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sens-de-la-vie

Chère Madame R. Il est impossible de répondre à vos questions car vous voulez savoir comment on "doit" vivre. On vit comme on "peut" vivre. Il n’existe pas pour l’individu de voie unique et définie qui lui serait prescrite ou qui lui conviendrait. Si c’est cela que vous voulez, alors vous n’avez rien de mieux à faire que d’entrer dans l’Église catholique où l’on vous dira tout ce que vous devez faire. De plus, cette voie s’accorde avec le schéma de la voie moyenne de l’humanité en général. Mais si vous voulez suivre la voie individuelle, alors c’est la voie que vous vous tracerez vous-même, qui n’est prescrite nulle part, que l’on ne connait pas d’avance et qui se fait simplement d’elle-même, au fur et à mesure qu’on met un pied devant l’autre. Faire toujours la première chose qui se présente à vous, c’est la façon la plus sûre et la plus certaine de suivre les lignes prescrites par votre inconscient. Rien ne sert naturellement de cogiter sur ce qu’on devrait faire. On se rend bien compte ensuite qu’on ne peut pas le savoir, et on fait sans bruit les choses les plus proches et les plus nécessaires. Tant que l’on pense qu’on ne sait pas encore ce que c’est, c’est qu’on a encore trop d’argent, ce qui permet de se livrer à des cogitations inutiles. Mais quand on fait avec conviction les choses les plus proches et les plus nécessaires, on agit toujours sagement par rapport à la destinée. Meilleures salutations et meilleurs vœux, Votre toujours dévoué, C.G. Jung

Auteur: Jung Carl Gustav

Info: Correspondance

[ individuation ] [ autonomie ] [ intuition ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

mythologie

Pour trancher la tête de Méduse sans s'exposer à devenir pierre, Persée prend appui sur ce qu'il y a de plus léger, les nuages et le vent ; et son regard se pose sur ce qu'une vision indirecte est seule en mesure de lui révéler, c'est-à-dire sur une image capturée dans un miroir. En ce mythe, je aussitôt tenté de voir une allégorie du rapport entre le poète et le monde, une leçon de méthode pour qui se mêle d'écrire. (...) Entre Persée et la Gorgone, le rapport est complexe : il ne prend pas fin avec la décapitation du monstre. Du sang de Méduse naît un cheval ailé, Pégase ; la pesanteur de la pierre peut se renverser en son contraire ; d'un coup de sabot, Pégase fait jaillir sur le mont Hélicon la fontaine où se désaltèrent les Muses. (...) Un romancier peut difficilement représenter son idée de la légèreté, en l'illustrant d'exemples de la vie contemporaine, sans la poser en insaisissable objet d'une quête interminable. (...) Chaque fois que le règne de l'humain me paraît condamné à la pesanteur, je me dis qu'à l'instar de Persée je devrais m'envoler dans un autre espace. Il ne s'agit nullement de fuite dans le rêve ou l'irrationnel. Je veux dire qu'il me faut changer d'approche, qu'il me faut considérer le monde avec une autre optique, une autre logique, d'autres moyens de connaissance et de contrôle. Les images de légèreté que je cherche ne doivent pas, au contact de la réalité présente et future, se laisser dissoudre comme des rêves...

Auteur: Calvino Italo

Info: Leçons Américaines, "Légèreté"

[ inspiration ] [ écriture ] [ focales différentes ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

mal du pays

Que faisait-il ici, chez des étrangers ? S’il avait été chez lui, dans son havre de pêche, il aurait pu aller en hiver aux Lofoten et prendre des merlans en été. Il aurait pu faire beaucoup, beaucoup de choses et vivre content. Alors il aurait épousé la petite Ragna et pris la ferme de ses parents ; il y aurait élevé son bétail, cultivé ses champs. Oui, il n’aurait pas eu besoin de rôder un soir d’hiver, comme aujourd’hui, en gémissant de chagrin et d’amour !
Il se sentait abandonné, il avait la nostalgie, il voulait retourner chez lui. Son village était pauvre, mais clair et riant en été : hanté par les nymphes et les génies des eaux ; fertile en légendes l’hiver. Il n’y avait pas un endroit pareil. Et ceci seulement : Ragna avait une si jolie bouche quand elle riait, étant petite et tout le temps qu’elle avait grandi ! Tous les enfants avaient un si joli sourire au village ! Et, s’il voulait penser à quelque chose de plus imposant encore, nulle part dans le monde entier, on ne contemplait d’aussi belles montagnes. Dès le mois de mars, on voyait arriver les étourneaux et, bientôt après, les oies sauvages. O Merveille des vols en soc de charrue et des voix d’oiseaux sous le ciel, devant quoi son père et sa mère lui avaient appris à se découvrir et à se taire ! Oui, il voulait retourner chez lui ! Il voulait faire voile vers le Nord, avec le cotre de Knoff, et retourner des Lofoten chez lui !

Auteur: Hamsun Knut

Info: Dans "Vagabonds", édition Pochothèque, trad. J. Petithuguenin, page 982-983

[ souvenirs ] [ idéalisation ] [ vie rêvée ] [ regrets ] [ Heimweh ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

armes nucléaires

L’uranium appauvri (UA) est doublement toxique. Chimiquement, il provoque un empoisonnement comme les autres métaux lourds (plomb, arsenic, etc.). Mais il est surtout fortement radiotoxique. C’est un déchet radioactif issu de l’enrichissement de l’uranium destiné aux réacteurs civils et militaires. 0.2% d’U235 et 99.75% d’U238 dont la demi-vie (dite "période") est de 4.5 milliards d’années (l’âge de la Terre !). Si on l’appelle "appauvri" parce que son activité est de 40%, cela ne signifie nullement qu’il est moins dangereux […]. En outre, l’UA utilisé dans l’armement est mélangé à de l’uranium issu des usines de retraitement, qui contient des produits de fission hautement radioactifs, comme l’uranium 236 (U236), le plutonium (PU238 et 239), le technétium 99 ou le ruthénium 106 qui potentialisent sa nocivité. Ainsi, au lieu de diminuer, son activité s’accroît au fil du temps, en raison de la formation rapide de sous-produits à vie beaucoup plus courte lors de sa désintégration : si, quand il est pur, il n’émet que des rayons alpha (très irradiants mais peu pénétrants), ses deux descendants, le thorium (Th234) et le protactinium (Pa234) émettent des rayons bêta et gamma (très pénétrants). Lors de l’impact sur la cible, l’UA s’enflamme au contact de l’oxygène, provoquant une chaleur extrême (entre 3000 et 6000 degrés), qui vaporise dans l’atmosphère des particules d’oxyde d’uranium de taille nanométrique […] qui échappent à toute barrière et à tout masque à gaz. […] Propagés par les vents et la pluie sur des centaines de kilomètres, ces aérosols contaminent les sols, les nappes phréatiques, la végétation, les animaux et toute la chaîne alimentaire.

Auteur: Pénochet Joëlle

Info: "A Fallujah, en Irak, l’uranium appauvri et le phosphore blanc continuent de tuer les enfants", Alterinfo, 9 septembre 2009

[ pollution ] [ malformations congénitales ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

déception

Car les expériences de la vie sont incommunicables, et c'est ce qui cause toute la solitude, toute la tristesse humaine.

Sans cesse des étrangers entrent, des gens que nous ne reverrons jamais plus, et dont la familiarité, l'indifférence nous bousculent au passage, nous donnent le sentiment désagréable d'un monde qui se passe de nous. Nous ne pouvons que sombrer, nous ne pouvons pas oublier nos propres visages. Même moi, qui suis sans visage, moi qui ne transforme pas les gens quand j'entre dans une chambre...

Même moi, je crois flotter sans attaches, incapable de m'ancrer en un lieu ou de prendre appui nulle part, incapable de fournir à ces gens un mur blanc et lisse contre lequel ils puissent projeter leurs ombres.

Je suis pourtant obligée de regarder mes voisins, pour tâcher de faire comme ces gens-là...

Tous les excès sont vains : j'ai en face de moi la moyenne, la médiocrité...

Si c'est cela la vie, elle ne vaut pas la peine d'être vécue. Et cependant, même le petit restaurant a son rythme.

Où est la solution dans cette continuité ?... Où est la fente, par où l'on peut apercevoir l'universel désastre ?

Nous ne sommes pas simples, comme nos amis le souhaitent pour que nous répondions au besoin qu'ils ont de nous. Et cependant, l'amour est simple.

Tout change. Tout passe, et la jeunesse, et l'amour.

Je n'ai pas le pouvoir de me concilier la bienveillance des gens.

J'aime mieux dénoncer une fois pour toutes ce monde de gens obtus, occupés de rien, lourdement satisfaits d'eux-mêmes...

J'ai en moi une force qui les consumera tous, tant qu'ils sont.

Auteur: Woolf Virginia

Info: Les Vagues, 1931

[ rapprochement impossible ] [ rapports humains ]

 
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nord-sud

Le monde exploité est en passe de prendre sa revanche sur ses seigneurs. Les multitudes innombrables de mains des races de couleur – au moins aussi capables, mais beaucoup moins exigeantes – anéantiront l’organisation économique des Blancs jusque dans ses fondements vitaux. Le luxe aujourd’hui habituel dont bénéficie, par rapport au coolie, le travailleur blanc sera sa perte. Le labeur même du travailleur blanc en arrive à être indésirable. Les énormes masses humaines concentrées dans les zones charbonnières, septentrionales, les grands complexes industriels, les capitaux qui y sont investis, des villes et des régions entières, tout cela voit surgir la probabilité d’une défaite dans cette compétition. Le centre de gravité de la production s’en éloigne constamment, d’autant plus que le respect même des races de couleur pour les Blancs s’est évanoui dans la Première Guerre mondiale.
(...)
C’est tout cela qui constitue la base réelle et irrémédiable du chômage régnant dans les pays des Blancs. Il ne s’agit nullement d’une simple crise, mais bien des prodromes d’un cataclysme.
(...)
Pour ces peuples "de couleur" (qui comprennent dans le présent contexte les Russes), la technique faustienne n’apparaît en rien comme une nécessité intérieure. C’est seulement l’homme faustien qui pense, ressent et vit sous cette forme. Pour lui, c’est une nécessité spirituelle, non basée sur ses conséquences économiques, mais sur les triomphes qu’elle apporte : Navigare necesse est, vivere non est necesse. Pour les "gens de couleur", au contraire, la technique n’est rien plus qu’une arme dans leur lutte contre la civilisation faustienne, au même titre qu’une branche d’arbre qu’on jette au rebut, dès qu’elle a rempli son office.

Auteur: Spengler Oswald

Info: L'Homme et la Technique, pp. 176-178

[ faustianisme ]

 

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helvète

Il y a plusieurs décennies cette idée de "bâtir l'édifice" était vue comme un sentiment noble, altruiste, communautaire. Elle était le moteur d'un politicien de milice, responsable, intégré dans la population, avec une bienveillance naturelle et un bon sens acquis sur le terrain.
Aujourd'hui la Suisse même si elle s'en éloigne, reste une société assez proche de ce mode de fonctionnement. A la différence que les penseurs ou les dirigeants sont toujours plus formatés par l'extérieur, c'est à dire par des pensées issues de biotopes qui n'ont pas grand-chose à voir avec le nôtre. On ne fonctionne/raisonne pas la même chose dans le désert de l'Oklaoma, Le Matto Grosso, une ile océanienne ou en habitant une vallée alpine. Dans cet ordre d'idées l'assujettissement mental de certains politiques romands au "conceptuellement correct" de la France et ahurissant. Il suffit de voir comment Mme Lyon a réagi lorsqu'un pauvre prof inconscient fit une bêtise devant l'entrée d'un camp de concentration...
Démontrez moi que l'humain mondial est devenu sage, raisonnable et tutti quanti.... et j'entrerai en matière pour une pensée mondialiste dominante. Mais ça ne marche pas encore comme ça. Et puis, de toutes façons, l'homme a besoin, pour sa survie, de désordres et de remises en causes. Surtout au niveau local !
Notre planète, géographiquement morcelée et tourmentée, devra encore continuer de fonctionner ainsi, avec cette ouverture au possible que présentent toutes ses différences. Ainsi la Suisse n'a pas de motifs particuliers de changer. Nulle raison de perdre de vue ce qui a fait nos valeurs. Organisation, travail, efficacité, économie, écologie... et ouverture sur le monde.
Charité bien ordonnée... comme dirait l'autre.

Auteur: Mg

Info: 28 juillet 2013

[ de l'Europe et du monde ]

 

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théologien protestant

[...] rien ne permet d’affirmer que Luther fut un moderniste avant la lettre, car il ne fut nullement mondain et ne cherchait à plaire à personne, ses innovations furent certes des plus audacieuses, [...] mais elles furent chrétiennes et rien d’autre ; elles ne devaient rien à aucune philosophie ni à aucun scientisme. Il refusait Rome, non parce qu’elle était trop spirituelle, mais au contraire parce qu’elle lui paraissait trop mondaine ; trop "selon la chair" et non "selon l’esprit", selon son optique particulière.

Le mystique de Wittenberg fut un Germain sémitisé par le Christianisme ; et il fut représentatif sous les deux rapports : foncièrement germain, il aimait ce qui est sincère et intérieur, non habile ni formalise ; sémite d’esprit, il n’admettait que la Révélation et la foi et ne voulait entendre parler ni d’Aristote ni des scolastiques. D’une part, il y avait dans sa nature quelque chose de robuste et de puissant (gewaltig), avec un complément de poésie et de douceur (Innigkeit) ; d’autre part, il fut un volontariste et un individualiste qui n’attendait rien ni de l’intellectualité ni de la métaphysique. [...]

Le message de Luther s’exprime substantiellement dans deux legs, qui témoignent de la personnalité de l’auteur et auxquels il est impossible de dénier la grandeur et l’efficacité : la Bible allemande et les cantiques. Sa traduction de l’Écriture, bien que conditionnée en quelques endroits par sa perspective doctrinale, est un joyau à la fois de langage et de piété ; pour ce qui est des cantiques, [...] [ils] sont devenus un élément fondamental du culte, et ils ont été pour l’Évangélisme un facteur puissant d’expansion.

Auteur: Schuon Frithjof

Info: Dans "Christianisme/Islam", éditions Archè Milano, 1981, pages 46-47

[ portrait psychologique ] [ réforme ]

 

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gauche-droite

Le gôchiste est dyscalculique
Il y a quelque chose que j'ai remarqué autour de moi, c'est que les gôchistes, sont en général particulièrement nuls en maths.
Vous leur demandez 40 x 33, et ils ne savent pas vous répondre. 7% de 350, et vous obtenez un claquage. "Combien de litres dans un mètre cube ?" vous n'y pensez pas. Ils sont incapables de comprendre la différence entre un GigaWatt et un GigaWatt heure. Ils confondent les millions et les milliards, les flux et les stocks. L'homogénéité pour eux, ça ne peut être qu'un truc d'extrême droite. Ils pensent que quand on emprunte 200 000€ à 4%, on rembourse 208 000€. etc etc...
Ils n'ont aucune notion des ordres de grandeur physiques les plus élémentaires. Leurs notions de statistiques sont nulles. Et ainsi, ils sont totalement allergiques à tout raisonnement logique, chiffré.
Ils ne vivent que dans le qualitatif, le ressenti, l'émotion, le psychologique. Et ils sont particulièrement perméables à l'idéologie et au slogan.
Ils pensent qu'être cultivé, c'est d'être au courant de la dernière exposition de bites en acier géantes de l'artiste pédant, anti peuple et subventionné du moment. Au passage, pardonnez moi la répétition, artiste "anti peuple" et "subventionné", c'est synonyme.
Ils ont une compréhension du monde tordue, qui ne colle en rien avec le réel, comme si ils vivaient dans une dimension parallèle.
En même temps, comprendre le monde sans aucune notion de maths, c'est comme lire un livre en ne lisant qu'un mot sur deux.
Et discuter avec ce genre de gens est en général sans issue. C'est comme essayer de parler théorie de l'évolution avec un salafiste.

Auteur: Internet

Info: Blog aux infos du nain, 11 fév. 2015

[ rationalisme ]

 

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différenciation

[…] je m’insurge contre l’abus de langage par lequel, de plus en plus, on en vient à confondre le racisme défini au sens strict et des attitudes normales, légitimes même, et en tout cas inévitables. Le racisme est une doctrine qui prétend voir dans les caractères intellectuels et moraux attribués à un ensemble d’individus, de quelque façon qu’on le définisse, l’effet nécessaire d’un commun patrimoine génétique. On ne saurait ranger sous la même rubrique, ou imputer automatiquement au même préjugé l’attitude d’individus ou de groupes que leur fidélité à certaines valeurs rend partiellement ou totalement insensibles à d’autres valeurs.

Il n’est nullement coupable de placer une manière de vivre et de la penser au-dessus de toutes les autres et d’éprouver peu d’attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s’éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. Cette incommunicabilité relative peut même représenter le prix à payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent, et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à leur renouvellement. Si comme je l’ai écrit ailleurs, il existe entre les sociétés humaines un certain optimum de diversité au-delà duquel elles ne sauraient aller, mais en dessous duquel elles ne peuvent non plus descendre sans danger, on doit reconnaître que cette diversité résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s’opposer à celles qui l’environnent, de se distinguer d’elles, en un mot d’être soi : elles ne s’ignorent pas, s’empruntent à l’occasion, mais pour ne pas périr, il faut que, sous d’autres rapports persiste entre elles une certaine imperméabilité.

Auteur: Lévi-Strauss Claude

Info: "Le regard éloigné" (1983)

[ variété nécessaire ] [ monades communautaires ] [ cohésion ] [ identité ] [ psycho-sociologie ]

 

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