Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 13
Temps de recherche: 0.045s

femmes-hommes

Quand il s'agit de s'amuser, les hommes répondent toujours présents, mais quand ils doivent prendre leurs responsabilités...

Auteur: Legardinier Gilles

Info: Complètement cramé !

[ jeu ] [ assumer ] [ misandre ] [ hommes-par-hommes ]

 

Commentaires: 0

pratiquer

La meilleure façon de développer le sentiment de responsabilité chez les personnes c'est de leur confier des responsabilités.

Auteur: Blanchard Kenneth

Info:

[ responsabiliser ] [ appliquer ]

 

Commentaires: 0

pessimisme

"Travail d'équipe", grommela M. Koteks, "on peut appeler ça comme ça, oui. En réalité, c'est un moyen pour éviter les responsabilités.  Un symptôme de la lâcheté de toute la société."

Auteur: Pynchon Thomas

Info: “The Crying of Lot 49”, p.40, Penguin 2012

[ déresponsabilisation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

femmes-par-femme

Est-ce la certitude de partager une autre échelle de valeurs que celles des hommes ? Les femmes, je le crois, sont spontanément solidaires.

Alors, il faut qu’elles s’unissent pour faire progresser leurs droits, leur liberté, leur visibilité. Il faut qu’elles s’épaulent, s’encouragent, se mobilisent. Qu’elles enfoncent les portes et prennent des responsabilités. Elles peuvent changer le monde. Mais il faut se battre car les hommes défendront toujours leur boys club !

Auteur: Veil-Jacob Simone

Info: Simone Veil ou la force d'une femme de Annick Cojean

[ femmes-hommes ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par miguel

répartition du travail

Avez-vous remarqué que certaines équipes de projet sont efficaces, chacun sachant ce qu'il a à faire et contribuant pleinement, alors que les membres d'autres équipes se chamaillent constamment et ne semblent pas capables de s'écarter les uns des autres ? Il s'agit souvent d'un problème d'orthogonalité. Lorsque les équipes sont organisées de manière à ce qu'il y ait beaucoup de chevauchements, les membres ne savent plus très bien quelles sont leurs responsabilités. Chaque changement nécessite une réunion de l'ensemble de l'équipe, car chacun d'entre eux peut être concerné.

Auteur: Hunt Andy Andrew

Info: The Pragmatic Programmer: From Journeyman to Master

[ management ] [ pilotage ] [ commandement ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

armement

Ma responsabilité dans la question de la bombe atomique se traduit par une seule intervention : j’ai écrit une lettre au président Roosevelt. Je savais nécessaire et urgente l’organisation d’expériences de grande envergure pour l’étude et la réalisation de la bombe atomique. Je l’ai dit. Je savais aussi le risque universel causé par la découverte de la bombe. Mais les savants allemands s’acharnaient sur le même problème et avaient toutes les chances de le résoudre. J’ai donc pris mes responsabilités. Et pourtant je suis passionnément un pacifiste et je ne vois pas d’un œil indifférent la tuerie en temps de guerre et le crime en temps de paix.

Auteur: Einstein Albert

Info: "Comment je vois le monde", traduction de l’allemand par Maurice Solovine et Régis Hanrion, Flammarion, 2017, page 176

[ justification ] [ fatalité ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Coli Masson

jeunesse

Vous passez l'après-midi à fuir ensemble vos responsabilités. (Vous vous dites que vous avez plus de chance de les semer à deux.) Vous regardez le chat d'en face gambader frileusement sur votre bout de balcon enneigé. Vous ne faites pas la vaisselle. Vous ne parlez pas de choses importantes, votre travail, vos amours, vos projets d'avenir. Vous vous donnez le droit d'oublier que vous êtes des adultes, peut-être, mais c'est qu'en fait vous n'avez jamais l'impression d'être des adultes lorsque vous êtes ensemble. Vous avez une amitié comme au temps de la polyvalente, lorsque vous pouviez passez des heures à ne pas faire grand-chose avec les gens que vous aimiez le plus, sans leur demander autre chose que d'être là, que de rire avec vous quand vous aviez envie de rire et de partager ensemble quelques silences songeurs qu'ils ne vous demandaient pas d'expliquer. C'est ce que vous faites durant ces longs après-midis oisifs, vos jambes et vos coudes et vos hanches s'entrechoquant sur le petit divan : vous entretenez votre amitié.

Auteur: Panneton Amélie

Info: Le charme discret du café filtre

[ laisser-aller ] [ plaisir ] [ trainasser ]

 

Commentaires: 0

lecture

Des choses épouvantables peuvent arriver aux enfants. Et même une enfance heureuse est remplie de tristesses. Y a-t-il une autre période de votre vie où on déteste son meilleur ami le lundi pour l'aimer à nouveau le mardi ? Mais à 8, 10, 12 ans, on ne réalise pas qu'on va mourir. Il y a toujours la possibilité de s'échapper. Il y a toujours un ailleurs et un lointain, un fait que je n'avais jamais vraiment apprécié jusqu'à ce que je lise l'ouvrage profondément troublant de Gitta Sereny, Cries Unheard, sur la meurtrière d'enfants Mary Bell.

À 20, 25, 30 ans, nous commençons à nous rendre compte que les possibilités d'évasion s'amenuisent. Nous commençons à imaginer un temps où il n'y aura plus d'ailleurs et de loin. Nous avons un travail, des enfants, un partenaire, des dettes, des responsabilités. Et si beaucoup de ces choses enrichissent nos vies de façon incommensurable, ces limites de plus en plus étroites sont quelque chose que nous devons tous accepter.

C'est à cette partie de nous, je pense, que la fiction littéraire s'adresse.

Auteur: Haddon Mark

Info:

[ ouverture ] [ fuite ] [ refuge ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par miguel

vieux

Mes arrière-grand-mères tricotaient et reprisaient toutes les chaussettes, ravaudaient le linge, récoltaient les simples, donnaient la main aux quatre lessives de l'année, s'occupaient des couvées et assuraient la permanence de la prière.

Mes arrière-grands-père faisaient et réparaient toute la vannerie et la sacherie de la maison, entretenaient, raccommodaient, remmanchaient les outils, aiguisaient les lames, régnaient sur le bûcher et avec les jeunes garçons, mes cousins et moi, approvisionnaient les feux.

Si je vous raconte cela, c'est pour vous montrer comment étaient alors réglés ce qu'on appelle maintenant les "Problèmes du troisième âge". On peut avoir intérêt à méditer là-dessus, en notre grandiose époque qui pratique si délibérément l'abandon officiel des enfants et des vieillards, tout en leur consacrant par ailleurs tant d'articles exhaustifs dans la presse, tant de discours à la tribune et tant de crédits pour réaliser à leur égard la ségrégation des âges avec les crèches, les écoles enfantines, les asiles et les maisons de retraite. Pour parler clair, je dirai qu'il n'y avait pas de "problème de l'enfance" ni du "troisième âge", parce que la famille assumait alors toutes ses responsabilités.

Auteur: Vincenot Henri

Info:

[ rôle social ] [ aïeux ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Coli Masson

non-voyante

Il arrive que mes amis me signalent certaines attitudes non audibles afin de m'aider à les corriger (lorsque l'enfant s'essuies sur ses manches au lieu d'utiliser la serviette). Je perçois des choses avec retard, ce qui quelquefois énerve les voyants. Exemple : un enfant qui fait des saletés à table sera immédiatement repéré dès qu'il a fait une bêtise. Moi je le verrai au moment de débarrasser.
Élever seule des enfants, est déjà complexe. Le handicap rend la chose un peu plus difficile. La cécité, n'exclut en aucun cas la possibilité d'être une mère assumant toutes ses responsabilités. Cela demande des adaptations parfois simples, parfois plus complexes, mais ce sont là des faits qui nous sont coutumiers que nous soyons parent ou non. L'enfant d'une personne aveugle n'encourt pas plus de danger qu'un autre, peut-être sans doute moins car le parent s'assure des conditions de sécurité optimales. Vous allez sourire : lorsque nous allons au bois, je protège mes enfants en les rassurant, en étant présente, en poussant la balançoire. Par contre, lorsqu'ils vont à l'autre bout du parc, ils changent leur mère de banc, me guident à travers les sentiers.... C'est une réelle complicité et un échange formidable.

Auteur: Anonyme

Info: Internet

[ maman ]

 

Commentaires: 0