absurde

Comment une blonde utilise-t-elle un éventail ?
Elle bouge la tête !

Auteur: Internet

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[ humour ]

absurde

Deux pensionnaires veulent s'évader d'un asile psychiatrique. Ils se concertent :
- Si le portail est haut, on passe en-dessous. S'il est bas, on passe au-dessus.
L'un d'eux va voir et revient :
- Désolé, on ne peut pas s'évader, il n'y a pas de portail !

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

absurde

C'est l'histoire de deux débiles qui marchent dans la rue, un des deux ramasse une merde avec sa main et dit à son pote : - Regarde dans quoi j'allais marcher !

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

absurde

C'est deux fous qui marchent dans la rue. Le premier demande au second : Je peux me mettre au milieu ?

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

absurde

Dialogue entre débiles :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- J'écris une lettre.
- A qui ?
- A moi.
- Et qu'est ce que tu racontes ?
- Je ne sais pas. Je ne l'ai pas encore reçue.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

absurde

Un fou enfermé dans un asile. Il se penche à la fenêtre et demande à un passant :
- Vous êtes nombreux la dedans ?

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

absurde

C'est trois fous qui sont a l'école. Le professeur demande : - Combien font 3x3 ?
Le premier fou répond : - 145236.
Le deuxième fou répond : - Mardi.
Et le troisième fou répond : - 9.
Le professeur dit : - Bien comment avez vous fait ?
Et il répond : - Facile j ai divisé 145236 par mardi.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ]

conflits

- Peuh ! La guerre, mais c'est l'habitude. La routine. LE TRAIN-TRAIN le plus banal. C'est une gigantesque couche de paresse, vois-tu : depuis que l'humanité existe, c'est la solution flemmarde. Or l'habitude et la flemme sont les signes du Menteur.

Auteur: Mallasz Gitta

Info: Dialogues avec l'ange

[ facilité ]

détachement

Ne juge jamais...

Auteur: Mallasz Gitta

Info: Dialogue avec l'ange

[ distanciation ] [ recul ] [ compréhension ] [ humilité ]

tracas

Il me semble que la Nature a travaillé pour des ingrats : nous sommes heureux, et nos discours sont tels qu'il semble que nous ne le soupçonnions pas. Cependant, nous trouvons partout des plaisirs : ils sont attachés à notre être, et les peines ne sont que des accidents. Les objets semblent partout préparés pour notre plaisir : lorsque le sommeil nous appelle, les ténèbres nous plaisent ; et lorsque nous nous éveillons, la lumière du jour nous ravit. La nature est parée de mille couleurs ; nos oreilles sont flattées par les sons ; les mets ont des goûts agréables ; et, comme si ce n'était pas assez du bonheur de l'existence, il faut encore que notre machine ait besoin d'être réparée sans cesse pour nos plaisirs.

Auteur: Montesquieu Charles de

Info: Mes pensées, Oeuvres complètes I, la Pléiade, Gallimard 1949, 549, p.1061

[ ennuis ]