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absurde

C'est l'histoire d'un pingouin qui respirait par l'anus. Un jour il s'assied, et il meurt.

Auteur: Internet

Info:

 

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mythologie

L’Un respirait sans souffle, enfermé dans le Vide. Accédant à l’Être, il prit alors naissance par le pouvoir de la chaleur.

Auteur: Atharva-Véda

Info: X, 129. pp. 10-12. In : L'animal, l'homme, la fonction symbolique de Raymond Ruyer

[ genèse ] [ création ] [ verbe ]

 

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physionomie

Elle avait des yeux couleur arachides grillées salées, pas tout à fait vingt ans, et sa bouche orange et prognathe donnait en effet l'impression qu'elle embrassait l'air qu'elle respirait.

Auteur: Ferdjoukh Malika

Info: Broadway Limited, tome 1 : Un dîner avec Cary Grant

[ visage ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

meubles

Tout ici, des tableaux de maître au piano à queue, respirait la vieille bourgeoisie, celle qui n’éprouve plus le besoin de changer son mobilier et sa voiture pour paraître.

Auteur: Delteil Gérard

Info: Speculator, p. 252

[ mobilier ] [ conservation ]

 

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harmonie

Mais Hedwige avait une bouche ferme, bien équilibrée et qui respirait la sérénité et le recueillement ; une bouche qui vivait en paix avec les yeux, avec toutes les parties du visage et de l'âme.

Auteur: Morand Paul

Info: l'homme pressé (1941, 350 p., Gallimard, p.107)

[ beauté féminine ] [ féminité ] [ plénitude faciale ] [ grâce ]

 
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luminescence

S’il est une chose que je dois faire avant de mourir, c’est voir des aurores boréales.
Je les ai vues, tu sais. Les aurores boréales.
C’était comment ?
Comme le dit P.K. En plus étrange. C’est comme si le ciel respirait de la lumière.

Auteur: Bradbury Jamey

Info: Sauvage, p. 167

[ ionisation ] [ métaphores-comparaisons-etc ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écrivain-sur-écrivain

Oui, c’était cela, le vrai visage de Dostoïevski, tel que je me l’imaginais en lisant ses romans, comme illuminé par la puissance de la pensée, animé, pâle et tout à fait jeune ; le regard inspiré de ses yeux profonds et soudain plus sombres, les lèvres minces serrées et d’autant plus expressives ; ce visage respirait le triomphe de sa force intellectuelle, la fière conscience de son propre pouvoir... Il n’était ni bon, ni méchant. Il attirait et repoussait en même temps, effrayait et séduisait...

Auteur: Timofeeva-Potchinkovskaïa V. V.

Info: Extrait de "Une année de travail avec un écrivain célèbre" dans "Dostoïevski vivant", trad. du russe par Raïssa Tarr, éditions Gallimard, 1972, page 293

[ description ] [ portrait ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

patronyme

Daniel Pearse est né le 15 mars 1966, par un matin pluvieux. Il n'a pas eu droit à un deuxième prénom car sa mère, Annalee Faro Pearse, avait déjà eu toutes les peines du monde à lui trouver un premier prénom et un nom de famille - le nom de famille surtout. Elle avait beau se creuser la tête, le père de Daniel aurait pu être n'importe lequel parmi sept hommes. Annalee choisit Daniel car c'était un prénom qui respirait la force, et elle savait qu'il lui faudrait être fort.

Auteur: Dodge Jim

Info: Stone junction : Une grande oeuvrelette...

[ hasard ] [ espérance ] [ choix ]

 

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poème

La campagne éclatait, embrasée ; et les blés
Jaunis succombaient sous leurs épis d'or brûlés ;
Il faisait un août à racornir les arbres,
Les cieux semblaient plaqués de pierres et de marbres,
Rien ne bougeait en haut, rien ne bougeait en bas,
Et si tout respirait, on ne l'entendait pas ;
(...)
Les grands bois font sonner leurs cimes inégales ;
Et l'on entend des chants incertains de cigales
Et mille bruits charmants errant par-ci par-là :
Soudain, - j'en pleure encore, - un brave oiseau parla
Dans un arbre !

Auteur: Cladel Léon

Info: En Quercy, l'été

[ saison ] [ nature ]

 

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érotisme

Agrafée dans ce baiser de feu et comme enlevée par les lèvres qui pénétraient les siennes, aspirée par l'haleine qui la respirait, je la portai, toujours collée à moi, sur ce canapé de maroquin bleu, - mon gril de saint Laurent, depuis un mois que je m'y roulais en pensant à elle, - et dont le maroquin se mit à voluptueusement craquer sous son dos nu, car elle était à moitié nue. Elle sortait de son lit, et, pour venir, elle avait... le croirez-vous ? Été obligée de traverser la chambre où son père et sa mère dormaient !...

Auteur: Barbey d'Aurevilly Jules

Info: Le rideau Cramoisi

[ littérature ]

 

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