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dernières paroles

L'heure est venue de guérir toutes mes plaies par une seule.

Auteur: Montmorency Henri de

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[ exécution ]

 

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dernières paroles

- Imbécile, crois-tu que c'est la seconde fois que ça m'arrive à moi ?

Auteur: Montmorency-Bouteville François comte de

Info:

[ exécution ]

 

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dernières paroles

Tu crois qu'un homme qui a su vivre pendant presque quatre-vingts ans avec honneur ne sait pas mourir en un quart d'heure?

Auteur: Laval Anne-Adrien-Pierre de Montmorency-Laval duc de

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[ . ]

 

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répartie

Au duc de Montmorency qui lui disait: "Vous êtes duc, mais vous n'avez pas d'ancêtres". Soult répondit: "C'est vrai; c'est nous qui sommes des ancêtres..."

Auteur: Soult Nicolas Jean de Dieu

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[ mondanité ]

 

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anecdote

Le connétable de Montmorency voulut mourir en habit de capucin. Un gentilhomme, nommé Montdragon, lui dit: "Ma foi ! vous faites finement; car, si vous ne vous déguisez bien, vous n'entrerez jamais en paradis."

Auteur: Tallemant des Réaux Gédéon

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[ religion ] [ répartie ]

 

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subjonctif

Mme de Sablé devint fort jalouse de M. de Montmorency, et elle lui reprocha fort d'avoir dansé à un bal, au Louvre, plusieurs fois avec les plus belles de la cour. "Hé ! que vouliez-vous que je fisse ?
- Que vous ne dansassiez qu'avec les laides, monsieur!" lui dit-elle aveuglée de sa colère.

Auteur: Sablé Marquise de

Info: in le Dictionnaire encyclopédique d'anecdotes modernes, anciennes, françaises et étrangères d'Edmond Guerard

[ femmes-hommes ] [ réparties ]

 

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anecdote

En 1536 tandis que l'armée de François Ier ravageait le midi de la France pour couper les vivres à Charles-Quint, la famine et l'épidémie désolaient les soldats.
Un jeune empirique provençal arriva au camp, se prétendant possesseur d'un merveilleux secret pour guérir toutes les maladies. On le crut, il empocha joyeusement force pistoles, et fit avec ses onguents un effroyable massacre de tous les malheureux qui se confièrent à lui, si bien que, averti par la clameur universelle, le connétable de Montmorency ordonna de le pendre, sans autre forme de procès. Comme on le menait à la potence, il fut rencontré par le dauphin Henri, à qui il demanda merci, avec accompagnement de grimaces et de lazzi qui disposèrent favorablement le prince. Celui-ci lui accorda sa grâce, et le charlatan, troquant sa robe de docteur contre celle de fou de cour, qui lui allait beaucoup mieux, devint le célèbre Brusquet.

Auteur: Fournel François-Victor

Info:

[ fou du roi ]

 

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Gaule

Il est pourtant une date que je ne laisse pas passer sans émotion, c'est la nuit du 4 août 1789, la nuit de l'Abolition des privilèges.
Événement capital de la Révolution française, on l'a dit et redit et non sans souligner que l'initiative en revient à quelques jeunes nobles. Pourtant, je ne sais si a été mesuré l'impact de cette abolition des privilèges par qui en jouissait. Je ne sais si a été mesurée la force déflagratoire de cette entrée en scène de ceux qui ont tout à perdre aux côtés de ceux qui n'ont rien à perdre. Chateaubriand le sent et le dit, en quelques lignes dans Les Mémoires d'outre-tombe : "La monarchie fut démolie à l'instar de la Bastille, dans la séance du soir de l'Assemblée nationale du 4 août. Ceux qui, par haine du passé, crient aujourd'hui contre la noblesse, oublient que ce fut un membre de cette noblesse, le vicomte de Noailles soutenu par le duc d'Aiguillon et par Mathieu de Montmorency, qui renversa l'édifice, objet des préventions révolutionnaires... Les plus grands coups portés à l'antique constitution de l'État le furent par des gentilshommes".
Mais il faut attendre quelques décennies plus tard pour qu'à l'autre bout du spectre politique, Michelet fasse passer l'intensité et l'ampleur de ce qui s'est joué là, tout particulièrement quand il évoque comment le jeune duc d'Aiguillon, le plus riche seigneur en propriétés féodales après le roi, "dit qu'en votant la veille des mesures de rigueur contre ceux qui attaquaient les châteaux, un scrupule lui est venu, qu'il s'était demandé à lui-même si ces hommes étaient bien coupables... Et il continua avec chaleur, avec violence, contre la tyrannie féodale, c'est-à-dire contre lui-même" (Scènes de la révolution française). En fait, c'est à l'incroyable moment où la liberté s'invente d'elle-même que Michelet nous fait assister, à cet instant stupéfiant où la liberté embrase celui à travers lequel elle se formule pour embraser de proche en proche tout ce qui l'entoure.

Auteur: Le Brun Annie

Info:

[ historique ] [ déclic ]

 

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