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sport

Noah raconte : - Avant une finale à Roland Garros on attendait derrière la bâche, avec une vingtaine d'anciens vainqueurs, que les joueurs arrivent avant d'entrer sur le court. Federer est arrivé avec un petit sourire, il a fait un petit signe pour dire bonjour. On a attendu une minute. Nadal est arrivé, il n'a regardé personne, il a fait trois sauts de kangourou, et on s'est tous regardés en se disant : "Oh, putain..." Federer l'a regardé, l'autre ne l'a pas calculé, le match était plié. Pour Nadal ou Djokovic, sur le court, c'est une question de survie, tu le vois dans leur regard.
Au sortir de cette anecdote je me dit que Federer est probablement le plus grand pour la bonne raison qu'il a dominé le tennis sans avoir ce moteur-là. Gagner à tous prix.

Auteur: Mg

Info: 23 mai 2013

[ tennis ] [ motivation ] [ éloge ]

 

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anecdote

Un autre homme eut les "couilles" de tenir bon : Franz Beckenbauer, que Cantona admirait pour sa "droiture allemande" et son refus de participer à ce qu'Éric appelait le "dilettantisme méridional" - en interdisant le vestiaire aux éléments venus de l'extérieur, par exemple, ce qui exaspérait les journalistes locaux, qui bénéficiaient de passe-droits depuis la nuits des temps. Il est rare qu'un entraîneur ayant remporté la Coupe du monde écoute les conseils d'un chanteur raté. Aussi lorsque Tapie, vers la fin de l'année, tenta une causerie de mi-temps avec les joueurs, le Kaiser lui rappela poliment qui était en charge de l'équipe. Sous le regard admiratif d'Olmeta, il dit : "C'est moi le patron." Il ne le resta pas longtemps. Beaucoup de gens pensent que le sort de Beckenbauer fut scellé à l'instant même où il osa remettre Tapie à sa place.

Auteur: Auclair Philippe

Info: Cantona, le rebelle qui voulut être roi

[ football ]

 

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enfance

Mon père, il disait qu'y a des gens qui sont tellement forts dans ce qu'ils font le mieux que c'est comme s'ils avaient reçu un don magique. Des fermiers qui font sortir des choses du sol sans rien faire d'autre qu'enfoncer le bout de leur botte dans la terre et de cracher dans le trou. D'autres qui font de la musique avec n'importe quel bout de ficelle bien tendu, une boîte de conserve vide ou une bouteille pas bouchée, qu'arrivent à se débrouiller pour qu'un violon, un harmonica ou un banjo se mette à chanter, à rire ou à hurler comme si ils avaient un coeur bien à eux. Des joueurs qui font en sorte qu'une carte à jouer file comme un poisson ou flotte en l'air comme une plume. Des dompteurs de chevaux sauvages capables de calmer les mustangs les plus vicieux au bout de six bonds rien qu'en leur touchant les flancs avec les talons et en leur murmurant à l'oreille. Je savais de quoi il voulait parler. Johnny, il l'avait, ce genre de don magique avec un pistolet.

Auteur: Blake James Carlos

Info: L'Homme aux pistolets

[ émerveillement ]

 

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fair-play

Le coureur kényan Abel Mutai n'était qu'à quelques mètres de la ligne d'arrivée mais s'est trompé sur les panneaux et s'est arrêté, pensant avoir terminé. L'Espagnol  Ivan Fernandez, qui était juste derrière lui,  réalisant ce qui se passait, a commencé à crier au Kenyan de continuer à courir. Mutai ne connaissait pas l'espagnol et ne comprenait pas.

Comprenant ce qu'il se passait, Fernandez poussa Mutai vers la victoire.

Un journaliste demanda à Ivan : "Pourquoi as-tu fait ça ?" Ivan a répondu: "Je rêve qu'un jour nous aurons une sorte de vie sociale dans laquelle nous nous pousserons nous-mêmes et les autres à gagner."

Le journaliste a insisté : "Mais pourquoi avez-vous laissé le Kenyan gagner ? Ivan a répondu: "Je ne l'ai pas laissé gagner, il a gagné. La course était à lui."

Le journaliste demanda encore : "Mais vous auriez pu gagner !" Ivan le dévisagea : "Mais quel serait le sens de ma victoire ? La valeur de cette médaille ? Que va en penser ma mère ? Les valeurs sont transmises de génération en génération. Quelles sont celles que nous enseignons à nos enfants ?"

Auteur: Internet

Info:

[ sport ] [ bon joueur ] [ honnêteté ] [ exemplarité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

célébrité

L'Empereur ressemblait à bien des choses.
A un tennisman pour commencer, car c'est en short blanc et raquette à la main qu'il nous accueillit et nous pria de l'attendre au "salon de conversation" où serait servi le déjeuner. A un noceur sans entrain quand il nous eut rejoints, en costume blanc, ses yeux fatigués protégés par des lunettes noires. A un chef de gang qui s'entourait, selon la rumeur, de jolis drôles, cercles de pouvoir où se cotoyaient les membres d'une secte qui vénérait Bouddha, Jésus et Victor Hugo, une poignée de bonzes fous, quelques catholiques enclins à confondre goupillon et matraque, et un ancien chauffeur de taxi promu chef de la sécurité.
A le voir si fatigué, si mou, on songeait aussi au joueur effréné qui dilapidait des fortunes sur les tapis verts des casinos de la Côte d'Azur, au séducteur auquel ses bonnes fortunes valaient le titre d'Empereur des boîtes de nuit, à un quadragénaire au visage d'adolescent mal dégrossi qui se défiait d'une destinée qui l'avait fait monter sur le trône à l'âge de douze ans. Et enfin au père attentionné qui livrait ses seules batailles dans la chambre de son fils, à coups de polochons, pendant que son pays menacé d'éclatement s'enlisait dans la guerre.
Bref, l'Empereur ressemblait à bien des choses, sauf à un empereur.

Auteur: Masson Christophe

Info: Le Manuel de Géographie

[ démystifier ]

 

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pouvoir

Supposons que nous invitions une personne inconnue à jouer aux cartes. Si cette personne nous répond "je ne joue pas", nous interpréterons cela soit comme une incompréhension du jeu, soit comme une aversion pour ce jeu, pour des raisons économiques, éthiques ou autres. Imaginons cependant qu'un homme honorable, connu pour posséder toutes les compétences possibles en matière de jeu, qui en connaît parfaitement les règles et les astuces interdites - mais qui ne peut aimer un jeu et y participer que lorsqu'il s'agit d'un passe-temps innocent - soit invité à se joindre à une compagnie d'escrocs habiles, connus pour être de bons joueurs et auxquels il est égal sur les deux plans, pour participer à une partie.

S'il dit : "Je ne joue pas", en nous mettant à sa place et en regardant ses interlocuteurs dans les yeux nous pourrions compléter ses paroles comme suit : "Je ne joue pas, c'est-à-dire avec des gens comme vous, qui brisent les règles du jeu et le privent de son plaisir. Si vous me proposez de jouer, notre accord mutuel est que nous reconnaissons le caprice du hasard comme notre maître ; alors que vous nommez hasard  la science de vos doigts agiles. De fait je dois soit l'accepter comme tel,  soit courir le risque de vous insulter... ou choisir la honte de vous imiter." ... L'opinion de Socrate peut être résumée par ces mots crus, lorsqu'il dit aux sophistes, hommes éclairés de son temps, "Je ne sais rien".

Auteur: Hamann Johann Georg

Info: Ces mots étaient donc une épine dans leurs yeux et un fléau sur leur dos. Socratic Memorabilia, J. Flaherty, trans. (Baltimore : 1967), pp. 165-167.

[ expertise ] [ savoir-faire ] [ système fermé ] [ aléa ] [ manipulation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

abrutissement

A cette heure, les gens sont chez eux dans ce coin de Bretagne, à regarder leur bonne télévision ruisselante de lots, de fric et de voyages autour du monde à gagner. De nos jours, c'est ça l'aventure, l'ultime : la téloche. Tu peux y décrocher du flouze, une chambre à coucher, une bagnole, des bijoux certifiés avec des rubis et des émeraudes pur fruit d'une valeur de deux mille balles ! Elle t'envoie en cure aux Antilles, à Dache ! On te fournit des fiancées d'un soir ! Des oeuvres d'art galvanisées !
Elle te prend en charge. Si t'es joueur, tu peux ramasser le pactole. Suffit que tu répondes bien à des questions perfides telles que "combien fait dix fois douze" ou "quelle est la capitale du Dannemark" et tu gagnes le canard, décroche la timbale. C'est la fée Marjolaine, la télé ; l'enchanteur Merlin ou Bouygues ; elle relègue lotto et tiercé, petit à petit. On vit d'elle, par elle, pour elle. L'ogresse nous a pris possession. Elle nous fait rêver avec ses ricaneries et bander avec ses films X. Nous enniaise, nous embobeline, bandelette, pétrifie.
Mais un jour viendra où l'homme sortira de l'asservissement. Il brisera les tubes cathodiques à coups de hache ! Il grimpera scier l'antenne de la tour Eiffel ! Les animateurs se laisseront pousser la barbe, pour ne pas être reconnus ; on les contraindra à porter une étoile rouge avec "T.V." écrit dessus en gothique ! Le sursaut se produira, j'annonce haut et fort. Juste les très vieillards et les grabataires auront encore droit à visionner un peu. On retrouvera la campagne, la pluie, les fleurs, la baise, bref, la liberté !

Auteur: Dard Frédéric

Info: Au bal des rombières

[ TV ]

 

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intelligence collective

"Le QI d'un groupe est corrélé à sa proportion de femmes"

En 2010, des scientifiques du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et de l'Université de Carnegie Mellon ont en effet cherché à calculer le QI du groupe, c'est à dire sa capacité à résoudre un problème, comme cela se faisait déjà individuellement. Ils en ont conclu que le QI du groupe n'était pas une addition des QI individuels qui le composent mais que celui-ci avait sa propre intelligence, déconnectée de celle de ses membres pris séparément. Ce QI peut être supérieur ou inférieur à cette somme. Ce n'est pas parce que vous avez une assemblée de génies que sa capacité à résoudre un problème donné sera meilleure. C'est un peu comme dans une équipe de football. Si vous n'y mettez que des grands champions, bien souvent cela ne donne pas d'excellents résultats. Les bleus vainqueurs de la Coupe du Monde de Football avaient certains joueurs moins bons individuellement que d'autres mais fonctionnant parfaitement bien entre eux.

Comment ces scientifiques sont-ils arrivés à la conclusion que plus il y a de femmes dans un groupe, plus celui-ci est intelligent ?

Tout simplement parce qu'elles ont une intelligence émotionnelleplus développée qui permet au groupe de mieux réfléchir. Généralement, les femmes communiquent mieux, ont une écoute plus riche, plus bienveillante, une capacité à deviner les émotions des autres, à se mettre à leur place, à comprendre les non-dits. Elles savent aussi respecter le temps de parole de chaque individu. Cela ne sert à rien d'avoir un collectif d'opinions différentes si on ne laisse pas à chacun le temps de s'exprimer. Les scientifiques ont donc estimé que les femmes avaient les qualités nécessaires pour améliorer la bande passante du groupe… Et en ont logiquement conclu que son QI était corrélé à la proportion de femmes. 

Auteur: Internet

Info: https://madame.lefigaro.fr/, Alyette Debray-Mauduy, 10/01/2019, Interview de Emile Servan-Schreiber  à propos de Supercollectif, la Nouvelle Puissance de nos intelligences, par É S S, Editions Fayard décembre 2018, 220 pages

[ équilibre ] [ femmes-hommes ] [ tétravalence ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

abrutissement

On rejette toujours quelque peu ce qu'on a aimé. Roger Federer n'y échappe pas. Ne représente-t-il pas la standardisation du business à l'américaine, avec tous ses poncifs rebattus, abrutissants ?
Federer est et restera comme un des plus grands joueurs de tennis de l'histoire, mais son côté lisse, amasseur de succès et de pognon "comme les autres", son rôle de créateur de rêve télévisuels - pour les fans de son jeu ou de sa personne (encore plus pour les helvètes dont je fait partie), sa réussite professionnelle.. tout ceci n'est pas si idyllique que cela. Le recul permet d'analyser un peu mieux son "rôle". Un rôle qui dissimule en fait une réalité moins réjouissante.
Sans vouloir dénigrer la personne par des attaque ad hominem du genre "RF est né une cuillère d'argent dans la bouche.. ou encore : RF a établi sa base arrière à Dubaï, un pays qui se comporte de manière peu sympathique avec les travailleurs, hindous, bengalis et népalais principalement, qui viennent y travailler et se faire exploiter sans que jamais le champion ne l'évoque..."
Je voudrai simplement expliquer que Roger Federer est en fait un pion du système global de propagande et de profit industriel mis en place après la victoire des américains en 1945. L'image m'est apparue en voyant la dernière vidéo promo pour ses raquettes Wilson.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale rien n'a changé. Les US ont standardisé tellement de choses, leur fonctionnement interne semble immuable... "be adjusted".. et voilà, les reste tourne tout seul. Pollution, virtualisation de l'argent, épuisement des ressources terrestres, déséquilibre grandissant, etc... nous sommes tous les participants/témoins d'un grand train qui fonce dans la falaise toutes sirènes dehors.
RF est agréable, équilibré, un bon papa qui change les couches de ses jumelles et écourte ses nuits... talentueux, travailleur, égocentré - c'est nécessaire, mais combien faut-il l'être pour accomplir ce qu'il a fait ?... - de surcroit animateur d'une fondation pour aider les jeunes africains du sud, aidé par sa maman qui est originaire de ce pays. Bref rien à dire.
Roger Federer m'énerve, il est le parangon de la réussite matérielle imbécile, celle des gens qui roulent en 4x4, celle qui fait la promotion des arguments pousse-à-jouir de la société de consommation. Il fait partie de la division spectacle de l'industrie des vendeurs d'armes, il est le "décoratif aliénant" d'un monde qui ne réfléchit pas.
Nous avons besoin de "dépaysant libérateur".

Auteur: Mg

Info: 15 oct 2009

[ divertissement ] [ nationalisme ]

 

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limite épistémique

[...] même si la course à l’IA [Intelligence Artificielle] s’est beaucoup amplifiée et renchérie, l’avènement d’une IAG [Intelligence Artificielle Générale ou Forte] n’est pas pour demain. Dans les années 1940, les premiers visionnaires nous le promettaient pour la génération suivante. Sondé en 2017, un cercle d’experts en IA s’est accordé sur la date de 2047. Ce qui complique un peu ce calendrier, c’est la façon dont surviendra la "singularité" – le ­moment où la technologie aura tellement progressé qu’elle prendra le dessus pour de bon. S’agira-t-il d’un décollage en douceur, dû aux avancées progressives de l’IA faible, qui prendra la forme d’un explorateur de données doublé d’un dispositif de réalité virtuelle et d’un traducteur du langage naturel, le tout chargé dans un aspirateur-­robot ? Ou bien d’un décol­lage brutal, un ­algorithme qui reste encore à imaginer se trouvant soudain incarné dans un ­robot tout-puissant ? Les enthousiastes de l’IAG ont beau avoir eu des décennies pour réfléchir à cet avenir, le résultat reste bien nébuleux : nous n’aurons plus à travailler car les ordinateurs se chargeront de toutes les activités courantes, nos cerveaux seront stockés en ligne et se fondront dans la conscience brumeuse du nuage, ce genre de chose. En ­revanche, les craintes des éternels angois­sés, fondées sur le fait que l’intelligence et le pouvoir cherchent toujours à se renforcer, sont concrètes et glaçantes : une fois que l’IA nous aura surpassés, il n’y a pas de raison de penser qu’elle nous sera reconnaissante de l’avoir inventée – surtout si nous n’avons pas su la doter d’empathie. Pourquoi une entité susceptible d’être présente dans mille lieux à la fois et possédant une conscience à la Starbucks éprouverait-elle une quelconque tendresse pour des êtres qui, les mauvais jours, peuvent à peine s’arracher du lit ? Curieusement, les auteurs de science-fiction, nos Cassandre les plus dignes de confiance, se sont abstenus d’envisager une apocalypse due à l’IAG, dans laquelle les machines domi­neraient au point de faire disparaître l’espèce humaine. Même leurs cyborgs et supercalculateurs, malgré leurs yeux rouges ­(les Terminators) ou leur accent cana­dien (HAL 9000 dans 2001 : l’odyssée de l’espace) ont un air de famille. Ce sont des versions actualisées du Turc ­mécanique, l’automate joueur d’échecs du XVIIIe siècle dont le mécanisme dissimulait un ­humain. Neuromancien, le ­roman fondateur de William Gibson paru en 1984, met en scène une IAG nommée Muet­dhiver ; elle ­décide de se ­libérer des chaînes humaines, mais, quand elle finit par s’échapper, elle ­entreprend de rechercher des IAG d’autres systèmes solaires, et la vie sur Terre reprend exactement comme avant. Dans la ­série Carbone modifié, les IA méprisent les humains, qu’ils traitent de "forme infé­rieure de vie", mais utilisent leurs super­pouvoirs pour jouer au poker dans un bar. Nous ne sommes pas pressés d’envisager la perspective de notre insignifiance. Aussi, en profitant des derniers rayons de notre souveraineté, nous nous délectons des ratés de l’IA. Comme lorsque le ­robot conversationnel Tay de Microsoft a répété des insanités racistes proférées par des utilisateurs de Twitter. Ou le jour où M, l’assistant virtuel de Facebook, ­remarquant que deux amis échangeaient sur un roman où il était question de cadavres vidés de leur sang, proposa de leur réserver un restaurant. Ou encore la fois où Google, incapable d’empêcher l’outil de reconnaissance des visages de Google Photos de confondre des Noirs et des gorilles, dut désactiver la reconnaissance des gorilles. La suffisance n’est sans doute pas la ­réaction la plus intelligente face à ce genre de ratés.

Auteur: Friend Tad

Info: Dans "Books", https://www.books.fr/nous-avons-convoque-diable/

[ humain-robot ] [ prise d'autonomie ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson