Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 13
Temps de recherche: 0.0338s

femmes-par-hommes

Les filles sont les roses de la couronne de la vie. Les roses et les filles font resplendir le printemps.

Auteur: Heine Heinrich

Info:

[ fleur ]

 

Commentaires: 0

drogue

Le premier double wisky accompagné d'une Pacifico au bar le fit resplendir. Question miracle, l'alcool enfonçait largement le saint suaire de Turin, même si la foule des poivrots rassemblés dans la pièce ne semblait pas particulièrement gais.

Auteur: Harrison Jim

Info: Grand maître

[ plaisir ] [ efficacité ] [ alcool ]

 

Commentaires: 0

extraterrestre

On vit au ciel un météore se dirigeant vers l'occident. Une étoile d'une grandeur extraordinaire brilla pendant sept jours. Trois soleils resplendirent en même temps et autour du plus bas des trois brilla une couronne qui paraissait formée d'épis revenu ensuite à un seul disque.

Auteur: Prodigiorum Liber

Info: extrait d'événements étranges survenus à Rome entre l'an -249 et -12 avant J.-C., CXXVIII. Sous les consuls M. Antoine et P. Dolabella

[ historique ]

 

Commentaires: 0

lumière

Les termes Dieu, divin, diurne, dies en latin dérivent de la racine sanskrite DIV qui signifie resplendir, rayonner. Ainsi, nommer Dieu, le divin (deva en sanskrit) équivaut à évoquer la luminosité de l’Energie divine, un point source inconnaissable (Brahman), tel le soleil d’où émane une infinité de manifestations divines, les rayons solaires.

Auteur: Poggi Colette

Info: Le Sanskrit, souffle et lumière : Voyage au coeur de la langue sacrée de l'Inde

[ étymologie ] [ spiritualité ] [ langage ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

agonie

Quand on se sait mourant, le regard opère une mise au point, et tout nous apparaît avec une netteté inédite. Comme si le monde, décrassé et astiqué, se mettait à resplendir, que ses moindres détails, ainsi mis en exergue, collaient à notre flux de conscience et qu'à force d'être sollicité dans toutes les directions à la fois, notre cerveau n'abritait plus qu'un magma d'associations libres.

Auteur: Tropper Jonathan

Info: Une dernière chose avant de partir

[ lucidité ] [ LSD ] [ mort imminente ]

 

Commentaires: 0

déclaration d'amour

Non, je ne t'en veux point, mon coeur dût-il se fendre,
O mon amour enfui! Non, je ne t'en veux point.
Tu as beau resplendir de l'éclat du diamant,
Aucun rayon ne perce la nuit de ton coeur.

Je ne le sais que trop. En rêve je t'ai vue,
J'ai vu ton coeur plongé dans de froides ténèbres,
Je l'ai vu dévoré par l'avide serpent,
Je t'ai vue, mon amour, dans toute ta misère.

Auteur: Heine Heinrich

Info:

[ poème ]

 

Commentaires: 0

singularité

[...] quelqu’un ne se désaliène pas sans s’indifférencier, sans devenir interchangeable, c’est-à-dire sans perdre toute capacité de séduction, tout éclat, sans cesser de resplendir de la lumière noire d’avant les grands mouvements de libération. Qui pourrait désirer quelqu’un qui a perdu son ombre mais qui a gagné des tas de sosies ? Rien n’est moins érotique que la sexualité exhibée en gros plan. C’est comme une sorte de catastrophe nucléaire effaçant d’un coup tous les millénaires humains où le sexe a été une énigme, une souffrance, une conquête et un plaisir.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 4", Les Belles Lettres, Paris, 2010, page 1512

[ trouble ] [ secret ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

apogée

Je ne sais pas si c’est l’incertitude de cette époque qui conférait une dimension importante à ces soirées, ou si pour tout le monde il existe un moment où l’on a l’impression de faire partie des élus, de resplendir d’un éclat plus vif, plus chaud et plus farouche que cela n’a été ou ne sera le cas pour qui que ce soit. Mais il me semble maintenant, qu’à un niveau phéromonal, nous sentions déjà les changements à venir. Aujourd’hui, quand je repense à ces soirées depuis l’immobilité cloîtrée de cette clairière, il me semble que l’air même était chargé d’un sentiment d’urgence, et je me souviens que j’éprouvais une espèce de pitié pour tous ceux qui n’étaient pas nous.

Auteur: Hegland Jean

Info: Dans "Dans la forêt", pages 77-78

[ adolescence ] [ force ] [ grande santé ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

crépuscule

C'était une soirée monotone et sans air. La mer se taisait à l'est, majestueuse et grisâtre, dans un repos absolu. La ligne de l'horizon se noyait, invisible, dans les profondeurs brumeuses du ciel ; immobiles sur l'onde paresseuse, les nefs oisives prenaient je ne sais quels airs de fantômes ; au sud la haute muraille bordant la tranchée maritime, et la massive tour ronde perchée sur le monticule herbu, opposaient aux regards une barrière sombre et lui fermaient toute perspective. A l'ouest, une traînée rouge du soleil couchant faisait resplendir l'extrême limite des cieux, norcissait la silhouette des arbres qui frangeaient les marges lointaines du grand marécage intérieur et changeait ses petites flaques d'eau brillante en flaques de sang.

Auteur: Collins William Wilkie

Info: Sans nom

[ océan ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

vieillir

[...] par la vertu du grand mystère de la vie humaine, l’ancien chagrin se transforme progressivement en une douce joie attendrie ; à la place du jeune sang bouillant, vient une vieillesse douce et sereine ; je bénis le lever quotidien du soleil et mon cœur lui chante comme jadis, mais déjà je préfère son coucher, ses longs rayons obliques, et avec lui de doux souvenirs paisibles, attendris, les chères images de toute une vie longue et bénie, et au-dessus de tout la vérité divine qui attendrit, apaise, qui absout ! Ma vie s’achève, je le sais et je le perçois, mais pour chaque jour qui me reste, je sens ma vie terrestre rejoindre déjà une vie nouvelle, infinie, inconnue, mais toute proche et dont le pressentiment fait vibrer mon âme de ravissement, resplendir mon esprit et pleurer mon cœur d’allégresse...

Auteur: Dostoïevski Fédor Mikhaïlovitch

Info: Dans "Les Frères Karamazov", volume 1, traduction d'Elisabeth Guertik, le Cercle du bibliophile, page 375

[ mort ] [ perception du monde ] [ crépuscule ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par Coli Masson