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médecine

Je le soignai, Dieu le guérit.

Auteur: Paré Ambroise

Info:

 

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question

Alors comment faire, de nos jours, pour laisser à l'enfant le temps de maturation nécessaire pour entrer dans cette société du "tout montrer" et du "tout dire" qui, d'une certaine manière, ne lui permet plus de fantasmer comme il se doit ?

Auteur: Stora Michael

Info: Et si les écrans nous soignaient ?

[ éducation ] [ infobésité ] [ monde intérieur ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

obèse

Darius faisait deux bons mètres cubes et soignait sa silhouette au triple cheese-burger mayo-ketchup-bière-frites-oignons. Son diététicien s'est suicidé et je sais pas comment tenait son coeur. Ce bout de myocarde faisait front face aux assauts répétés du cholesterol. Son coeur c'était Fort Alamo, et il était écrit qu'il se battrait jusqu'au bout.

Auteur: Le Guilcher Arnaud

Info: En Moins Bien

 

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épidémie

Les uns mouraient privés de secours, les autres, entourés de tous les soins. Quant aux traitements appliqués pour soulager les malades, aucun d'eux, disons-le, ne put faire ses preuves. Aucune constitution, forte ou faible, ne se montra capable de résister au mal, qui emportait indifféremment tout le monde, y compris ceux qu'on soignait de toutes les façons possibles. Le plus terrible dans cette maladie, c'était l'état de dépression morale dans lequel on sombrait souvent en s'apercevant qu'on était atteint. On renonçait alors d'emblée à toute espérance, si bien qu'au lieu de lutter, on se laissait complètement aller.

Auteur: Thucydide

Info: La Guerre du Péloponnèse, livre II, à propos de la peste à Athènes en 430 av. J-C.

[ résignation ]

 

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thérapie

En tant que psychanalyste, je considère donc que l'outil informatique constitue un entraînement symbolique pour les enfants comme pour les adultes. pour être mon premier cobaye et pour avoir observé beaucoup de personnes en train de jouer, je pense que les jeux vidéo dits "violents" favorisent l'expression de pulsions agressives, qui existent en chacun de nous, de manière socialement acceptable puisqu'elles ne s'exercent pas à l'encontre de personnes réelles. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le plus grand plaisir des joueurs n'est pas de "tuer", mais de s'affronter à la machine et de se mesurer entre eux. Marquer des points nécessite d'être persévérant, de contourner des obstacles, de se dépasser, de collaborer. En ce sens, le jeu a des vertus curatives et c'est un moteur pour avancer.

Auteur: Stora Michael

Info: Et si les écrans nous soignaient ?

[ défouloir ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

désenchantement

La marquise du Deffand soignait ses insomnies en correspondant avec Voltaire, Cioran se distrayait des siennes en lisant Mme du Deffand. "Mon Dieu, que vous êtes heureux et que vous êtes en bonne compagnie, étant seul avec vous-même!", écrivait-elle à son illustre correspondant. Car, très loin de Ferney, dans sa chambre de la rue Saint-Dominique, elle était rattrapée, sans cesse, par cette mauvaise bête, ce monstre sans visage qu'on appelle l'ennui et qui entraîne à la fois le vide et le surmenage des pensées. Cioran a probablement éprouvé la même jalousie que la marquise à l'égard de Voltaire. "Ma vie a été dominée par l'expérience de l'ennui. J'ai connu ce sentiment dès mon enfance", confiait-il en 1977. Il ajoutait que c'était une sorte de "vertige": "La révélation de l'insignifiance universelle"...

Auteur: Bott François

Info: Le Monde 12 Mai 1995

[ motivation ] [ écriture ]

 

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futur mari

Cet homme [Fiodor Dostoïevki] me paraissait bizarre ! Tout d’abord, je le trouvai vieux, mais par la suite je ne lui donnai pas plus de trente-sept ans ; il était de taille moyenne ; son visage paraissait ravagé par la souffrance. Ses cheveux clairs, tirant sur le roux, étaient bien pommadés et curieusement plaqués en arrière à la manière d’une perruque ; il avait deux yeux totalement différents (à cette époque, il soignait chez Junge une blessure à l’œil) ; l’un d’eux était d’un noir splendide ; l’autre avait la pupille extrêmement dilatée, ce qui empêchait de saisir l’expression de son regard et donnait à toute sa personne un air étrange. Il me faisait penser à un professeur, et je lisais de la méchanceté sur son visage. Il était vêtu d’un pantalon et d’une veste bleue, toute tachée de graisse (il affirme la porter depuis six ou sept ans), mais son linge de corps était très propre. Je dois lui rendre cette justice que je ne lui ai jamais vu porter de linge sale. Son visage avait je ne sais quelle expression bizarre et, de prime abord, il ne m’a pas plu.

Auteur: Dostoïevski Anna Grigorievna Snitkine

Info: Transcription de la note de journal suivant sa rencontre avec Fiodor Dostoïevki l'année précédente dans "Journal (1867)", traduit du russe par Jean-Claude Lanne, éditions des Syrtes, Genève, 2019, entrée du 16 octobre 1867

[ écrivain ] [ description ] [ portrait ] [ première impression ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

fleurs

– Je te dérange ?
– Tout va bien. Je m’occupais de mes pivoines. Je leur soignais les ailes.
– Les ailes ?
– Et oui. La pivoine, c’est la seule fleur qui aurait pu être un oiseau. Qui aurait dû. "Pivoines", tu ne trouves pas que ça fait nom d’oiseau ? On aurait pu dire : tiens, regarde, un vol de pivoines…
– Jamais remarqué.
– Et puis, quand tu observes une pivoine de près, tu sais, on dirait ces plumes contrariées qu’il y a sur le cou des cygnes, ou le jabot mouillé d’un flamand rose dans le vent. Un bouquet de pivoines, c’est une volée d’oiseaux qui se blottissent les uns contre les autres, qui tremblent de ne pouvoir voler.
(...)
– Et puis, surtout, j’en ai marre des roses. C’est snob les roses. C’est tout droit, tout raide, trop bien peigné. Les roses, ça a un côté petite-bourgeoise endimanchée qui m’agace. Un côté collet monté qui ne veut pas se salir. Un peu trop net pour être vrai. Alors que la pivoine… La pivoine, c’est une fleur décoiffée, une fleur ébouriffée. Tu as déjà vu une pivoine blanche ? On dirait une mariée au petit matin, qui a dansé et bu toute la nuit et dont la robe s’est froissée à force de tournoyer. Un froissement de froufrou et la belle se volatilise…

Auteur: François d'Épenoux

Info: Le réveil du coeur de

[ comparées ]

 

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voyage astral

Je souhaitais partager un texte que j'avais écrit durant l'été 2017, en rapport avec les extra-terrestres. J'étais conscient et allongé lorsque cela s'est passé. Je souhaitais tout simplement avoir votre avis sur ce que j'ai vécu. Voici le texte :

Ce matin, j'étais en pleine méditation d'ancrage quand j'entends : "il faudra que tu penses à te reposer".
Oui, oui...
"Il faudra que tu penses à te reposer ".
Okay okay j'ai compris !

Je file au lit, je reste centré, et j'attends les yeux fermés. D'un coup je me vois allongé sur un genre de divan, dans une pièce très en hauteur avec vue panoramique. Tout, autour de moi, est technologique. Je commence enfin à comprendre où je suis, ou plutôt auprès de qui ;)

Un homme très baraqué s'avance. Il a une épée d'apparat à la main, et tout son corps scintille de couleur violette. Visiblement, il a un grade important...
Il s'approche de mon corps endormi, et dit : "C'est bien lui ?" "Il progresse vite" (petit instant ego : merci merci)
Alors il se tourne vers 2 silhouettes (dont la couleur dominante est le vert), et leur dit "on va pouvoir commencer".

D'un coup je sens que les 2 silhouettes vertes commencent un soin en profondeur. Globalement, ça donne l'impression que l'on lève et que l'on abaisse un voile qui recouvre tout le corps, à la manière d'une grande respiration (indépendante de la respiration pulmonaire). Et au fur et à mesure de ces "grandes respirations", tout devient de plus en plus léger et doux...

J'essaie de rester centré, j'entends "plus ton corps est au repos, plus c'est facile pour nous".
Mon corps entier est comme bercé par ce mouvement, et des petits picotements traversent des zones précises.
Le "caporal violet" (c'est plus court à dire !) qui jusque là assistait à la scène, se tourne vers moi et me demande : "est-ce que tu nous donnes l'autorisation d'aller plus loin ?"
J'ai confiance en vous !
"Merci, on te le rendra au centuple : j'espère que tu t'es préparé à Voir" (oh chouette :D)

A cet instant, je ressens comme si on essayait de mixer deux énergies différentes (j'avais l'image de 2 liquides qui essaient de se mélanger progressivement). Là je me demande : "c'est un soin ?"
Réponse immédiate : "c'est bien plus qu'un soin auquel tu assistes : c'est un changement de structure. Le Terre doit se mélanger avec le Non-Terre. Ainsi il sera bien plus facile pour nous de te soigner à l'avenir".
En bonus, petite remarque des guides : "Tu as beaucoup de chance Jordan !"

Au cours de ce mixage plutôt agréable (où j'avais pas mal d'images d'Univers, de grands espaces, d'étoiles), l'un de ceux qui me soignaient m'annonce, plein de compassion : "beaucoup de mémoires... on va purifier tout ça"
Là, dans un coin de ma tête j'avais une flopée d'images qui défilaient à toute vitesse, auxquelles je ne m'attardais pas, avec l'impression qu'on faisait une bonne vidange.

A certains moments, quand mon mental intervenait trop, j'avais droit à des phrases de leur part du genre : "quand cesseras-tu de penser, et quand commenceras-tu à ressentir ?", ou "mais qu'est ce que ça pense un humain... *soupir*"

Une fois leur travail terminé, je les ai remercié, et leur ai fait un gros câlin. C'est marrant d'ailleurs, j'avais l'impression d'être un petit cochon avec les mains toutes sales, tellement leur énergie était pure ! (surprise de leur part du genre : "Mais que fait-il ?", jusqu'à ce que l'un deux capte que c'était pour dire merci, ce à quoi j'ai eu un super retour de leur part !)

Ils ont conclu par un "on reviendra prochainement". Et après vérification, tout cela a duré 1h30 !

Auteur: Antignac ‎Jordan

Info: Facebook, témoignage sur le Groupe de Marc Auburn public, 7 décembre 2019

[ science-fiction ] [ songe ] [ abduction ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par miguel