Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 17
Temps de recherche: 0.0374s

résignation

C'est au moment du malheur qu'on s’habitue à la vérité, c'est-à-dire au silence.

Auteur: Camus Albert

Info: La peste

[ muette ] [ deuil ]

 

Commentaires: 0

isolement

La vérité, c’est qu’on s’habitue à vivre seul, et quand on se fait à la solitude, on n’a plus envie de se partager avec son prochain…

Auteur: Arpino Giovanni

Info: Une âme perdue

[ accoutumance ] [ égoïsme ] [ laisser-aller ]

 

Commentaires: 0

accoutumance

Tout le monde finit par s’habituer à l’enfer. La véritable distinction se fait entre ceux qui s’habituent et acceptent, et ceux qui s’habituent mais n’accepteront jamais.

Auteur: Mérot Pierre

Info: Mammifères

[ refus ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

accalmie

On s’habitue peu à peu à une nouvelle compréhension de l’essence du bonheur. C’est quand le destin ne concrétise pas toutes ses menaces en même temps que l’on peut supposer qu’il y a du bonheur.

Auteur: Freud Sigmund

Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 8 mai 1901, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006

[ trêve ] [ définition négative ] [ épargné ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

prison

L'infini se lit dans tous les sens y compris à l'envers,
Nul ne se connaît tant qu’il n’est pas attaché à des fers !
La droiture entre des murs atteint les plus hautes vertus,
Au silence de la conscience jamais l’âme ne s’habitue.

Auteur: Farges Jules

Info:

[ poème ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

affection

On a beau y être soumis depuis l’enfance, on ne s’habitue jamais au rejet, à l’humiliation. L’humain étant un animal social, même le plus bête d’entre nous a besoin de contacts fraternels, à l’occasion. Si le social s’atrophie, il ne reste que l’animal. L’animal blessé.

Auteur: Goudreault David

Info: La bête et sa cage, p. 164

[ nécessaire ] [ rapports humains ]

 

Commentaires: 0

souffrance

On ne s’habitue pas à la douleur. Elle s’incruste, rampe le long des membres, des doigts. Elle bat dans les chevilles, éclate dans la poitrine, dans le dos, autour du crâne. Elle se diffuse partout, infatigable, cruelle, obstinée, sournoise. Pas de trêve. Impossible de s’endormir, impossible, même, de s’assoupir. Impossible de penser.

Auteur: Bourequat Ali-Auguste

Info: Dix-huit ans de solitude : Tazmamart

[ physique ]

 

Commentaires: 0

vieillesse

À la campagne, ne plus conduire, c’est un peu mourir. Au début, les gens se déplacent, ils viennent vous voir, et puis, peu à peu, comme ils ne vous voient plus nulle part, ils vous oublient. Alors le vide s’installe, que l’on partage avec une solitude à laquelle il va falloir s’habituer. Et la vie commence à finir.

Auteur: Bure Véronique de

Info: Un clafoutis aux tomates cerises

[ isolement ] [ éloignement ] [ voiture ]

 

Commentaires: 0

féminisme

Nous, les femmes, nous sommes la moitié du ciel et même un peu plus (…) Nous voulons être la moitié de tout, pas vos moitiés, la moitié de tout. Et surtout, être au moins la moitié partout où se prennent les décisions. Le monde qui vient devra s’habituer partout à la présence de nos filles, de vos filles.

Auteur: Taubira Christiane

Info: en 2017

[ politique ] [ profession de foi ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

prison

Hélèna ne s’est jamais habituée et ne s’habituera jamais. La honte de franchir la porte. De passer à la fouille. Proscrire les vêtements avec des pièces métalliques pour ne pas affoler le portique de détection, pour ne pas exciter les surveillants. Attendre parqués comme du bétail. Au milieu des familles désemparées, des conjointes maquillées à outrance et vêtues sans pudeur. Respirer l’odeur viciée. Mélange de sueur, de crasse et de misère. Une atmosphère malsaine qui prend aux tripes et ne vous lâche plus.

Auteur: Cédric Cham

Info: Le fruit de mes entrailles

[ visite ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel