Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 143
Temps de recherche: 0.0472s

dépression

J'erre comme une âme en peine, n'osant et ne pouvant m'intéresser à rien, fatigué de la vie, plus vieux qu'un vieillard. Perdre ses jours, manquer son existence, n'avoir plus ni flamme, ni espérance, ni passion, ni goût, ni affection, ni volonté : voilà qui me détruit, me consume et me dévore.

Auteur: Amiel Henri-Frédéric

Info: Journal intime, 21 mai 1858

[ inappétance ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par Hervé

santé

La médecine psychosomatique (de psyché = pensée et soma = corps) affirme que de nombreux troubles d'origine émotive aboutissent à la "somatisation", c'est à dire qu'elles se transforment en véritables troubles organiques.

Le père de la médecine, Hippocrate, disait que les maladies qui échappent à l'âme contribuent à dévorer le corps.

Auteur: Ramponi Valerio

Info: Le magnétisme personnel, p 37

[ chair-esprit ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

manger

Il n'a encore jamais su ce qu'est un plat, n'est jamais allé au bout d'un plat, celui qui a toujours gardé la mesure. Tout au plus en apprend-on la jouissance mais jamais la frénésie, le mauvais chemin qui s'écarte de la route bien tracée de l'appétit et mène à la forêt vierge de la goinfrerie.

Auteur: Benjamin Walter

Info: In "Images de pensée", éd. Christian Bourgois, p. 133

[ excès ] [ dévorer ] [ appréciation ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Benslama

quête

La vérité […] c’est ce qui court après la vérité – et c’est là où je cours, où je vous emmène, tels les chiens d’Actéon, après moi. Quand j’aurai trouvé le gîte de la déesse, je me changerai sans doute en cerf, et vous pourrez me dévorer, mais nous avons encore un peu de temps devant nous.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Le séminaire, livre XI : Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse

[ existence ]

 

Commentaires: 0

quête

Quelques poètes lucides (...) ont su que la nostalgie qui les dévore non seulement se rapportait à l'enfance, mais à un temps antérieur à tout temps déterminable. Et ils savent que leur passion de la parole a pour but de lui rendre son innocence perdue grâce à laquelle la leur serait retrouvée ; en vérité atteinte.

Auteur: Zambrano Maria

Info: Apophtegmes

[ passé ]

 

Commentaires: 0

fléau numérique

Les sauterelles électroniques se sont abattues sur l'Egypte de l'âme. Elles dévorent tout. Quand dans le train je vois un homme ou une femme lire un livre, j'ai sur eux le regard qu'avait un résistant de la dernière guerre, découvrant - dans la fierté d'un regard, la douleur d'un sourire - un frère ou une sœur d'armes.

Auteur: Bobin Christian

Info: La nuit du cœur

[ monde d'hier ] [ nostalgie ] [ anciens lecteurs ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

psychosomatique

Aucun homme ne peut dire ce qu'est la joie tant qu'il n'a pas connu la paix. Et, sans joie, il n'y a pas de vie. Nos maladies ce sont nos attachements. Qu'ils soient habitudes, idéologies, idées, possessions, dieux, cultes, religions, tout ce que vous voudrez. Si on s'accroche à la plus petite miette, on nourrît le germe qui nous dévorera.

Auteur: Miller Henry

Info: Le Colosse de Maroussi

[ nocebo ]

 

Commentaires: 0

question

Spinoza parle de la vitalité comme de la vertu la plus pure, la seule vertu. Le besoin de perdurer, de s’épanouir, dit-il, est la qualité absolue, partagée par tous les êtres vivants. Que se passe-t-il, toutefois, quand la vitalité devient si puissante que la vertu de Spinoza s’inverse et que, au lieu de s’épanouir, on est conduit à se dévorer ?

Auteur: Greenberg Michael

Info: Le jour où ma fille est devenue folle

[ folie ]

 

Commentaires: 0

dernières paroles

Non, j'aurai assez du ciel et de la terre pour cercueil, du soleil, de la lune et des étoiles pour bijoux, de la nature entière pour cortège. Pourrez-vous me donner mieux que ces splendeurs ?... ..... Et pour lui épargner ce sort, vous la ferez dévorer sous terre par les fourmis. En priver les oiseaux pour la livrer aux insectes, est-ce juste?

Auteur: Tchouang-Tseu

Info:

[ . ]

 

Commentaires: 0

consumérisme

Cette pulsion consommatrice se fait au détriment du produit, mais aussi de ceux qui produisent le produit. On oublie toujours que ce produit vient d’un travail humain ou de la nature, c’est le rôle de la publicité. On voit apparaître une sorte de boulimie planétaire où 20% de la population dévore ce que produisent les autres, parce que c’est son droit.

Auteur: Brune François

Info: "Divertir pour dominer", page 91

[ face cachée ] [ exploitation humaine ] [ ressources ] [ nord-sud ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson