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réglementations

Si nous continuons ainsi, il y aura bientôt des bistrots sans fumée, sans alcool et sans nourriture parce que l'Etat pense que les gens ne sont plus capables de décider pour leur vie propre.

Auteur: Lambsdorff Otto Graf

Info:

[ régulation ] [ interdits ] [ bistrots ]

 

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helvète

Je comprends fort bien les gens qui, réfugiés en Suisse, ont besoin de réconfort. Pour moi c'est l'inverse : le quadrillage social fin, les bouffes diverses où tout le monde s'en met plein la cravate, les box à prostituées aseptisés de Zurich, le confort social, les réglementations, normes... Tout ceci m'étouffe. A 56 ans je ne devrai pas, je sais.

Auteur: Mg

Info: 8 septembre 2013

[ interdictions ]

 

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réglementations

Plus le temps passe, plus j'ai l'impression de voir nos libertés s’abîmer, comme un buisson auquel on fait rien que de couper les branches, " pour son bien". J'ai le sentiment que, chaque jour, une nouvelle loi sort du chapeau d'un magicien drôlement sadique pour réglementer encore un peu plus nos toutes petites vies et mettre des sens interdits partout sur nos chemins.

Auteur: Loevenbruck Henri

Info: Nous rêvions juste de liberté

[ étouffantes ] [ lois ] [ carcan ]

 

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homme-animal

Les villes, ironiquement, sont devenues un havre de paix pour la nature, ou du moins pour les espèces capables de tirer leur subsistance des déchets humains, ce qui est certainement le cas de la famille des corbeaux. Cette surabondance de nourriture, conjuguée aux strictes réglementations anti-chasse en vigueur dans la plupart de nos villes, a engendré un développement exponentiel des corvidés.

Auteur: Gilmour Charlie

Info: Featherhood : A Memoir of Two Fathers and a Magpie

[ urbains ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

dictature

Le despote n'est pas un homme. C'est le Plan. Un plan précis, réaliste, qui apportera la solution une fois le problème posé clairement, dans son ensemble et son indispensable harmonie. Ce plan s'élabore bien loin de la frénésie de la mairie ou de l'hôtel de ville, des cris de l'électorat ou des lamentations des victimes de la société. Il est élaboré par des esprits sereins et lucides. Il ne tient compte que de vérités humaines, ignorant toutes les réglementations en vigueur, tous les usages et les filières existantes. Il n'examine pas s'il peut être réalisé en accord avec la constitution déjà en vigueur. C'est une création biologique qui s'occupe des hommes et qui peut être réalisé via les techniques modernes.

Auteur: Scott James C.

Info: Seeing Like a State: How Certain Schemes to Improve the Human Condition Have Failed

[ organisation ] [ autoritarisme ] [ fascisme ] [ centralisation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

économie

- Eh oui, pour la première fois depuis plus de 3000 ans les taux d’intérêt sont négatifs
- Donc, que faire pour remettre l’économie sur la bonne voie ?
- Il existe des leçons de l'histoire sur la façon de le faire. Depuis plus de cent ans en Grande-Bretagne, aux États-Unis et probablement aussi en Suisse, les propriétaires des capitaux propres d'une banque étaient eux-mêmes responsables de la solvabilité de la banque. Si la banque est devenue bancale ou insolvable ils devaient remettre du capital pour rembourser les créanciers, y compris les déposants. Mais au cours des cent dernières années la responsabilité collective dans le secteur bancaire a progressivement remplacé la responsabilité individuelle. Le gouvernement, avec l'introduction de l'assurance-dépôts, les nouvelles réglementations et interventions ont remplacé la vieille doctrine de la responsabilité des actionnaires. Voilà pourquoi je pense que nous devons nous éloigner de l'intervention du gouvernement et aller plutôt vers des solutions axées sur le marché, comme la vieille doctrine de la responsabilité des propriétaires des banques.

Auteur: Grant James

Info: lesakerfrancophone.fr, 29 août 2016

[ déresponsabilisation ] [ financiarisation ] [ pouvoir ]

 

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société

L'humaine fourmilière facilite l'inhumanité. A l'image des mégapoles sur bétonnées qui favorisent la cassure du lien social tribal et permettent l'éclosion de milliers de bulles de solitude, une société de masse où subsiste encore un peu de liberté est un milieu où le terroriste pourra aisément évoluer tel le virus dissimulé au sein d'une multitude de cellules. Une foule par exemple. Pour frapper là où ça fait mal.

Nous sommes un cran plus haut que le cas du meurtre de village ou dans un bourg de province, qu'on nommera vengeance, crime prémédité motivé par une frustration, folie passagère, pulsion ou autre... Pour les attentats de Paris d'avant-hier il s'agissait de terrorisme de masse. L'étage au-dessous de l'ethnocide, organisation rationnelle au niveau de l'Etat dans le but d'éliminer une population entière X ou Y. L'augmentation démographique au sein de ces grands ensembles diminue de fait l'espace de chacun d'autant plus que le pouvoir est obligé de réguler les rapports sociétaux via des réglementations toujours plus contraignantes. Autre forme, certes plus soft et délayée, d'inhumanité.

Notre espèce, en se développant avec populations trop nombreuses au niveau géographique et des densifications locales trop fortes, bascule gentiment vers l'inhumain. Nous sommes déjà dans la société de contrôle annoncée en son temps par Deleuze, si j'ai bonne mémoire.

Auteur: Mg

Info: 15 nov. 2015

[ quête ] [ équilibre ]

 

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normalisation

(Un texte pour nous rappeler où nous mène le socialisme infantilisant normatif.

Enfants, nous allions dans des voitures sans ceinture de sécurité, ni airbags !

Nos berceaux étaient peints avec des couleurs brillantes à base de plomb.

Pas de bouchons de sécurité sur les bouteilles de médicaments ni sur les tiroirs et les portes !

Quand nous partions à vélo nous n'avions ni casque ni protection pour les coudes et les genoux !

Nos parents ne portaient pas plainte contre la mairie parce qu'il avait un trou dans le goudron qui nous avait fait tomber !

On buvait de l'eau du robinet, du jardin ou là où on en trouvait jusqu'à ce qu'on n'ait plus soif !

On n'avait pas de bouteille minérale.

On mettait des heures à construire des voitures avec des caisses et des tuyaux qui ne respectaient pas mes normes AFNOR ou CEE

Après quelques chocs on avait appris à résoudre le problème !

On se laissait tomber contre un arbre ou par terre !

Le SAMU n'intervenait pas à chaque chute !

On sortait jouer à la seule condition de rentrer pour l'heure du repas.

On allait à l'école pour travailler et apprendre et non pour développer notre potentiel de créativité ou notre popularité !

Lorsqu'on ne travaillait pas, l'instituteur nous donnait des punitions ou des coups de règles sur les doigts !

Nos parents ne sont jamais aller porter plainte ni frapper l'instit', on savait qu'on l'avait mérité !

On n'avait pas de portable, on écrivait des lettres et des cartes postales !

On se coupait, on se cassait les os, on perdait des dents, mais il n'y avait jamais de plainte déposée pour ces accidents.

Personne n'était coupable sauf nous-mêmes !

On jouait aux gendarmes et aux voleurs, on jouait avec des pétards, on n'a jamais fait brûler des voitures !

On partageait un coca à 4 (quand on pouvait se l'acheter car c'était la bouteille en verre de 1 litre).

On buvait tous à la même bouteille et personne n'est mort de le faire !

On n'avait pas de Playstation, Mp3, Nintendo, 99 chaines de tv par le câble

Par contre on avait de vrais amis, on sortait, on prenait nos vélos ou on marchait jusqu'à chez nos copains.

On sonnait ou on entrait tout simplement et on allait jouer !

On jouait avec des bâtons, avec des balles de tennis, à cache-cache, aux football, au ballon prisonnier, à la poupée, aux petites voitures et non au SIM'S et SECOND LIFE.

Certains n'étaient pas de très bons élèves ils devaient simplement redoubler l'année quand ils ne réussissaient pas.

Personne n'allait chez les psychologues ou les pédopsychiatres !

On a fait l'expérience de la liberté, du succès et des échecs des responsabilités !

Bref on a appris à se débrouiller. Etes-vous aussi de cette génération ?

Auteur: Internet

Info:

[ réglementations ] [ déresponsabilisation ] [ vingtième siècle ]

 

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transhumanisme

Les robots "surhumains" seront en mesure de dépasser les capacités de l'humanité d'ici un demi-siècle, avertit un expert en intelligence artificielle, soulignant qu'il est vital d'introduire des garanties afin d'éviter que l'humanité soit "remplacée".

Luca De Ambroggi, responsable de la recherche et de l'analyse des solutions d'IA au sein de l'équipe Transformative Technology d'IHS Markit, fournisseur mondial d'informations basé à Londres, a déclaré à Express.co.uk : "Dans 50 ans, il est raisonnable de penser que les robots seront capables de "soutenir" et de remplacer l'être humain dans plusieurs activités. Déjà, les appareils électromécaniques surpassent les humains en sensibilité et en temps de réaction." Compte tenu des progrès technologiques considérables réalisés au cours de la dernière décennie, M. Ambroggi a déclaré que 50 ans étaient "suffisants" pour combler plusieurs fossés avec l'être humain.

Et d'ajouter : – Même si notre cerveau aura encore des avantages et que les êtres humains resteront plus dynamiques et polyvalents, l'électronique pourra surpasser les humains dans plusieurs fonctions spécifiques. Comme elle le fait déjà aujourd'hui, de la vision industrielle, à la reconnaissance audio et vocale.

- La question à long terme est de savoir si les "personnes remplacées" pourront être requalifiées et continuer à apporter de la valeur ajoutée dans notre société. Il continue : "L'intelligence artificielle est là, et elle est là pour le long terme.

- Nous sommes dans l'ère dite étroite ou faible, de l'IA. Elle est "plus faible" que l'humain ou égale ou supérieure pour quelques tâches et sens limités. Quelle que soit la façon dont elle perturbe la société et son évolution, cela aura des répercussions majeures sur la sécurité des données, le travail et l'éthique.

- Cette ère est celle de l'IA multimodale générique, comparable à une intelligence humaine appliquée dans tous les sens et travaillant puissamment en parallèle. Par exemple, pour ce qui est de l'électronique de détection et du support des semi-conducteurs, pour les capacités de vision, d'écoute, de toucher, ainsi que d'odorat et de goût avec les dernières technologies MEMS.

- Nous devons revenir à l'éthique. Il est communément admis que l'intelligence artificielle et ses dispositifs/robots vont accroître le business et la richesse dans le monde entier. C'est encore une fois aux régulateurs et aux administrateurs de s'assurer que tous les humains en bénéficieront et pas quelques sociétés seulement.

Regardant plus loin, M. Ambroggi considère l'idée que les robots seront un jour considérés comme ayant une conscience, et donc comme des formes de vie indépendantes. Il explique : "Il est tout à fait possible que ce soit aussi une réalité, peut-être pas dans les 50 prochaines années, mais la technologie évolue si rapidement que je peux difficilement en douter."

"Lorsque nous étudions la biologie, un 'être vivant' doit avoir au moins une unité 'cellulaire' vivante. Jusqu'à présent, ce n'est pas le cas, mais il est clair que cela pourra l'être à l'avenir. L'intelligence humaine peut être améliorée avec un implant à puce IA, mais alors nous entrons dans de nouveaux domaines et devrons définir ce qui est et ce qui n'est pas un humanoïde hybride ?"

"Nous devrions aussi mentionner la conscience. Nous pouvons affirmer que la conscience même vient de l'expérience, comme on le voit dans le comportement humain qui est extrêmement différencié suivant les différentes parties du monde. Si c'est le cas, l'IA peut le faire et le fera, car l'expérience est reproductible."

- Le surhomme est la dernière étape, et j'ai peur d'utiliser ce mot "dernier". Mais c'est ce qui conduit la recherche pour l'avenir.

"Peu importe qui ou quoi sera au-dessus des capacités humaines. Avant cela, nous ferions mieux de nous assurer d'avoir en place de bonnes réglementations, méthodologies et processus éthiques afin de nous assurer de tirer profit du côté positif de la technologie."

Auteur: McGrath Ciaran

Info: Sun, 3 février 2019

[ prospective ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

pouvoir

Cela porte un nom: ploutocratie
L'interventionnisme sert à enrichir les riches et appauvrir les pauvres; le non-interventionnisme sert à enrichir les riches et appauvrir les pauvres.
Face à l'interventionnisme sans précédent des Etats pour sauver un secteur financier en échec depuis 2008, d'aucuns ont cédé à la tentation facile d'une critique libérale qui a identifié son unique coupable: l'Etat. Ainsi, l'étatisme serait le responsable de tous les maux actuels. Mais ces penseurs, hors de la réalité, ne voient que la partie du problème qui les arrange. Car la critique libérale de l'interventionnisme échoue totalement à expliquer le non-interventionnisme obstiné par lequel, l'autre moitié du temps, ce même Etat faillit entièrement dans la régulation et l'imposition de sanctions un tant soit peu opérantes contre les abus du système financier.
J'ai écrit ici en août dernier que le capitalisme de marché n'a jamais existé, car il n'existe qu'à temps partiel: uniquement quand ses promoteurs, l'élite de la finance, en retirent d'énormes profits. Et qu'il cesse d'exister quand ces derniers en retirent des pertes. Le capitalisme libéral s'avère donc aussi utopique que le communisme sous l'URSS.
Un "libre marché" subventionné
Aux Etats-Unis, lorsque la période est à l'euphorie boursière, le système se fait ultra-libéral et dérégulateur pour permettre aux acteurs des marchés de maximiser leurs gains, libres de toute contrainte réglementaire. L'Etat et les autorités de surveillance démissionnent, les standards de l'éthique s'effondrent, comme ce fut le cas aux Etats-Unis avant 2000 (crise des valeurs technologiques), avant 2002 (scandales comptables) et avant 2008 (crise des subprimes). Aux Etats-Unis, quelque 250 lois et réglementations fédérales et étatiques favorisant la protection de l'épargne ont ainsi été démantelées depuis les années 1980 à la demande des banques, ouvrant l'ère du crédit prédateur qui a mené à la crise des subprimes.
Mais lorsque la période est au krach boursier, la finance sollicite l'interventionnisme maximal de l'Etat et des banques centrales, sommés de subventionner les chantres du non-interventionnisme. Le système se fait étatiste au plus haut degré pour protéger les acteurs du "libre marché" de toute perte ou sanction, alors qu'ils ont échoué. Ainsi, quand l'Etat intervient, c'est pour enrichir les riches, et quand il s'abstient d'intervenir, c'est aussi pour enrichir les riches. Le système s'autorise à être ultra libéral à la hausse et hyper interventionniste à la baisse, opérant dans les deux cas une redistribution dans un seul sens: de la base vers le haut. Il ne s'agit donc pas d'être pour ou contre l'interventionnisme étatique, mais contre le mélange prédateur des deux, savamment organisé pour n'agir que dans l'intérêt du secteur financier. Un interventionnisme qui agirait pour sauver à la fois les banques et les plus démunis de la société serait plus défendable que le présent système. Un non-interventionnisme qui laisserait les banques faillir, et priverait aussi de protection les moins favorisés, serait plus défendable que le présent système.
Mais le système actuel, où l'élite gagne à tous les coups, porte un nom. Et ce n'est pas l'étatisme. C'est la ploutocratie (gouvernement par la classe des riches). Les Etats-Unis, modèle dominant de notre ère, ne sont pas une démocratie, mais une ploutocratie. Nous vivons en ploutocratie. Francis Fukuyama, auteur de La fin de l'histoire, a récemment écrit plusieurs essais sur la ploutocratie américaine. D'après le magazine The American Interest, les Etats-Unis, qui étaient une ploutocratie industrielle en 1890-1920, sont devenus une ploutocratie financière dès les années 1990. L'élite de la finance, lobby désormais plus puissant que celui de la défense, sponsorise aujourd'hui l'Etat afin qu'il serve ses intérêts. C'est ainsi qu'aucun dirigeant financier n'a eu à répondre des abus sans précédent de la spéculation sur les subprimes, alors que 50 millions d'Américains sont à la soupe populaire. Les amendes payées par Wall Street représentent moins de 5% des profits engrangés durant la bulle. Et des scandales outranciers comme les manipulations du taux LIBOR resteront probablement impunis. A chaque euphorie, le non-interventionnisme de l'Etat aboutit à sur enrichir les élites financières (25 gérants de hedge funds ont gagné, sur la seule année 2006, autant que le PIB de l'Islande), et à chaque crise l'interventionnisme appauvrit les pauvres: entre 1970 et 2008, le revenu de 0,1% des plus riches a progressé de 385%, tandis que le revenu de 90% de la population n'a pas bougé. L'impunité fait partie de la ploutocratie, tout comme le non-interventionnisme, dans la mesure où c'est un non-interventionnisme acheté.

Auteur: Zaki Myret

Info: 28 octobre 2012

[ fric ] [ injustice ] [ avidité ] [ société ] [ USA ]

 

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