliothèque privé et mécanisé. Inventons lui un nom au hasard, le "memex". Ce serait un dispositif par lequel un individu stockerait tous ses livres, enregistrements et informations et qui serait mécanisé de sorte qu'il puisse être consulté avec grande vitesse et flexibilité.

Ce serait une extension de sa mémoire intime. Le propriétaire du memex pourrait être, disons, intéressé par l'origine et les propriétés de l'arc et de la flèche. Spécifiquement il étudierait pourquoi l'arc turc court fut apparemment supérieur au long arc anglais lors d'escarmouches durant les croisades.

Il aurait donc des dizaines de livres et d'articles pertinents pour son memex. D'abord il consulterait une encyclopédie, trouverait un article intéressant, mais imprécis... Ensuite, dans une autre chronique, il dégotterait un autre texte pertinent qu'il joindrait au précédent. Ainsi commencerait-il à construire une chaine de beaucoup de textes et autres commentaires. De temps à autre il y ajouterait une remarque de son cru, l'insérant dans la chaîne principale ou la joignant par un lien latéral à un texte particulier.

Quand il deviendrait évident que les propriétés élastiques des matériaux utilisés ont beaucoup à faire avec l'efficacité des arcs, il créerait alors une arborescence latérale qui prendrait en compte certains ouvrages sur l'élasticité et les tables de constantes physiques inhérentes. Il pourrait aussi y insérer un texte d'analyse de son cru. Ainsi se construirait une sorte de parcours de son exploration mentale dans le labyrinthe des textes et autres matériaux disponibles concernant l'évolution des arcs. Et surtout, le parcours de cette promenade cérébrale, ne s'effacerait pas.

Auteur: Bush Vannevar

Info: The Atlantic Monthly, As We May Think, July 1945

[ réflexion ] [ outil ] [ informatique ] [ FLP personnalisé ]

 

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post-cybernétique tétrapode

Les quatre concepts de l’informatique

algorithme            machine               langage              information

4 concepts antérieurs à l’informatique, déjà là dans l’antiquité

- algorithme : addition

- machine : moulin à eau

- langage : des nombres

- information : bibliothèque d’Alexandrie

(Sans lien : La méthode d’Euler et le fardier de Cugnot)

Au début du XXe siècle. Un mathématicien et un comptable, un physicien et un fabriquant de métiers à tisser, un grammairien et un traducteur de textes anciens, un agent du chiffre et un archiviste... sont coincés dans un ascenseur.  Qu’ont-ils à se dire ?

L’informatique a tissé des liens entre ces quatre personnages/idées/concepts

- Programmation : expression d’un algorithme dans un langage

- Compilation : traduction d’un programme exprimé dans un langage pour qu’il soit exécuté par une machine

- Protocole réseau : algorithme pour faire fonctionner une machine

- Compression : un algorithme pour optimiser la représentation de l’information

Qu’est-ce que la pensée informatique ?

- Description algorithmique des phénomènes naturels (synthèse des proteines)

- Le fait de déléguer des taches a des machines (savez-vous faire une multiplication ?)

- Conception de langages pour décrire les phénomènes (grammaire des grammaires) 

- Tout concevoir comme un flux d’information (Peut-on stocker une quantité infinie d’information dans un volume fini ?)

Quoi enseigner dans les cours d’informatique au lycée ?

- l’algorithmique

- l’architecture des machines

- la programmation

- l’utilisation d’un moteur de recherche


Auteur: Dowek Gilles

Info: Condensé et adaptation libre de ses slides de présentation, trouvés sur http://www.lsv.fr/~dowek/Slides/quatre.pdf

[ synthèse ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

citation s'appliquant à ce logiciel

Entre autres possibilités offertes par ses fonctionnalités informatiques, FLP aimerait explorer ce qui semble être un paradoxe : si le langage est le corpus central grâce auquel l'humain put développer des communautés toujours plus grandes et organisées, sa prise sur la compréhension de notre réalité consensuelle apparait faible, voire nulle. De plus sans réels signes d'une amélioration en ce sens puisque la complexification et la spécialisation des idiomes semble plutôt de nature à égarer et a multiplier les ambivalences. Bref cette capacité sémantique est immensément inférieure à ce qu'on pourrait croire. 

Ainsi cette limitation - qu'on pourra aussi présenter par "définir c'est restreindre" - a motivé FLP à essayer d'"ouvrir" les potentialités de l'écrit, en parallèle à un travail de désambiguïsation. C'est en ce sens que ses possibilités d'exploration "full search", combinables de moult manières avec les recherches avancées, permettent la découverte, la mise en exergue ou la clarification, d'idées/concepts que l'on pourra ensuite réorienter grâce aux citations liées ou aux chaines thématiques. Le tout, saupoudré à l'occasion de commentaires/discussions sur tel ou tel point de détail, offre un outil de recherche linguistique "Homme-machine" dont nous ne connaissons pas d'équivalent. Outil communautaire qui s'essaye simultanément à développer une base de données intelligente, intelligente au sens où ce sont des cerveaux humains qui, tout en respectant 1 règle et 2 conseils basiques, y "classent" les extraits. Avec cette idée en tête : dans quelle mesure un autre utilisateur pourra-t'il remonter jusqu'à ce fragment ? Car FLP permet de faire cela. Une telle réflexion, personnelle au sein d'un système de signes/mot/phrases collectif, ne peut se refuser à la quête rétroactive, que ce soit la sienne, ou en usant de la machine en ce sens.

Auteur: Mg

Info: 21 octobre 2020

[ étiquetage ] [ syntropie positive ]

 
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