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homme-animal

Si nous ne savons pas être cordiaux avec la peau de ces créatures, je pense que nous méritons de geler.

Auteur: Moore Marianne

Info: Complete Poems

[ maltraitance ]

 

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fille-père

Mon père, secrètement, devait étouffer dans sa vie mais il manquait du courage d’une vraie révolte. La petite fille que j’étais sera la seule victime de sa lamentable rébellion.

Auteur: Saint Phalle Niki de

Info: Mon secret

[ maltraitance ] [ inceste ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

égoïste

Nombre de pervers ont subi des actes de maltraitance évidents, mais nombre d'entre eux aussi, sont des enfants gâtés qui n'ont pas rencontré de limites ni de frustrations, ce qui ne leur a pas permis de se structurer.

Auteur: Bouchoux Jean-Charles

Info: Les pervers narcissiques : Qui sont-ils, comment fonctionnent-ils, comment leur échapper ?

[ vicieux ] [ éducation ]

 

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maltraitance

Des enfants qui ont subi des sévices et qui souffrent n'utilisent parfois que des couleurs foncées. Leurs sens se sont fermés, en quelque sorte, et ils ne perçoivent rien du monde autour d'eux ; par conséquent, ils ne voient pas les formes et les couleurs comme les enfants normaux.

Auteur: Glass Cathy

Info: Violentée

[ dessin ] [ révélateur ]

 

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maltraitance

Une lectrice m'a écrit : "si Hitler avait eu cinq fils sur lesquels se venger des tortures qui lui ont été infligées dans son enfance, le peuple juif n'aurait sans doute pas été massacré. On peut se défouler sur son propre enfant de tout ce qu'on a subi autrefois, et cela en toute impunité, parce que le meurtre de l'âme de son propre enfant peut toujours se camoufler sous des mots comme éducation et apprentissage de la discipline.

Auteur: Miller Alice

Info: Libres de savoir : Ouvrir les yeux sur notre propre histoire, p. 67-68

[ justification ]

 

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homme-animal

Partout les sondages montrent qu'une majorité d'occidentaux s'oppose à la maltraitance animale. Mais n'oublions pas que cette passion nouvelle ne change pas grand-chose sur le terrain de l'exploitation animale. Sur le seul territoire américain on évalue annuellement à 8 milliards le nombre de bêtes abattues pour satisfaire les besoins alimentaires humains, soit près d'un million par heure, sans parler des 200 millions qui tombent sous les balles des chasseurs et des 8 à 10 millions qui sont sacrifiées pour leur fourrure.

Auteur: Christen Yves

Info: L'animal est-il une personne ?

[ oppression ] [ végétarien ]

 

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éducation

Au cours de l'interview, j'avais appris que près de soixante-dix pour cent des mères téléphonant pour un conseil se disaient maltraitantes. Selon la conseillère, prétendre que si l'on était capable de demander conseil on pouvait aussi s'arrêter, c'était ne rien comprendre à la maltraitance. Les mères appelaient justement parce qu'elles souffraient de ne pouvoir s'arrêter. Par exemple, elles frappaient leur enfant à la tête et, quand celui-ci perdait connaissance, elles se précipitaient pour l'emmener à l'hôpital où, pendant qu'il était soigné, elles pleuraient dans le couloir. Elles téléphonaient pour dire qu'elles avaient peur, si cela continuait ainsi, de tuer leur enfant.

Auteur: Higashino Keigo

Info: La maison où je suis mort autrefois

[ brutalité ] [ famille ] [ violence ] [ dressage ]

 

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homme-animal

L’ "inutilité" des animaux familiers et le chômage doré qui va de pair avec leur statut entraînent un double corollaire dans la société française contemporaine.

Premier corollaire : les animaux de ferme, animaux "utilitaires" ou "de rente", c’est-à-dire dont l’élevage a pour but les services, les produits ou les revenus que l’on en tire, ont été exclus de la fonction d’animal de compagnie. De fait, les appartements parisiens et les pavillons de banlieue abritent plus de rongeurs, de reptiles et d’arthropodes que de poules ou de canards - bref, de tout plutôt que ces vulgaires et ancillaires créatures de basse-cour !

Second corollaire de l’ "inutilité" des animaux de compagnie : la marginalisation, la péjoration, voire la maltraitance, dans une indifférence quasi générale, des animaux "utilitaires".

Auteur: Digard Jean-pierre

Info: Les Français et leurs animaux : Ethnologie d'un phénomène de société

[ matérialisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mimétisme

- Comment définissez-vous la notion de "maltraitance des enfants" ?
- Pour moi il s'agit de maltraitance quand un enfant n'est pas respecté, est humilié, trompé ou abusé sexuellement. D'ailleurs, dans tous ces cas on ne me contredit que rarement. Par contre, je n'arrive pas à informer les parents sur le fait que frapper un enfant constitue un cas de maltraitance qui n'est pas dénué de conséquences. Partout on appelle cette pratique éducation. On pratique les châtiments corporels depuis des millénaires et on les considère comme une manière d'éduquer au mieux les enfants. Presque tous les parents d'aujourd'hui ont été battus quand ils étaient enfants et malheureusement ils étaient obligés d'apprendre très tôt de leurs parents que cette pratique était inoffensive et juste. Alors, cette "connaissance" erronée est enregistrée par le cerveau et la plupart des gens ont de la peine à l'effacer. Comprendre le contraire, cela signifierait de remettre en question leurs propres parents et cela effraierait la plupart des gens. Ils s'attendent à être punis justement parce que la vérité était interdite à l'enfant.

Auteur: Miller Alice

Info:

 

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maltraitance

L'appartement de Brétigny était beaucoup plus grand. On entrait directement dans un couloir assez large. La cuisine, en face de la porte, était grande et claire. En continuant le couloir, le salon était à droite, avec une double fenêtre. Puis la salle de bain, sur la gauche, et tout de suite après, la chambre des parents. En face, la chambre de mon frère ; et, coincé entre les deux chambres, au bout de l'appartement et du couloir, mon placard.
Elle m'a fait y entrer, immédiatement, en arrivant. Sans un mot. Sans un moment de répit pour souffler.
Le placard mesurait deux mètres sur un mètre soixante-dix. Je l'ai lu dans le dossier, plus tard. Avec des étagères sur un côté.
Ils ont rangé leurs affaires. Ils se sont installés.
Elle m'a amené un seau - il n'était pas question pour moi d'aller dans les WC qui étaient attenants à la salle de bain, dans le couloir ; c'était trop loin - et un matelas en mousse, qu'elle a posé sur les étagères. Puis elle a fermé la porte du placard à double tour. J'étais à nouveau enfermé.
Et là a commencé une autre catégorie de souffrances. Ce n'était plus les coups, mais l'oubli, l'abandon total. Quand j'y repense maintenant, il vaut peut-être mieux prendre des coups que de rester seul, en silence, dans le noir. Je n'avais plus aucune vue sur rien. Pas une lueur ne parvenait à travers la porte. Le noir complet.
Au début, elle m'amenait une gamelle, assez régulièrement. Je veux dire le soir et le matin. Puis, petit à petit, ce fut n'importe quand, et en sautant des jours.
Elle m'oubliait au fond de mon cachot. Je n'existais plus. J'étais rayé. Fini.

Auteur: Bisson David

Info: L'enfant derrière la porte

 

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