Ai passé ce matin une heure à lire du Albert Caraco grâce à des extraits présentés sur Internet. Son écriture sombre propose de ci de là quelques jolies trouvailles pessimistes. Mais l'impression générale reste celle d'une immense espérance déçue. Immense. Surtout un style trop complexe pour moi, en tous les cas moins direct et agressif, voire drôle... que Forneret, Beckett, Messtavic ou Cioran. Sans oublier le noir désespoir enragé de Jean-Pierre Martinet.
Et puis, à la réflexion ; aux destructeurs et broyeurs de noir, je préfère les vindicatifs.
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Info: 21 juillet 2013
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