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cancres

Les chinois à l'ouest c'est des mongols.

Auteur: Internet

Info: Perles d'élèves

[ géographie ]

 

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femmes-hommes

Le coeur d'un père s'agrandit avec chaque enfant.

Auteur: Bezroudnoff Jean Basile

Info: La Jument des Mongols

[ pensée-d'homme ]

 

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religion

Plus à l’ouest, les Mongols sont naïfs et se laissent facilement gruger, par exemple par les lamas, qui ne récitent jamais de prières gratis.

Auteur: Huc Évariste Régis

Info: Souvenirs d'un voyage dans la Tartarie et le Thibet, p. 93

[ vénalité ]

 

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coeur de la nuit

- Deux heures du matin, c’est l’Heure du Taureau, remarqua Ghen Atal. C’est ainsi qu’on appelait, autrefois, le moment extrêmement pénible pour l’homme qui précède l’aurore, lorsque triomphent les dernières forces du mal et de la mort. Les mongols de l’Asie mineure l’ont ainsi définie : "L’Heure du Taureau s’achève, lorsque, avant le matin, les chevaux se couchent par terre."

Auteur: Efremov Ivan

Info: L'Heure du taureau, p 173

[ madrugada ]

 

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argent

L'usage de la monnaie de papier fut adopté par les mongols établis en Chine ; elle a été connue des persans sous le nom même que les chinois lui donnent ; et Josaphat Barbaro apprit en 1450 d'un tartare intelligent qu'il rencontra à Azof, et qui avait été en ambassade en Chine, que cette sorte de monnaie y était imprimée chaque année.

Auteur: Sacy Antoine-Isaac baron Silvestre de

Info: Instit. Mém. inscr. et belles-lett. t. VII, p. 417

[ historique ]

 

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fiction

Le conte appartient à ce genre : fabuleux, inhabituel, surprenant. Parce qu'il est étranger à la vie normale, il est souvent transféré dans des pays étrangers ou dans des époques lointaines, écoulées depuis longtemps. Chaque pays, chaque peuple possède de tels contes, les Turcs aussi bien que les Perses, les Chinois comme les Mongols. Même au Frangistan, on dit qu'il y en a beaucoup, du moins un savant giaour m'en a parlé.

Auteur: Hauff Wilhelm

Info: Contes : Version intégrale

[ imagination ] [ récit ] [ mythologie ]

 

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langage

Une amie chinoise mandchoue, longuement éduquée en Russie et vivant en Suisse française depuis une vingtaine d'année, m'a parlé de la complexité du français, par rapport au pragmatisme de la langue chinoise... soulignant au passage que l'idiome russe transporte avec lui une tristesse, inhérente selon elle, à l'environnement naturel, comme un miroir des immenses forêts, de la taïga inhospitalière et des interminables et verdoyantes plaines des éleveurs de chevaux mongols... Une langue qui selon elle voit le monde de façon beaucoup plus romantique que le mandarin de ses origines.

Auteur: Mg

Info: 6 mai 2016

[ spécificités ]

 

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mobilité

[...] nous allons vers un devenir nomade. On reconnaît le pas de Gilles Deleuze qui a consacré un certain nombre de cours aux nomades arabes, turcs et mongols en particulier et au nomadisme en général. Que voulait-il ? Certainement pas que nous partions chez les derniers nomades comme nombre de routards des années 1960 le faisaient. Mais que nous échappions aux formations étatiques et aux formes de pouvoir sédentaires. Que nous oubliions le pouvoir et que nous redécouvrions la puissance. Deleuze ne savait pas qu’il était en train de fournir un nouvel imaginaire au capitalisme libidinal qui avait si bien fonctionné depuis la guerre, mais qui devait impérieusement se renouveler à la fin de ces années-là pour cause d’usure. Ce nouveau marketing est contemporain de la nouvelle organisation du travail passant du taylorismo-fordisme à la théorie du capital humain. C’est ainsi que le deleuzianisme, en prise sur son époque, celle de 1968, fut utilisé par le marketing pour dessiner la figure du héros à venir : un individu en déplacement permanent, fluide, capable d’investissements multiples, schizophrène, insaisissable ; un individu qui, à force de se soumettre aux machines depuis des générations, était devenu lui-même une machine.

Auteur: Dufour Dany-Robert

Info: "Le délire occidental", éditions Les liens qui libèrent, 2014, pages 202-203

[ psychogène ] [ déracinement ] [ philosophie moderne ] [ symptomatique ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

chute

Dans la perspective cyclologique et involutive générale de l’Humanité, la conquête successive du feu, de la roue, de la poulie, de la brouette, des métaux, de l’écriture, du collier de trait, de la vapeur, puis de l’électricité, ne représente pas strictement parlant un progrès, mais un effet progressif de compensation, eu égard à la perte progressive de ses prérogatives spirituelles et des pouvoirs que celles-ci conféraient sur la matière, sans la nécessité des outils. Au fur et à mesure qu’elle s’éloigne de sa source spirituelle, l’Humanité se "solidifie", se "matérialise", et cherche dans la conquête des pouvoirs techniques le souvenir des pouvoirs naturels perdus. La soif de conquête et de domination est un aspect de cette nostalgie et de cette angoisse. Moins on conjugue le verbe être, plus on conjugue le verbe avoir. Tous ces hommes qui déferlent depuis le déluge de Noé, ces envahisseurs successifs, Scythes, Aryens, Akkadiens, Hyksos, Celtes, Perses, Germains, Mongols, Arabes, Européens, etc., ne sont pas seulement animés d’une soif de conquête et de pillage. Mus par des impératifs physiques (changements climatiques, famines, séismes, etc.) ils le sont aussi par une inconsciente et permanente nostalgie : celle de la Parole perdue et de l’Unité perdue de l’Humanité que, même dans le sang, maladroitement, ils recherchent.

Auteur: Phaure Jean

Info: Dans "Cycle de l'humanité adamique", page 323

[ interprétation historique ] [ décadence ] [ évolution inverse ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

histoire

Le XIXe siècle de l’ère chrétienne avait été celui de l’individualisme, du nationalisme, de la libération des énergies. Malgré beaucoup de contradictions, de misères et d’horreurs, il avait préparé, et même partiellement accompli, une véritable émancipation des individus et des peuples. C’était aussi le siècle des génies, des géants de l’Art et de la Pensée, dans l’œuvre desquels tout un monde pouvait se reconnaître : Victor Hugo, Richard Wagner, Léon Tolstoï, Charles Dickens... L’homo sapiens était alors presque arrivé à maîtriser la barbarie de sa nature. Les régimes d’arbitraire étaient en recul ; la torture était, sinon tout à fait supprimée, tout au moins reconnue illégale ; les guerres elles-mêmes étaient réglementées : les non-belligérants, les blessés, les enfants, bénéficiaient d’un semblant de protection. Dans le domaine social, l’exploitation de l’homme par l’homme prenait, grâce au capitalisme, un visage un peu moins inhumain. Même le colonialisme européen est un progrès considérable si on le compare à l’oppression purement parasitaire pratiquée autrefois par les Athéniens, les Arabes, les Turcs ou les Mongols. Certes, les colons exploitaient, eux aussi, le travail de l’indigène. Mais en même temps, ils élevaient le niveau de ce travail, apportant des techniques nouvelles, combattant les fléaux, introduisant d’autres manières d’agir et de penser. Enfin, vers 1900, il était reconnu que tout individu était, du moins en droit, libre de dire et de penser ce qu’il voulait, dans la mesure où cela ne menaçait pas directement l’ordre établi.

Au XXe siècle, tout change. La guerre des groupes capitalistes juif et chrétien ensanglante l’Europe, l’empêche de s’unir. En même temps, le crédit de l’homme blanc s’affaiblit rapidement dans le monde. Lénine, le premier, rebâtit la Bastille, rétablit l’arbitraire, la torture, la peine de mort pour délit d’opinion. Son exemple sera suivi dans l’Italie fasciste, dans l’Espagne chrétienne, dans l’Allemagne néo-païenne, puis dans la Chine sado-maoïste. Après la Deuxième Guerre mondiale, l’Europe sera définitivement vaincue ; les peuples coloniaux s’émanciperont, c’est-à-dire tomberont d’un régime de tutelle plus ou moins paternaliste à la dictature policière pure et simple.

Voilà, Grand Papaou, ce qu’il importe de savoir avant d’aborder ce livre. C’est au milieu de cette agonie d’une civilisation que va grandir le premier Homme heureux.

Auteur: Gripari Pierre

Info: Dans "La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie-Gripotard", éditions de la Table Ronde, 1968, pages 19-20

[ chronologie ] [ politique ] [ dégénérescence ]

 

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