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science appliquée

Lorsque cette grande vérité, révélée accidentellement et confirmée expérimentalement, sera pleinement reconnue, à savoir que cette planète, avec toute son effroyable immensité, n'est virtuellement pour les courants électriques qu'une petite boule de métal et que de ce fait de nombreuses possibilités, chacune déconcertant l'imagination et ayant des conséquences incalculables, sont rendues absolument sûres d'être accomplies ; lorsque la première installation sera inaugurée et qu'il sera démontré qu'un message télégraphique, presque aussi secret et ininterrompu qu'une pensée, peut être transmis à n'importe quelle distance terrestre, que le son de la voix humaine, avec toutes ses intonations et inflexions, peut être reproduit fidèlement et instantanément en n'importe quel point du globe, que l'énergie d'une chute d'eau peut être utilisée pour fournir de la lumière, de la chaleur ou de la force motrice, n'importe où - sur mer, sur terre ou dans les airs - l'humanité sera comme un tas de fourmis que l'on agite avec un bâton : Voyez l'excitation à venir !

Auteur: Tesla Nikola

Info: "The Transmission of Electric Energy Without Wires", Electrical World and Engineer (5 mars 1904), 43, n° 10, 431.

[ historique ] [ visionnaire ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

montage vidéo

J'ai vu ici des films qui, bien sûr, s'expriment par la mimique, les gestes, les intonations des acteurs, puisqu'ils font tous ainsi. Par exemple j'admire Charlie Chaplin, sauf ceux de ses films qui s'expriment par la mimique. Le cinéma n'est pas cela : il doit s'exprimer non pas par des images, mais par des rapports d'images, ce qui n'est pas du tout la même chose. De même un peintre ne s'exprime pas par des couleurs mais par des rapports de couleurs ; un bleu est un bleu en lui-même, mais s'il est à côté d'un vert, ou d'un rouge, ou d'un jaune, ce n'est plus le même bleu : il change. Il faut arriver à ce qu'un film joue des rapports d'images ; il y a une image, puis une autre qui a des valeurs de rapport, c'est-à-dire que cette première image est neutre et que, tout à coup, mise en présence d'une autre, elle vibre, la vie y fait irruption : et ce n'est pas tellement la vie de l'histoire, des personnages, c'est la vie du film. A partir du moment où l'image vit, on fait du cinéma.

Auteur: Bresson Robert

Info: Entretien paru dans les "Cahiers du cinéma", n°75, octobre 1957 - cité dans "Passage du cinéma", éd. Ansedonia, p. 569-570

[ beaux-arts ] [ comparaison ] [ langage ] [ cognition visuelle ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

musique

Django Reinhardt fut de loin le joueur de guitare le plus étonnant... Django était tout à fait surhumain, il n'y a rien de normal à son sujet que ce soit comme personne ou en tant que musicien... et je ne peux pas oublier Gene Vincent ou Cliff Gallup... lui fut ma lumière guide au cours de mes années d'adolescence... et si on veut avoir plus une vue d'ensemble, je pense que le guitariste de Country Albert Lee était cool... ainsi que Paul Burlison, qui a joué avec Johnny Burnette... on ne pense pas non plus à Les Paul comme à un rockeur, mais en ce qui me concerne il a établi les bases du rock. D'une perspective jazz il y avait Charlie Christian, Thumbs Carlyle, Grant Green - des musiciens fabuleux... sans oublier Buddy Guy, je l'ai vu par le passé jeter sa guitare en l'air et la rattraper sur le même accord... Et puis le tapping apporté par Van Halen est aussi au premier rang, Eddy était un des musiciens les plus savoureux avec une guitare... l'intonation obtenue par George Harrison était super... Eric Clapton est certainement un ambassadeur... il est le type dont tout le monde parle comme référence... Eric a tellement à offrir, en plus il fait des chansons avec lesquelles tout le monde peu s'identifier...

Auteur: Beck Jeff

Info:

[ guitare ] [ influences ]

 

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phénomène parapsychologique

Dans le cas de Mlle S. W., on n’a observé qu’une fois une glossolalie durant laquelle les seuls mots compréhensibles étaient parsemés, çà et là, des variations du mot "vena". L’origine de ce mot est claire : quelques jours auparavant, la malade s’était plongée dans l’examen d’un atlas anatomique et en particulier dans ce qui concernait les veines du visages où leurs noms étaient donnés en latin et le mot vena avait été employé par elle dans ses rêves, comme il arrive aussi chez les gens en bonne santé. Les autres mots et phrases en langue étrangère trahissent dès l’abord leur origine : le français, que la malade parle assez couramment. […] nous pouvons admettre qu’il s’agit d’un phénomène analogue à celui de la langue martienne de Mlle H. Smith. Flournoy démonter que cette langue martienne n’est pas autre chose qu’une traduction enfantine du français dans laquelle seuls les mots ont été modifiés tandis que la syntaxe est restée la même. Mais il est plus vraisemblable encore de supposer que le sujet mettait à la queue leu leu des sons dépourvus de sens mais d’allure étrangère, sans former proprement des mots en empruntant au français et à l’italien certaines intonations verbales qu’elle combinait à la façon d’une langue, un peu comme Hélène Smith remplissait les lacunes entre les mots sanscrits réels par un pseudo-langage qu’elle fabriquait elle-même. 

Auteur: Jung Carl Gustav

Info: Dans "L'énergétique psychique", trad. Yves Le Lay, Librairie de l'Université, Genève, 1956, page 213

[ étude rationnelle ] [ explication ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

anti-matérialisme

Ah ! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. On ne peut vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous ! On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Rien qu’à entendre un chant villageois du XVe siècle, on mesure la pente descendue. Il ne reste rien que la voix du robot de la propagande […] Mais où vont les États-Unis et où allons-nous, nous aussi, à cette époque de fonctionnariat universel ? L’homme robot, l’homme termite, l’homme oscillant du travail à la chaîne système Bedeau à la belote. L’homme châtré de tout son pouvoir créateur, et qui ne sait même plus, du fond de son village, créer une danse ni une chanson. L’homme que l’on alimente en culture de confection, en culture standard comme on alimente les bœufs en foin. C’est cela l’homme d’aujourd’hui. […] ça m’est égal d’être tué en guerre. De ce que j’ai aimé, que restera-t-il ? Autant que les êtres, je parle des coutumes, des intonations irremplaçables, d’une certaine lumière spirituelle. Du déjeuner dans la ferme provençale sous les oliviers, mais aussi de Haendel. Les choses je m’en fous, qui subsisteront. Ce qui vaut, c’est un certain arrangement des choses. La civilisation est un bien invisible puisqu’elle porte non sur les choses, mais sur les invisibles liens qui les nouent l’une à l’autre, ainsi et non autrement. Nous aurons de parfaits instruments de musique, distribués en grande série, mais où sera le musicien ? 

Auteur: Saint-Exupéry Antoine de

Info: Lettre au général X (extrait), 30 juillet 1944

 

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langage

1. 1. 5. L'accentuation
Cette stratégie rhétorique repose sur le fait qu'il est possible de changer le sens d'une affirmation simplement en changeant l'intonation avec laquelle on en prononce certains mots.
Prenez par exemple la maxime suivante : "On ne doit pas dire de mal de nos amis." Sa signification est claire et son interprétation ne pose généralement pas de problème. Mais on peut la dire en signifiant qu'on peut dire du mal de ceux qui ne sont pas nos amis - simplement en insistant sur le dernier mot : "On ne doit pas dire de mal de nos AMIS."
On peut encore la dire en laissant entendre qu'on peut dire du mal des amis des autres: "On ne doit pas dire de mal de NOS amis."
Dans un certain contexte, on pourra la dire en insinuant que, si l'on ne peut pas dire du mal de nos amis, on peut cependant leur en faire : "On ne doit pas DIRE de mal de nos amis."
À l'écrit, il existe un équivalent de cette stratégie orale, qui consiste à accentuer certaines parties d'un message. La publicité y a souvent recours, par exemple en annonçant en grosses lettres : UN ORDINATEUR PERSONNEL POUR 300 $ et, en tout petits caractères, que le moniteur n'est pas compris dans ce prix.
Une stratégie voisine mais distincte consiste à ne retenir que certains passages d'un texte, donnant ainsi l'impression qu'une chose est affirmée alors que le texte original disait sinon le contraire, du moins tout autre chose.

Auteur: Baillargeon Normand

Info: Petit cours d'autodéfense intellectuelle

[ orientation ] [ manipulation ] [ intonation ]

 

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femmes-par-hommes

J'ai lu un article qui raconte que lorsque les femmes ont une conversation, elles communiquent sur cinq niveaux. Elles suivent la conversation en cours, la conversation qui est spécifiquement évitée, les intonations qui y sont appliquées, la conversation enfouie couverte par le sous-texte, et enfin le langage corporel de l'interlocuteur.
C'est, à bien des égards, stupéfiant pour moi. Je veux dire, c'est comme avoir un putain de super pouvoir. Quand moi et la plupart des autres personnes avec un unique chromosome Y avons une conversation, nous en avons une. Au singulier. Nous prêtons attention à ce qui est dit, en tenant compte de cela, et nous y répondons. Toutes ces autres conversations qui semble-t'il hurlent depuis des milliers d'années ? Je ne savais même pas qu'elles existaient avant de lire cet article stupide, et je suis presque sûr que je ne suis pas le seul.
(...) Alors, mesdames, si vous discutez un jour avec votre petit ami, votre mari, votre frère ou votre copain et que vous lui dites quelque chose de parfaitement évident, et qu'il en sort complètement désemparé ? Je sais qu'il est tentant de se dire : "L'homme ne peut pas être aussi stupide!" Mais oui, oui. Oui, il peut.
Nos forces innées ne sont pas les mêmes. Nous sommes de puissants chasseurs, qui savent se concentrer sur une chose à la fois. Pour l'amour de Dieu. Nous devons éteindre la radio dans la voiture si nous avons l'impression de nous être perdus et qu'il faut trouver comment se rendre à notre destination. C'est dire à quel point nous sommes affaiblis. Je vous le dis, nous n'avons qu'une seule conversation. Peut-être qu'un vétéran de la relation comme Michael Carpenter peut avec deux, mais c'est repousser les limites. Cinq conversations simultanées ? Cinq ? Ouaouh. C'est pas possible. Du moins pas pour moi.

Auteur: Butcher Jim

Info: Cold Days

[ humour ] [ incompréhension ]

 

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musique

Le jazz part de l'idée que ce serait bien que nous quatre, mecs simplistes que nous sommes, tout en jouant ensemble ce thème compliqué, puissions aussi être libres et autonomes. Presque tragiquement, ça ne fonctionne jamais tout à fait. Au mieux, on peut être libres un ou deux à la fois - alors que les autres gars s'accrochent à la trame. Ce qui ne veut pas dire que personne n'essaye de se passer des fils de cette trame. Beaucoup l'ont tenté, et parfois ça marche, mais ça ne ressemble plus à du jazz quand c'est le cas. L'architecture sonore dérive simplement vers la stratosphère de la dialectique formelle, s'éloignant de nos préoccupations sociales.

Le rock and roll, en revanche, suppose que nous quatre - aussi abimés et antisociaux que nous puissions être - nous démerderons pour nous mettre ensemble, à l'abri mec, pour jouer ce foutu truc. Et le jouer correctement, d'accord ? Au moins une fois, bien accordés et en rythme. Mais on n'y arrive pas. Mélodie et accords sont trop simples, et nous trop compliqués et excités. Et c'est pas faute d'essayer comme des fous, mais les guitares se désaccordent, l'intonation merdoie... le rythme reste imperceptiblement instable, en dépit de nos espérances, rien à faire. Simplement parce qu'on respire mec. Donc, essayant de jouer ensemble cette chanson toute simple, nous voilà à créer cet ouragan de bruit, filigranes fractaux infiniment complexes, aux nuances souvent  délicates.

Et n'hésitez pas à remercier les branleurs des années 80, et autres séquenceurs numériques, pour avoir prouvé que le rock technologiquement "parfait" - tout comme le jazz "libre" - font chier. Parce que l'ordre, ça craint. Je veux dire, regardez les Stones. Keith Richards est toujours au top du rythme, et Bill Wyman, jusqu'à ce qu'il démissionne, était toujours derrière, parce que Richards dirige le groupe, Charlie Watts le suit et Wyman écoute Watts. Bref le rythme se faufile parmi ces petits abimes neuronaux, sans qu'on puisse le formaliser bien sûr, mais on peut le sentir dans l'estomac. Ici aussi l'intonation vacille, avec l'impulsion du doigt sur la corde amplifiée. C'est la délicatesse du rock-and-roll, la rhétorique corporelle, de minuscules variations, imperfections nécessaires de cette contingence communautaire. Et tout ça a ses vertus, car le jazz ne fonctionne que si on essaye d'être libres et qu'on est, en fait, ensemble. Et le rock and roll, ça marche parce qu'on est juste une bande de parasites minables. Voilà une chose sur laquelle on peut compter, une vraie bonne chose, parce qu'au XXe siècle, il n'y a que ça : le jazz et le rock-and-roll. Le reste : éphèmères papiers journalistiques et publicité.  

Auteur: Hickey Dave

Info: Air Guitar :  Essays on Art and Democracy. Trad Mg

[ non classique ] [ politique ] [ blues source ]

 

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portrait

Céline craignait les visiteurs, il vivait comme un petit rentier, derrière une vitre, dans un fauteuil, assis sur des couvertures, les pieds emmitouflés et enfoncés dans des pantoufles énormes. Il écrivait tous les jours, jusqu'à 4 heures de l'après-midi. En arrivant, on demandait si le docteur était là. Il réagissait mieux quand on l'appelait docteur. Ce qui frappait, c'était son regard. Il avait cet oeil que la photo rend mal, un oeil bleu, malin, blasé, à la paupière floue, avec des éclairs, de l'amertume, de la ruse.

Quand il se sentait observé, il lui arrivait, pendant de longs moments, de parler comme un livre. Il y avait aussi des creux, durant lesquels il continuait à émettre de façon fragmentée. Si on ne l'interrompait pas ou si on ne le relançait pas par une question, il allait seul, oubliant le micro, dressant ses grands bras pour remplacer un mot ou une phrase, pour occuper le silence, puis il les laissait retomber sur ses genoux.

En allant l'interroger, je cherchais des influences de style dans ses lectures, des modèles. La Fontaine, principalement ; Mme de Sévigné aussi : les épistoliers sont à mi-chemin entre l'oral et l'écrit. Bien sûr qu'il avait à dire sur la Sévigné ! Les deux mains s'élèvent comme deux crabes à l'envers :

"Dans la Sévigné, on sent comme un tremblement de velours..."

Les autres stylistes y passent à leur tour. Stendhal ? Un pisse-froid Proust ? Il n'avait pas beaucoup de style, il était malade. Saint-Simon ? De premier ordre, mais emmerdant à cause de ses nobles ; il y a trop de nobles, c'est la barbe.

Mais c'était lui que je cherchais. À l'audition de la bande, sans les gestes, sans rien d'autre que ce qui est enregistré, l'évocation est encore vive et drôle, mais partielle. La langue orale, par son intonation, son accentuation, son rythme, conserve encore suffisamment de traits non équivoques. Mais le texte transcrit de ce que Céline disait est illisible. Il fallait être Céline pour transcoder son propre discours.

D'abord, il y a les silences. Ce sont des tunnels, et c'est de là, je crois, qu'il faut partir. Entre les moments où Céline cesse d'émettre des sons articulés et ceux où il reprend, la signification continue. Un exemple ? À propos de Villon, il dit : "Il ramène tout d'un coup, n'est-ce pas, des mélancolies qui viennent de loin... Qui sont bien au-dessus, au fond de la nature humaine, qui n'a pas cette qualité, n'est-ce pas..." Je note par des points de suspension ce qui me semble être un silence de dérive, là où Céline change de route. Et je note par une virgule ce qui me semble être un silence de reprise, là où, tandis que le silence se déroule. Céline continue dans la même direction. Dans un cas comme dans l'autre, le silence est un trait de la syntaxe célinienne : la signification continue dessous.

Auteur: Guénot Jean

Info: De la parole à l'écriture, article dans le journal Le Monde du 15 février 1969

[ écrivains français ]

 

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langages comparés

Voici quelques généralisations pas nécessairement très exactes, mais qui donnent un aperçu de ce que les bots synthétisent sur le sujet en début de l'an 2024.  Sont ici recensées certaines perceptions d'ensemble et d'habitudes, surtout émergentes par comparaisons, de quelques uns parmi les grands idiomes humains.

Le Latin est une langue flexionnelle*, ce qui signifie que les mots changent de forme pour indiquer leur rôle dans la phrase, Le latin est consdéré comme l'idiome de l'analyse. De plus en tant que langue classique, il est souvent associé à la rigueur et à la précision. Langue des philosophes, des savants et des juristes de l'Antiquité, le latin est perçu comme une langue qui favorise la pensée et la formulation précise des idées.

Le mandarin, en raison de la complexité de ses caractères et de sa riche histoire, est souvent associé à la sagesse et à la tradition. La culture chinoise est également réputée pour son importance accordée à la famille et à la communauté. C'est aussi une langue agrégative qui combine des mots pour former des expressions complexes, ce qui reflète la vision du monde chinoise comme un système interconnecté.

L'hindi est un langage doté d'un riche vocabulaire pour décrire les émotions fortes, telles que l'amour, la joie et la tristesse. Elle est également associée à la famille et à la communauté, qui sont des valeurs importantes dans la culture indienne. En plus de ces caractéristiques, l'hindi a également un riche vocabulaire pour décrire la spiritualité. La langue est souvent utilisée pour exprimer des concepts tels que la religion, la méditation et la conscience.

La langue japonaise est souvent associée à la politesse, à la précision et à une riche culture traditionnelle. Les différents niveaux de politesse dans la langue reflètent les nuances importantes dans les interactions sociales. Pays du surmoi selon Michel Onfray.

L'allemand est connu pour sa précision et sa structure grammaticale complexe, l'allemand est souvent associé à la technologie, à l'ingénierie et à la rigueur. C'est aussi la langue des dresseurs, probablement du à ses intonations gutturales. La culture allemande a également une forte tradition philosophique.

L'arabe est souvent associé à une riche tradition poétique et littéraire, ainsi qu'à une profonde signification culturelle et religieuse. La calligraphie arabe est également considérée comme une forme d'art distincte. Mais cette langue possède surtout un riche vocabulaire pour exprimer l'amour via de nombreux mots différents pour en décrire toutes les nuances : l'amour romantique, l'amour familial, l'amour amical et l'amour divin et bien sur l'amour en général

Souvent considéré comme une langue pratique et polyvalente, l'anglais est utilisé dans des contextes variés, des affaires aux sciences en passant par la culture populaire. Il est souvent associé à la mondialisation et à une approche pragmatique de la communication. Il est simple et direct et a pour caractéristique un immense vocabulaire, du au fait qu'y sont rassemblés tant les termes de souches latines que ceux venant des langues saxonnes.

La langue espagnole est souvent associée à la passion, à l'expressivité et à une riche tradition artistique et littéraire. Elle est également largement parlée dans plusieurs pays d'Amérique latine, ce qui ajoute une diversité culturelle à son image.

Le français : souvent perçu comme une langue de raffinement et d'élégance, il est associé à la culture artistique, à la gastronomie et à la philosophie. Il est également considéré comme une langue de diplomatie. De plus la langue française a un système complexe de conjugaisons verbales ce qui peut aider ses locuteurs en terme de créativité.

L'idée selon laquelle chaque langue voit le monde différemment est liée au concept de relativité linguistique, également connu sous le nom de l'hypothèse de Sapir-Whorf. Cette théorie, très peu acceptée chez les linguistes, suggère que la structure d'une langue peut influencer la façon dont ses locuteurs pensent et perçoivent le monde qui les entoure. 

Ces généralisations sont évidemment à prendre avec tout le recul nécessaire.

Auteur: Internet

Info: Compil de Mg, avec bard et chatgpt, *langue dans laquelle de nombreux mots sont variables : ils changent de forme selon le contexte d'usage ou leur rapport grammatical aux autres mots dans une phrase

[ points de vue ] [ linguistique ]

 

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