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poésie

Le langage poétique se caractérise par une relation forme/contenu plus symbolique que conventionnelle, au sein de laquelle tous les éléments linguistiques (et culturels), aussi bien les variantes que les invariants, peuvent être impliqués dans l'expression du contenu.

Auteur: Lotman Yuri

Info: "Analyse du texte poétique".

[ définie ] [ ouverture ] [ association libre ] [ apophénie ]

 

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abstraction

Selon Dirac, Les mathématiques doivent prolonger, dans l'invisible, les mécanismes de la vision. Ainsi, avec des structures invariantes surgissent des objets réels, dotés d'une existence propre, qui ne dépendent pas des points de vue par lesquels on les considère.

Auteur: Klein Étienne

Info: Histoire des grandes découvertes en physique

[ langage ] [ sciences ] [ création ] [ solide réalité ]

 
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impartialité

La seule objectivité acceptable réside dans les mécanismes invariants qui régissent le fonctionnement de ces systèmes nerveux, communs à l’espèce humaine. Le reste n’est que l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes, celle que nous tentons d’imposer à notre entourage et qui est le plus souvent, et nous verrons pourquoi, celle que notre entourage a construit en nous.

Auteur: Laborit Henri

Info: Éloge de la fuite

[ rarissime ] [ rapports humains ] [ impersonnalité ] [ persona ]

 
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science physique

Jusqu'à présent, les théories physiques ont été considérées comme de simples modèles décrivant approximativement la réalité de la nature. Au fur et à mesure que les modèles s'améliorent, l'adéquation entre la théorie et la réalité se rapproche. Certains physiciens affirment aujourd'hui que la supergravité est la réalité, que le modèle et le monde réel sont en parfait accord sur le plan mathématique. 

 

Auteur: Davies Paul Charles William

Info: Superforce (1984, 1985), 149. *théorie du champ de Maxwell qui combine la supersymétrie et la relativité générale. Les théories de supergravité possèdent une super-symétrie locale, c'est-à-dire qu'elles sont invariantes par une transformation de supersymétrie dont les paramètres dépendent de la position dans l'espace.

[ unifiée ]

 

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adaptation

Il y a du hasard dans le nécessaire, de la liberté dans le déterminisme, et de l'imprévisibilité dans le prévisible. Parce que l'Univers a la liberté de choisir parmi un large éventail de possibilités, parce que la contingence est contenue en lui, Dieu n'a nul besoin d'être dans le temps. Sa nature et ses desseins (représentés par des lois d'organisation et de complexité hors du temps) étant immuables et invariants.

Auteur: Trinh Xuan Thuan

Info: Le chaos et l'harmonie, France Loisirs, 1998, p.443

[ survie ]

 

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facettes

Concernant les mathématiques Paul Dirac privilégiait l'approche d'une réalité sous le plus grand nombre d'angles possibles, comme on regarde un objet par en dessus, depuis en dessous, de tous les côtés, etc. C'est pourquoi il préconisait l'emploi de structures mathématiques invariantes. Avait-il pensé à le faire à tous les âges de sa vie ? Tout comme un chef d'oeuvre littéraire doit être lu durant la jeunesse, puis dans la maturité et à nouveau lors du vieil âge, de même qu'un joli bâtiment peut être vu sous la lumière du matin, à midi et aussi par clair de lune.

Auteur: Mg

Info: 6 mars 2017

[ fractales ] [ points de vue ] [ question ] [ perspectivisme ]

 

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homme-animal

C'est peut-être un invariant de la rencontre animale : quand on croise un animal sauvage par hasard dans la forêt, une biche qui lève les yeux vers soi, on a l'impression d'un don, un don très particulier, sans intention de donner, sans possibilité de se l'approprier. C'est ce qu'en phénoménologie on appelle un don pur : personne n'a voulu donner, personne n'a rien perdu en donnant, et le don ne vous appartient pas, il pourra se donner à d'autres. On sent monter dedans une improbable gratitude. Juste l'envie de rendre grâce pour cet imprévu aussi beau qui en cet instantexiste et se donne aux yeux.

Auteur: Morizot Baptiste

Info: Sur la piste animale

[ regard ] [ nature ]

 

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terre

Un système auto poïétique est organisé comme un réseau de processus de production de composants qui (a) régénèrent continuellement par leurs transformations et leurs interactions le réseau qui les a produits, et qui (b) constituent le système en tant qu'unité concrète dans l'espace où il existe, en spécifiant le domaine topologique où il se réalise comme réseau. Il s'ensuit qu'une machine auto poïétique engendre et spécifie continuellement sa propre organisation. Elle accomplit ce processus incessant de remplacement de ses composants, parce qu'elle est continuellement soumise à des perturbations externes, et constamment forcée de compenser ces perturbations. Ainsi, une machine auto poïétique est un système à relations stables dont l'invariant fondamental est sa propre organisation (le réseau de relations qui la définit).

Auteur: Varela Francisco

Info: Autonomie et connaissance

[ vie ] [ organisation ] [ nature ] [ monade ] [ Gaïa ]

 

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néologisme

Il y a un champ de FLP qui a posé problème. Celui de certaines manifestations récurrentes qui nous dépassent (pour l'instant).

Dans le cadre des observations humaines, en général scientifiques, émergent des constats, certaines proportions, ou formes ou nombres... reviennent, souvent à diverses échelles - c'est étonnant. Des phénomènes (des lois ?) qui semblent immuables. Le nombre d'or (1,618) vient à l'esprit ici. Ou le septénaire.

Ou cet exemple concernant les requins, race demeurée stable depuis plus de 100 millions d'années. Il semble établi que les requins ont pu se maintenir grâce à une magnifique adéquation avec le biotope qui serait due principalement à leur furtivité (leur proies se font surprendre). Mais on a aussi pu montrer que ce qui est "resté" le plus longtemps, ce qui semble avoir stabilisé et assuré la pérennité de cette forme "requin" dans son ADN (un ADN sans cesse changeant au cours des âges), est une petite fonction de maintien de l'ordre. Une fonction "flic", demeurée identique sur des dizaines de millions d'années. Maintien de l'ordre à une échelle éonique, ou projection du point de vue humain ?

Donc, pour ce champ que FLP s’essaye à préciser, qui serait celui d'un ordre supérieur que les hommes constatent et décrivent dans certaines manifestations du réel, nous avons choisi le terme/catégorie/tag de "méta-moteur".

Pour mieux caractériser ce concept on utilisera aussi des mots-tags comme : guidage, pilotage, ordre, invariant, lamanage, loi de la nature, archétype... Cependant "Méta-moteur" reste notre préféré...

En décidant ceci on peut presque parler de la création d'un signe (au sens de C.S. Peirce) qui permet d'isoler un concept. Ce qui permettra peut-être de préciser et d'approfondir certaines formes d'organisation que nous pensons percevoir, sans en savoir plus. Elle se se dévoileront éventuellement mieux avec le temps. Tout ceci étant probablement du à notre "jeunesse" intrinsèque et aux niveaux/échelles à partir desquels ces manifestations sont discernables.

Un peu comme si nous vivions dans un film en 3D et qu'il s'agirait de comprendre un peu mieux les mécanismes du projecteur ou, encore plus fou, le (ou les) projectionniste(s), pour reprendre l'idée de Vallée.

Auteur: Mg

Info: 14 sept. 2015

[ organisation ] [ quête ] [ horizon ] [ conservation ] [ mémoire ] [ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ pérennisation ]

 
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proportions

Découverte d'une nouvelle loi de la nature La relation entre abondances de proies et de prédateurs suit une loi universelle à l'échelle planétaire L'écologie considère habituellement que la biomasse de prédateurs d'un écosystème varie proportionnellement à celle de leurs proies. Une étude publiée le 4 septembre dans Science par une équipe franco-canadienne vient pour la première fois contredire cette théorie. En s'appuyant sur une base de données de plus de 2000 communautés d'espèces, les scientifiques ont en effet constaté que la biomasse totale des proies augmentait bien plus vite que celle des prédateurs et selon des proportions similaires pour la totalité des écosystèmes analysés. De tels résultats suggèrent que les écosystèmes possèdent un degré d'organisation bien plus grand que celui qu'on leur prêtait jusqu'alors. Dans les années 1930, les scientifiques Julian Huxley et Georges Teissier sont les premiers à mettre en évidence les phénomènes de croissance différentielle d'organes chez les êtres vivants. Ces relations dites allométriques, semblaient en revanche ne pas avoir court à l'échelon supérieur de l'écosystème. "La théorie la plus communément admise jusqu'ici considérait que la biomasse de prédateurs d'un système biologique donné augmentait proportionnellement à celle de la biomasse de proies disponibles", souligne Michel Loreau, directeur du Centre de Théorie et Modélisation de la Biodiversité de la Station d'Ecologie Expérimentale du CNRS à Moulis et co-signataire de l'article. En s'appuyant sur les données de la littérature scientifique portant sur les relations proies/prédateurs, le chercheur et son équipe ont voulu déterminer quelles lois mathématiques reliaient leurs abondances respectives. Au total, 2260 communautés de grands mammifères, d'invertébrés, de plantes et d'organismes planctoniques ont ainsi été analysées. Les écologues ont alors découvert avec surprise qu'une même loi de puissance d'exposant proche de ¾ régissait la relation entre la biomasse totale des prédateurs d'un écosystème et celle de leurs proies. Cette règle, qui s'applique à toutes les communautés d'espèces prises en compte dans l'étude, prouve que l'abondance des prédateurs n'augmente pas proportionnellement à celles des proies mais de façon bien moins rapide. L'équipe a en outre constaté que la relation entre production et biomasse d'un même niveau trophique (1) était soumise à une loi identique. "Nos résultats tendent à démontrer que l'organisation des écosystèmes est régie par des relations allométriques semblables à celles qui lient par exemple métabolisme et taille corporelle d'un organisme unique ", constate Michel Loreau. Des facteurs fondamentaux, que les scientifiques doivent maintenant déterminer, gouverneraient ainsi la structure et le fonctionnement de l'ensemble des systèmes biologiques, de l'organisme jusqu'à l'écosystème.

Auteur: Internet

Info: Laporte Amaury 9 sept 2015, 1 En écologie, le niveau trophique caractérise la position d'un organisme vivant le long de la chaîne alimentaire

[ ordre ] [ biotope ] [ méta-moteur ] [ invariant ] [ pilotage ] [ syntropie ]

 

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