Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 17
Temps de recherche: 0.0449s

rapports humains

(...) Montalbano contourna le bureau, l'adjudant avança de quatre pas, les deux mains enfin se serrèrent. Chacun des deux exhiba un sourire authentique comme une Rollex fabriquée à Naples.

Auteur: Camilleri Andrea

Info: La Peur de Montalbano

[ masques ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

sincèrité

Il y a peut-être plus d'amour pour la musique dans vingt de ces gueux insouciants de Naples, appelés lazzaroni, qui chantent le soir le long la rive de Chiaja, que dans tout le public élégant qui se réunit le dimanche au Conservatoire de la rue Bergère.

Auteur: Stendhal

Info:

[ populaire ] [ décoincée ]

 

Commentaires: 0

fugace idée

Je vais de l'avant, vite Des pelles volent puis des cris je me dégage l'instant d'après, Naples. Cette pensée merveilleuse mais quelle est donc cette pensée? Soudain, précipice. En bouillonnant une eau torrentielle cascade dans le fond d'un cañon vive, vive, vivacissime. Tenant fortement un grand anneau métallique je serre, je serre Je... pensée, voyons, c'était avant mais quelle était donc cette pensée ?

Auteur: Michaux Henri

Info: TAPIS ROULANT EN MARCHE... A p.93

[ poème ]

 

Commentaires: 0

mercantis

Naples me parut une ville vociférante, pauvre, riche, dépravée, humaine et insistante. Sur les marchés, on voulait nous vendre, nous imposer la marchandise ou les santons de la crèche : on nous mettait sous le nez les bergers, l’Enfant Jésus, la Vierge, les anges, Totò, le trio De Filippo, et les cornes porte-bonheurs. Se libérer du marchand n’était pas chose facile. Dans cette ville aristocratique et bruyante, le baise-main n’était pas rare et l’imagination, tout comme la chanson, faisait partie du décor.

Auteur: Bruck Edith

Info: Le Pain perdu, pp 140-141

[ casse-pieds ] [ italie du sud ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

grèce antique

C'est précisément dans une tombe d'Ischia, une île de la baie de Naples, que fut trouvée en 1955 une coupe datable des environs de 720 avant J.-C. et qui contient la première mention écrite faisant allusion aux poèmes homériques. C'est ce qu'on appelle un "objet parlant" - la coupe elle-même est censée s'adresser au buveur:

"Je suis la coupe, bonne à boire, de Nestor. Celui qui y boira sera pris aussitôt du désir d'Aphrodite à la belle couronne".

Auteur: Vidal-Naquet Pierre

Info: Le monde d'Homère

[ poterie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

anecdote

Outre l'épilepsie adolescente et les phobies du type que Suétone nous décrit et qui déclenchaient des stimuli situationnels particuliers, Caligula faisait preuve, dans sa vie matérielle quotidienne, d'une vanité qui confinait à la mégalomanie, au sens pathologique du terme, une sorte de folie des grandeurs démesurée qui se manifeste de façon éclatante dans ses entreprises de bâtisseur, comme celle d'un gigantesque pont de bateaux qu'il fit jeter en l'an 39 sur la baie de Naples entre les villes actuelles de Pouzzolles et de Baïes, distantes de 26 stades (environ 4,6 km).

Auteur: Caratini Roger

Info: Caligula : Le mal-aimé

[ pouvoir ] [ empereur ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par miguel

métropoles

Une ville, c'est aussi ses bruits, ses odeurs et ses couleurs: Jérusalem a la couleur du désert et elle sent les épices. Amos Oz le sait bien. Le son de New-York, c'est la sirène d'une ambulance, d'une voiture de pompiers, d'une voiture de police. John Dos Passos en a souffert, Paul Auster en souffre; Le quartier espagnol de Naples sent le café fumant. Roberto Saviano l'a savouré.

Ma Havane résonne de musique et de bruits de vieilles voitures, elle sent le gaz et la mer, et sa couleur est le bleu.

Auteur: Padura Léonardo

Info: L'eau de toutes parts

[ comparées ] [ sonores ] [ teintes ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

dernières paroles

Cher Carrelli, j'ai pris une décision qui est devenue inévitable. Il n'y a aucun égoïsme en elle, mais je sais que ma disparition soudaine causera des ennuis à vous et aux étudiants. Pour cela aussi, je vous demande pardon, mais spécialement pour trahir la confiance, l'amitié sincère et la sympathie que vous m'avez données au cours des derniers mois. Je vous demande de me rappeler à tous ceux que j'ai appris à connaître et à apprécier dans votre Institut, surtout Sciuti: je vais garder un souvenir affectueux de tous au moins jusqu'à 23 heures ce soir, peut-être plus tard aussi.

Auteur: Majorana Ettore

Info: Le jour de sa disparition, Majorana envoya la note suivante à Antonio Carrelli, Directeur de l'Institut de Physique de Naples. En 1938

[ mystère ]

 

Commentaires: 0

Grèce antique

L'essentiel se joue dans le monde de la littérature, de la spéculation et de la philosophie. A la suite de la condamnation de Socrate, Platon (424-348 av.J.-C.) voyage en Italie du Sud (390 av. J.-C.), d'où il rapporte plusieurs manuscrits, avant de rentrer à Athènes et d'y fonder son école, l'Académie.
L'Académie, qui figure sur une célèbre mosaïque de Pompéi (aujourd'hui au Musée de Naples), possédait une bibliothèque. Comme son maître Socrate, Platon privilégie pourtant toujours l'oralité du discours : outre l'avantage qu'a la parole d'exercer la mémoire, la dialectique constitue la technique de discussion privilégiée qui permettra de résoudre les contradictions et d'approcher la vérité.

Auteur: Barbier Frédéric

Info: Histoire des bibliothèques: D'Alexandrie aux bibliothèques virtuelles

[ école ]

 

Commentaires: 0

abdication

J'ai renoncé tous mes charmes
Et n'ai donc plus d'autres armes
Que ma pauvre humanité.
Vais-je ici rester confiné
Par vous, pourrai-je partir
Pour Naples ? Veuillez souffrir,
Mon duché m'étant restitué,
Le traître étant pardonné,
Que je quitte ce banc de sable
Et que vos mains secourables
Désenchevêtrent mes liens.
Faites à mes voiles le bien
De votre souffle, sinon
Mon projet ne fut rien de bon
Qui ne voulait que vous plaire.
Et il faut que je désespère,
N'ayant plus ni magie ni art
Si me manque aussi le rempart
De la prière qui prime
Sur la justice et rédime
Par le pardon toute offense.
Vous voulez, vous, cette indulgence
Pour vos propres fautes ? Soit !
Mais d'abord délivrez-moi.

Auteur: Shakespeare William

Info: In "La tempête", éd. Folio-Théâtre, p. 352 - trad. Yves Bonnefoy

[ dénouement ] [ adresse au public ] [ supplique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Benslama